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Sport - Page 662

  • Football : Le FCC s’impose à Quillan

    Gaël.jpgGaël Planas a multiplié les solutions pour ses partenaires du FCC I.

    La sixième journée de championnat disputée dimanche 7 novembre à Quillan, a permis au FCC de conforter sa deuxième place au classement général du championnat de première division, score final 2 à 4. La rencontre dirigée par Pascal  Piquemal va très vite s'animer et le premier quart d'heure permet à Hugues Ferrié de signer un doublé en deux minutes. Une frappe aux vingt-cinq mètres ne laisse aucune chance au gardien Jérémy Escola (13'), à nouveau battu à la 15e minute, d'un tir à ras de terre décoché au point de pénalty. Le FC Haute-Vallée reprend espoir cinq minutes plus tard, avec un but signé Zacharie Farissi, à la réception d'un centre venu de la gauche (1-2). Le FCC maintient la pression et Fabien Conte sur coup-franc remet les Quillanais à distance (1-3). Deux minutes seulement après le retour des vestiaires, les « jaune et bleu » sont à nouveau cueillis à froid, après une frappe décochée en pleine course par Fabien Conte, oublié sur l'aile droite (1-4). Les espoirs des Quillanais sont douchés, même si leur douzième homme, par ailleurs exclu en fin de match, parvient à réduire rapidement la marque. Score final 4 à 2 pour les joueurs du duo Brown-Canal qui se rendront à Naurouze-Labastide, dimanche 14 novembre. 

    Choco.jpgLe coup-franc tiré par Fabien Conte à la 26e minute de jeu fait mouche et Jérémy Escola, le gardien quillanais, est battu.    

    En ouverture, le FCC II et son homologue quillanais ont partagé les points du match nul, 2 à 2. Après avoir marqué deux fois par Théo Rosich et Cyril Gérard, les Chalabrois n'ont pu empêcher le retour des locaux. Les Moins de 17 ans qui devaient se rendre à Castelnaudary n'ont pu honorer leur contrat, en raison d'un manque d'effectif. Samedi à Castelnaudary, les moins de 13 ans ont cédé face à la pression des leaders chauriens, défaite 4 à 0.

    Philippe et supporters.jpgLes supporters chalabrois ont apprécié la prestation de leur équipe favorite.

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  • Les cyclos en visite dans le pays de Fenouillèdes

    Sournia2010.JPGJulien Blaya (à gauche) a accueilli les CCC dans son auberge à Sournia.

    A quelques jours de son assemblée générale, prévue le samedi 6 novembre, le Cyclo-Club du Chalabrais bouclait sa saison sur les routes sinueuses et escarpées du pays de Fenouillèdes. Au départ du siège café de la Paix, un peloton de neuf unités a pris la roue du président Jean Quério, en direction du Pays de Sault. Après avoir louvoyé entre les chalands de la foire annuelle, le groupe emmené par Théo Borie basculait vers les rives d'Espezel. Il suffisait de suivre le cours du Rébenty pour faire la jonction avec les petits ours axatois. Ne restait plus alors que l'ascension des cols de Campérié et Aussières, afin d'arriver en pays catalan et à Sournia, point de chute de cette première journée. Chacun prenait ses dispositions dans le gîte du village vacances "le Moulin", où l'heure de l'apéritif allait sonner sans crier gare. Une bouteille de « carthagène » extraite de la valise de Christophe témoignait de la rigueur avec laquelle les CCC s'organisent, ce qui avait le don d'impressionner la maîtresse des lieux.

    Une visite du village de Sournia emmènera le groupe jusqu'à l'auberge de Julien Blaya, où nos sportifs vont apprécier une table succulente. Et un petit-déjeuner solide, avant le retour vers le Kercorb, qui ne sera pas dénué de surprises. Grâce à Jean-Claude, semi régional de l'étape et en quelque sorte guide du peloton, lequel et à plusieurs reprises, induira en erreur ses compagnons de balade, quant aux dénivelés et aux distances à venir. Mais le temps peu sûr détournait heureusement la suspicion des CCC,  qui abordaient le col de Saint-Louis sous les gouttes, puis le Portel. Avant un retour sur Chalabre et le cours Colbert où Jacques et Dominique accueillaient tout ce petit monde afin de profiter des plats concoctés par Alain Soula et les siens, à la conclusion d'une nouvelle et belle saison.Les cyclos ont rendez-vous samedi à 18h à la mairie où ils feront le bilan 2010, avant le repas prévu à l'hôtel de France.  

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  • Un marathon sur les boulevards et sous la pluie

    La quatrième édition du Marathon du Grand Toulouse réunissait dernièrement près de 2500 coureurs à pied, à l'écoute d'un starter placé sur le Pont Saint Michel. Sous un plafond très bas qui laissait augurer d'une journée humide, Francis Amouroux se préparait à en terminer avec dix semaines d'une préparation rigoureuse et millimétrée. Objectif annoncé, quatre fois une heure pour parcourir les 42,195 km que notre fondeur aura couru dans le souvenir de Jérémy. Au terme de son deuxième marathon, après avoir couru Paris en 2003, Francis arrêtera son chrono sur 4h 03' 59'', un temps qui lui attribue la 1603e place sur  2391 classés.

    I.jpgUn final à l'énergie pour Francis Amouroux.

    A 11h, le rond-point de la Barrière de Paris était pris d'assaut par 433 équipes de quatre coureurs-relayeurs, invités à conjuguer leurs efforts afin de rejoindre au plus vite les arcades du Capitole. Imperturbables sous les premières gouttes, « Les Poumpils de l'Hers », équipe mixte composée de Jean Plauzolles, Gilbert Navarro, Régine Duran et Valérie Dillon, attendaient le coup de pistolet libérateur. Nos fondeurs allaient courir dans cet ordre et rallier la ligne d'arrivée depuis la Barrière de Paris, via Saint Alban (10,5 km), Borderouge (11.5 km), François Verdier (6.5  km) et le Palais de Justice (7 km). Le quatuor terminait sa course avec une ultime ligne droite de 1500 mètres, bouclée de front et sous une pluie diluvienne venue marteler les pavés de la rue Alsace-Lorraine. Ce trop plein d'eau aura-t-il eu raison de la puce électronique ? L'équipe portant le dossard 207 ne figurait en effet sur aucune des tablettes de l'organisation à son passage sur la ligne d'arrivée. Trempés, un peu déçus mais certainement pas démotivés, Valérie, Régine, Gilbert et Jean ont aussitôt rempli un formulaire d'inscription pour 2011 et la 5e édition de l'épreuve.  

    V.jpgLes "Poumpils de l'Hers" à leur arrivée sur la place du Capitole.

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  • Alfred Hernandez, un secrétaire au service des pétanqueurs

    Le Pétanque-club chalabrois a fêté l'un des siens. Un bel exemple de bénévolat.

    Alfred.JPGAlfred et Lucienne Hernandez, entourés de Michel Guirao, Alain Valéro et Richard Hernandez.

    Trente ans d'activité, et toujours pas de demande de mise à la retraite. Lors de l'assemblée générale du Pétanque Club Chalabrois, cher au président Michel Guirao, son secrétaire Alfred Hernandez a été honoré par le monde de la pétanque. Après une évocation du travail d'Alfred et de ses mérites : trente ans à s'occuper du renouvellement des licences, de l'organisation des concours hebdomadaires et annuels, de l'ouverture et de la fermeture des locaux réservés aux pétanqueurs ou aux beloteurs. Alfred Hernandez numismate averti, se voyait offrir par son club, des pièces de monnaie de collection sous l'acclamation des pétanqueurs présents.

    Mais Alfred n'en était pas quitte de ses émotions. Au milieu du repas où 80 membres du club étaient présents, notre secrétaire était honoré par le monde de la pétanque, venu pour lui à Chalabre. Richard Hernandez, président du district de Quillan lui adressait tous ses remerciements, ses félicitations et lui remettait un sac spécial pétanque. A son tour, Alain Valéro, président du Comité départemental de l'Aude adressait ses félicitations et ses remerciements, en associant Lucienne Hernandez, qui pendant trente ans a soutenu son mari mais a aussi supporté les absences de celui-ci, régulièrement appelé sur des réunions ou des concours. Il remettait alors un diplôme d'honneur de la fédération nationale, ainsi qu'une magnifique casquette offerte par la FNPJP. Alain Valéro concluait en soulignant que « l'ensemble de ces distinctions correspondent à la légion d'honneur que reçoivent certaines personnes ».

    Comme à son habitude, Alfred Hernandez gardait sa modestie, mais nul doute que ces distinctions méritées lui sont allées droit au cœur. Encore félicitations et merci de la part des pétanqueurs.  

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