Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Chalabre - Page 232

  • C'était hier : Un renfort de choix pour les musiciens du Kercorb

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mercredi 24 mars 1999.

    opvc

    Les musiciens de l'OPVC ont trouvé un digne remplaçant à Joël, en la personne de Denis

    Photo archives, 14 juillet 1989, Bicentenaire de la Révolution

    Avenue Rhin et Danube

    A quelques jours seulement des festivités carnavalesques, qui par un heureux hasard coïncident cette année avec la visite de l'illustre Badaluc le XXXIe du nom, les musiciens de l'OPVC ont enfin retrouvé le sourire. Un sourire qu'ils n'arboraient plus depuis l'annonce du forfait de Joël, titulaire à la grosse caisse, élément clef du groupe, contraint au repos pour raison de santé. En l'absence du maître de la mailloche et de la cymbale, il ne restait plus à nos adeptes de la croche et du contre ut qu'à publier une offre d'emploi et trouver un remplaçant. Décision cruelle mais nécessaire qui voit l'ami Joël remplacé au pied levé par l'ami Denis, lequel n'a pas hésité une seconde pour répondre aux sollicitations de l'OPVC.

    En intégrant le groupe des musiciens du Kercorb, Denis va en réalité perpétuer une tradition bien établie au sein de la Famille Mamet. Qui ne se souvient en effet des prestations dans les rangs de l'Harmonie du Kercorb de son père Aimé, jouant avec le même brio de la grosse caisse ou du clairon basse.

    Rendez-vous est pris pour les 10 et 11 avril, Denis Mamet aura alors retrouvé le tempo, mais pour l'heure, les joyeux drilles de l'OPVC adressent à Joël Roncalli un salut amical, et tous leurs souhaits de rapide rétablissement.

  • Les poètes fêtent le printemps sur les Hauts de Bon-Accueil

    ehpad hauts-de-bon-accueil,jiel

    Le poète JIEL a partagé des tranches de bonheur avec les pensionnaires de l'Ehpad

    Lundi 18 mars et à la faveur de la célébration du Printemps des poètes, une animation littéraire réunissait à l'Ehpad des Hauts de Bon-Accueil, un cercle de pensionnaires que la magie des mots et de la poésie anime. A l'initiative de Valérie Taurines, aide médico-psychologique de l'établissement, les mots de JIEL sont parvenus jusqu'au pied de la colline de Roquefère, pour très vite captiver un auditoire ravi.

    Regards et sourires entendus auront accompagné l'interprétation des poèmes de Jean-Louis Sanchez (JIEL), chantre du Kercorb établi aujourd'hui en Montagne Noire. En préambule, notre visiteur avait avoué son penchant pour l'écriture, avant de proposer aux pensionnaires de se prêter à la lecture d'un texte de leur choix. Ainsi le poème L'exilé sera-t-il dit à deux voix, dans un silence particulièrement émouvant, par Jeannine et Jean, en français puis en langue espagnole. Après cette évocation de la Retirada, les lectures croisées se sont enchaînées, chacun des résidents cédant au plaisir de l'exercice.

    ehpad hauts-de-bon-accueil,jiel

    Pourvoyeur de mots qui emmènent sur des chemins où espoir, désillusion, humour, amour passent, JIEL aura ranimé des instants de vie au cœur de mémoires intactes. Dans l'intervalle, et invité le temps d'une fable, La Fontaine cédera très vite la place à un fabuliste nouveau, auteur de la véritable histoire du lièvre et de la tortue. De l'émotion, de la bonne humeur, des textes interprétés avec justesse, des pauses pour laisser au silence le temps de parler, les vertus de la poésie venaient de faire leur oeuvre sur les Hauts de Bon-Accueil.

    ehpad hauts-de-bon-accueil,jiel

    Pour prolonger l'instant, « Madame », un poème nouveau de JIEL

    Madame.pdf 

    Madame

    Douceur de ton regard, le charme d’un sourire,

    Chaude larme perdue aux sillons de la peau ;

    Par la vie sublimée, en faisant fi du pire,

    Tu es impassible, si digne dans le repos.

     

    Gauche, du bout des doigts, je caresse ta main.

    Les yeux racontent tout de l’amour à écrire ;

    Ta bouche ne dit rien, mais parle de demain,

    Dans la grâce suprême de ce coeur qui chavire.

     

    Que de belles phrases tu m’as dites soudain

    Dans l’étreinte ultime de tes bras suppliants.

    Les plus beaux mots d’amour comme au premier matin

    Mouillent mon épaule en un flot de diamants.

     

    Éperdument belle et forte au-delà des maux,

    Du nuage douillet où repose ton âme,

    Le poète blessé ne trouve plus les mots

    Pour conter l’histoire d’une si Grande Dame.

    JIEL

  • A l'école des garçons, le 10 mai 1952

    Une photo de la classe de Jean Hygounet, le 10 mai 1952

    jean hygounet

    1er rang, assis, Christian Hernandez, Jean Pagès, Henri Salvat, Lucien Carbonne, Albert Boulay, Guy Colonges, Louis Jerez, Roger Mèche

    2e rang, Yves Bachère, Camille Ferrier, Hyppolite Sarraseca, Jean Teisseyre, Jean-Baptiste Gabanou, Jean-Louis Fauré, Robert Tournié, Raymond Guilhamat

    3e rang, Jean Hygounet, Ginès Lorca, Guy Dhers, André Garros, Sol Torrent, Jean Moulines, Roger Peyre

    Manque André Sola, Pepito Garcia, Jean Alabert