Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Chalabre - Page 230

  • C’était hier : En 1965, ils préféraient manger à la cantine

    L'article en ligne avait paru dans le journal l'Indépendant, édition du mercredi 1er mars 2000 (un texte réactualisé depuis).

    collège antoine-pons

    Ils furent les premiers à bénéficier de la cantine du CEG, en compagnie de Jacques Adrados, leur professeur d'EPS

    De gauche à droite aux côtés de Jacques Adrados, Monique Sola, Marie-Madeleine Sola, Anne-Marie Sola. Les garçons, Guy Rolland, Denis Rives, Francis Rivals et Christian Fromilhague

    Photo archives, 1965

    Il porte aujourd’hui le nom de Antoine Pons, le groupe d’observation dirigée (GOD) ouvrit ses portes à Chalabre à la mi-septembre 1959, sous l’impulsion de Jean Tisseyre, conseiller général, Augustin Maugard, maire de Chalabre, Georges Labadie, secrétaire de mairie, Jean Hygounet, directeur de l’école des Garçons, et René Fil, inspecteur départemental de l’Education Nationale.

    En décembre 1962, les élèves accueillaient un jeune et nouveau directeur, fraîchement libéré de ses obligations militaires, Marc Jean-Pierre. D’emblée, ce dernier allait imprimer à l’établissement chalabrois un dynamisme et une réussite qui ne se sont depuis jamais démentis. Entre autre heureuses initiatives développées par Marc Jean-Pierre, la création de la cantine scolaire. Le nouveau directeur voulant amener vers le GOD le plus grand nombre possible d’enfants du canton, pensait que la création d’une cantine pouvait offrir à l’établissement l’apport d’effectif nécessaire à sa survie.

    Une innovation susceptible dans le même temps de favoriser la création d’un premier cycle complet à Chalabre, perspective qui aboutira effectivement en 1977. Trouver les fonds nécessaires au démarrage de la cantine ne fut pas chose aisée, la subvention attribuée par l’inspection académique était une aide précieuse mais insuffisante pour couvrir les frais d’installation. Heureusement existait à Chalabre une des plus anciennes sociétés mutualistes de la ville, « la société mutualiste scolaire des écoles publiques », laquelle vira généreusement son avoir de la caisse des dépôts et consignation, vers la caisse de la coopérative scolaire. Cette dernière ayant établi une attestation sur l’honneur, il fut alors possible d’acheter l’équipement de base, tandis qu’un petit local était dégagé dans l’enceinte de l’école. Les familles du canton de Chalabre pouvaient être certaines que leurs enfants bénéficieraient d’un service de restauration de qualité, assuré qui plus est par Raymond Fort, dans les cuisines de l’Hôtel de France.

    Depuis lors, les conditions de séjour des élèves demi-pensionnaires du collège Antoine-Pons n’ont cessé de s’améliorer, et la cantine se dresse aujourd’hui sur ce que les plus anciens appelaient le plateau d’éducation physique. A l’endroit même où les scolaires se préparaient jadis aux épreuves sportives du certificat d’études primaires, une structure moderniste et originale était inaugurée le vendredi 6 mars 2009 (photo ci-dessous).

    collège antoine-pons

    Le temps a passé depuis l’année 1965, quand les repas à la cantine étaient pris autour d’une table à l’allure familiale, par des élèves venus de Sainte-Colombe-sur-l’Hers, Rivel, Villefort,…

  • Un jour à l'école des Soeurs

    IMG_0002.jpg

    Ecole des Soeurs, Hôtel-Dieu Saint-Jacques

    Photo Collection Marie-France Cnocquart 

    De gauche à droite, debout, Mlle de Ginestet, Marie-Hélène Parrenin, Marie-Françoise Parrenin, Madeleine Tyrode, Maryse Rouzeaud, ?, Danielle Olive, Geneviève Dalmau, Marie-France Sancho, Bernadette Rios, Hélène Marcos, Soeur Etienne.

    2e rang Andrée Murillo, Michelle Fournié, Anne-Marie Sola, Serge Rodillon, Gérard Tudo, Christian Boyer, Roland Combes, Dominique Sancho, Monique Sola, Guy Jalabert, Christian Olive, Marie-Thérèse Olive.

    1er rang Jean Viviès, Claude Mot, Guilène Rodillon, Jean-Pierre Sola, Yves Jalabert, Sophie Cabannes, ?, Eliane Sicre, Marie-Claude Marcel, Jean-Luc Mot.

  • L'avenir de l'association Ensemble pour le Calvaire à l'ordre du jour

    ensemble pour le calvaire

    Michel Alegre, président sortant de l'association Ensemble pour le Calvaire communique :

    « Chers amis du Calvaire, suite à l'assemblée générale du 13 janvier dernier, le bureau de notre association, réuni le 25 février, a fixé la date de l'assemblée générale extraordinaire au mercredi 19 mars à 18 h 30 à la mairie de Chalabre. A l'ordre du jour : Quelles options pour l'avenir de l'association : formation d'un nouveau bureau, mise en sommeil ou dissolution ? La décision sera prise après vote, à la majorité des présents ».

  • C'était hier : Les Festejaïres del Kercorb sont montés à la capitale

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 28 février 2000.

    festejaïres del kercorb

    Une joyeuse équipe de Chalabrois au rendez-vous du Crunch au stade de France

    Photos archives, Février 2000

    C'est une idée qui avait germé entre deux terroirs, Autan et Océanique pour être plus précis, et sous le clocher de Pieusse, pour ne rien cacher. Le chardonnay a coulé depuis, et en ce samedi 19 février 2000, au jour J donc, ils étaient tous là. Une joyeuse équipe de Chalabrois avait rendez-vous au stade de France pour l'affiche des affiches du Tournoi des VI Nations. Accueillis à Orly par Tonton Juanito, ils investissaient les boulevards parisiens depuis Montparnasse jusqu'à la plaine de Saint-Denis, via un métropolitain bondé dans lequel débutait réellement le face-à-face franco-anglais. Du côté de la pelouse, les occasions de vibrer seront rares, heureusement Christophe Dominici !

    festejaïres del kercorb

    Une fois la déception passée, les 26 bérets du Kercorb disséminés parmi les 78 808 spectateurs du jour vont filer vers les abords de la gare de l'Est, à l'Enchotte exactement, un bar à vin où Bernard et Chantal vont leur réserver un accueil des plus chaleureux. Soudain un inconnu ouvre la porte et bientôt une évidence va s'imposer, le monde est petit. Celui qui vient de pousser la porte engage la discussion avec les Chalabrois, et entre deux verres,  « Jean Rire », ainsi se nomme ce truculent personnage, ancien avocat, mais surtout humoriste, déclare qu'il est passé par Chalabre et qu'il a bien connu Justin... Navarro.

    festejaïres del kercorb

    Guidés par une sorte d'instinct naturel, nos « Festejaïres » prendront alors la direction « Côté Sud » pour réaliser la jonction avec Jean-Pascal, Chalabrois déraciné pour la bonne cause, gastronomique s'entend. Préférant la marche à pied à l'atmosphère chargée des bistrots à musique, nos noctambules rendront une visite au Louvre mystérieux, à sa pyramide et au Petit Caroussel. Cette balade touristique se poursuivra le dimanche avec un final sur les bateaux-mouches et Captain Paco à la barre, dernière promenade sur la Seine et dernier salut au Zouave du pont de l'Alma, enfin au sec. Rallier Orly Sud où un Fokker 100 avait mis ses moteurs en route n'allait être qu'un jeu d'enfant pour nos Chalabrois qui remercient vivement le pilote de la navette, les hôtesses, le steward et les passagers du vol 0799 pour leur formidable indulgence.

    festejaïres del kercorb

    festejaïres del kercorb

    festejaïres del kercorb

    festejaïres del kercorb

    Il s'en fallut de peu pour que le ballon du match ne soit confisqué