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hôtel-dieu saint-jacques chalabre - Page 2

  • C'était hier : Tout pour la musique

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mercredi 1er décembre 1993.

    christophe roncalli,hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Jean-Baptiste et Christophe, un duo à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques

    Photos archives, samedi 20 novembre 1993

    Il est des rencontres qui doivent tout au hasard, celle qui a amené Christophe et Jean-Baptiste Roncalli à se retrouver sur une scène ne peut pas vraiment constituer une surprise. Quand Papa chantait, Jean-Baptiste écoutait et apprenait peut-être sans s'en rendre compte, des mélodies qu'ils ont chanté en duo et en avant-première samedi à Chalabre. Pour les pensionnaires de la maison de retraite d'abord, puis au théâtre municipal en soirée.

    christophe roncalli,hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Nostalgie à la maison de retraite

    « Que reste-t-il de nos amours », « Stubold », « La valse à mille temps »,... Les inconditionnels de la chanson française ont été comblés par l'interprétation attachante d'un répertoire éclectique et souvent empreint de nostalgie. Le petit Jean-Baptiste a fait samedi ses premiers pas sur la scène des grands, Christophe aura très bientôt son alter ego.

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    Un public nombreux pour une affiche inédite au théâtre municipal

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  • C’était hier : Les filles de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques en goguette

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 25 septembre 1998.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabreUn agréable moment de détente, bien trop rare pour le personnel de l’hôpital (photo archives, septembre 1998. De gauche à droite, Florence Bernard, Odette Zabouraeff, Patricia Farré, Anne-Marie Amiel, Dominique Martinez, Muriel Fort, Visita Lorca, Anne Danjou, Marie-Do Röösli, Christine Sanchez, Aline Guilhemat, Viviane Allias, Suzette Ferrier, Pascale Fort, Annie Buscail, Joëlle Fort).

    A force de se croiser dans les couloirs, de galoper d’un étage vers l’autre, les filles de l’hôpital local de Chalabre en arrivaient à ne plus se voir, à l’évidence, la communication « inter-personnel » avait un sacré coup dans l’aile. L’heure semblait grave, et dans l’urgence il fut décidé que l’été ne darderait pas ses derniers rayons de soleil, avant que toutes ces fringantes et pimpantes jeunes filles ne s’assoient enfin autour d’une bonne table.

    Ce qu’elles firent dès le premier vendredi venu, mettant le cap sur la vallée du Blau et plus précisément Puivert, où le dépaysement allait être total. Accueillies par de sympathiques Lusitaniens en un lieu convivial nommé « Rio d’Ouro », les ange gardiens de nos grands-mères et grands-pères auront goûté à cette ambiance qui fait battre le cœur de Braga, Guimaraes ou Matosinhos.

    En ce haut-lieu encore méconnu de la gastronomie ibère et portugaise, chacune d’entre elle aura oublié l’espace d’une « zarzuela », ces petits soucis qui nourrissent l’ordinaire. Bien sûr, la nuit fut des plus courtes, mais qu’importe, puisqu’au petit jour venu et avec un cœur gros comme ça, elles allaient retrouver leurs protégés impatients de découvrir par le menu, tous les détails d’une soirée en vérité très réussie.

  • C'était hier : « Marcel, on t'aime ! »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 18 février 1993.

    marcel roquebernou,hôtel-dieu saint-jacques chalabreMarcel a reçu un téléviseur de la part des ses ami(e)s (Photo archives, Février 1993).

    Les filles de l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques ont un coeur gros comme ça, tous les pensionnaires vous le confirmeront. Mercredi soir, c'était la fête à Marcel. Marcel Roquebernou pour l'état-civil, Marcel pour tous ceux qui, au hasard d'une halte gastronomique à l'hôtel-restaurant Pont ont eu l'honneur et l'avantage d'être accueillis par le protégé de Baptistine.

    Toutes ces années au contact de l'autre ont favorisé une parfaite intégration à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques, où sa disponibilité et son humeur toujours égale sont très appréciées. « Fromage ou dessert ? ». La question si souvent posée n'était plus de mise ce mercredi soir. Un mille-feuilles pour témoin, Marcel se voyait offrir un superbe téléviseur de la part du personnel de la cure et de la maison de retraite réuni au grand complet.

    La petite lucarne est ainsi rentrée dans ta chambre Marcel, mais sa présence ne t'empêchera pas d'être toujours aussi attentionné à l'égard de la grande famille qui t'entoure. « Merci quand même », et merci pour tout Marcel.

  • C’était hier : Soirée d’adieu à l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 20 avril 2007.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabreLe personnel a refermé la porte avec un brin de nostalgie (Photos archives, Avril 2007).

    Après avoir pris leurs marques sur les hauts de Bon-Accueil, lieu où ils oeuvrent désormais au bien-être de nos aïeux, la direction et le personnel de l’hôpital local avaient une dernière fois rendez-vous dans l’enceinte de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques. C’était à l’occasion d’une soirée festive, qui a permis de prendre congé d’un site chargé d’histoire, voué aujourd’hui à une nouvelle destinée, pour l’heure inconnue.

    Si de nombreux souvenirs sont revenus en mémoire des plus anciennes et des plus anciens, l’ambiance régnant ce soir-là dans les murs de l’institution fut loin d’être mélancolique. Bien qu’animée par le sentiment qu’il faut tôt ou tard se résoudre à tourner la page, la joyeuse équipe a fait durer la fête jusqu’à très tard dans la nuit, avec une pensée émue et nostalgique pour les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny, fondatrices en 1826 d’un lieu mythique, à présent enveloppé dans un calme étrange.