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cri du vent - Page 6

  • Le Cri du Vent se retrouve pour son assemblée générale

    L’association le Cri du Vent communique :

    cri du vent« L'assemblée générale du Cri du Vent se tiendra demain mercredi 23 février à 18 heures, à la salle polyvalente de Courtauly. Les projets éoliens qui étaient en sommeil ces dernières années refont surface, et les promoteurs font le forcing auprès des maires pour essayer de décrocher des contrats avant que les juteux tarifs d'achat obligatoire par EDF ne retombent, les privant dans l'avenir des profits indécents qu'ils peuvent encore espérer à ce jour.

    Ce rendez-vous permettra de donner les dernières informations ayant pu être obtenues, et nous déciderons ensemble des actions à mener pour atteindre le but qui a toujours été le nôtre : pas une seule éolienne dans le Kercorb !

    A l’ordre du jour, rapport moral du président, rapport financier, élection du conseil d'administration, questions diverses. A la suite de l'assemblée générale, le conseil d'administration se réunira pour élire le bureau. Dans le cas où le quorum ne serait pas atteint, une nouvelle assemblée générale se tiendra demi-heure plus tard avec les membres présents ».

  • Cri du Vent : Des militants satisfaits et vigilants

    cri du ventLe président Jean Baudeuf a rendu compte des actions engagées.

    Mardi 28 mai, l’association Le Cri du Vent tenait son assemblée générale annuelle à Courtauly. Le président Jean Baudeuf remerciait l'assistance, ainsi que Gérard Penando, maire de la commune, avant de présenter le rapport d’activités. L’occasion d’évoquer les bonnes nouvelles enregistrées tout au long de l’exercice écoulé, avec la société Raz-Energie déboutée en appel au sujet du parc éolien de  Monjardin, et le très probable abandon du projet de Festes-Saint-André.

    Jean Baudeuf soulignait que pour autant, l’heure n’était pas encore venue de baisser la garde, eu égard à la volonté du Président de la République de tripler le nombre d'éoliennes terrestres à l'horizon 2030 : « Nous devons rester vigilants, d'autant plus que la procédure d'autorisation unique pour l'ICPE réduit la place de l'information et du débat public ».  

    Il poursuivait en rappelant comment « la démarche du Cri du vent a reçu l'aval des préfets qui se sont  succédés dans l'Aude et dans l'Ariège. Les arguments motivant les arrêtés préfectoraux pour le  refus des permis de construire des éoliennes de Montjardin et de Troyes-d'Ariège, sont les mêmes que ceux que nous avons toujours développés, et ils ont été validés par la cour d’appel du tribunal administratif de Marseille ».

    Le président Baudeuf invitait les adhérents de l’association à continuer, comme ils l'ont fait jusqu'ici avec succès. « En allant chercher l'information le plus en amont possible des projets de parc éolien, pour pouvoir informer les populations et manifester notre opposition avant que ces projets mortifères ne soient trop avancés ». Il concluait par un vibrant « Vive le Kercorb libre de toute pollution éolienne industrielle », avant que Francine Joulia, trésorière ne donne lecture du rapport financier. Cette assemblée prenait fin avec l’adoption des rapports à l’unanimité.

  • Le Cri du Vent se pose en défenseur du patrimoine naturel

    cri du vent,jean baudeufDix ans d’action, et de l’énergie à revendre.

    Le Cri du Vent tenait dernièrement son assemblée générale annuelle à Courtauly. Dans son rapport moral, le président Jean Baudeuf rappelait que « les associations sont le seul rempart contre la rapacité des promoteurs éoliens. Sans les actions solidaires et concertées du Cri du Vent et des associations de la proche Ariège, les quelques 80 éoliennes géantes envisagées depuis près de dix ans dans le Kercorb et le Pays-d'Olmes, auraient certainement vu le jour, et cette belle région serait aussi massacrée que la plaine de Lézignan, ou certains secteurs de la Montagne Noire ». Et de conclure : « En défendant nos paysages, ça n'est pas nos petits intérêts que nous défendons, c'est le bien commun, les paysages audois font partie du patrimoine collectif et ils méritent d’être défendus au même titre que le Canal du Midi, la Cité de Carcassonne ou les châteaux cathares, et nous sommes déterminés à continuer le combat ».

  • Le Cri du Vent dénonce la « frénésie éolienne » des élus

    Environnement : L'association alerte sur le nombre de projets éoliens dans l'Aude.

    photo AG cridu vent 2016.jpgLes adhérents plus que jamais disposés à occuper le terrain.

    Vendredi 16 juin, le Cri du Vent tenait son assemblée générale annuelle à Courtauly. Dans son rapport moral, le président Jean Baudeuf se félicitait du jugement rendu par le Tribunal administratif de Montpellier le 9 décembre 2016, qui déboute Raz Energie de sa demande d'annulation de l’arrêté préfectoral refusant le permis de construire des éoliennes de Montjardin.

    Il précisait combien « il convenait de rester vigilants et mobilisés, car d'une part Raz Energie a fait appel de ce jugement, et d'autre part, une véritable frénésie éolienne s'est emparée des élus audois. On assiste à une inflation galopante des projets : Festes-Saint-André, Saint-Polycarpe, les Corbières, qui viennent s'ajouter aux implantation en cours dans la Montagne Noire, le Lézignanais et le Fenouillèdes ».

    Et d’ajouter : « A ce rythme, le nombre d'éoliennes dans l'Aude devrait pratiquement doubler, passant de 265 machines aujourd’hui, à 500 dans les dix ans qui viennent, faisant de l'Aude un gigantesque parc éolien industriel, ne créant aucun emploi local et chassant les touristes, les résidents secondaires, et les candidats à l'installation ».

    Il invitait les élus audois à ne pas se tromper d’objectif : « En croyant servir l’intérêt particulier de leur village, ils participent en réalité à l'oeuvre de destruction massive de ces paysages ruraux authentiques et préservés qui sont le principal atout de ces villages ».

    Jean Baudeuf rappelait que le Cri du Vent était solidaire des « Amis de Saint Sernin », et qu'il continuerait à les soutenir sur le terrain, « pour empêcher le passage en force et en toute illégalité (par empiètement sur un domaine privé), des camions amenant les éléments d'éoliennes, lesquels, contrairement à ce qu'affirmait la société Valeco, n'ont pas la place de passer sur la voie publique ». Après un symbolique « No pasaràn ! », le président levait la séance et invitait l'assemblée à se retrouver autour du traditionnel verre de l'amitié.