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Chalabre - Page 408

  • Lu dans la presse

    Divers échos relevés dans les journaux Le Rappel de l'Aude et La Fraternité, en date du 18 août.

    le courrier de l'aude,la fraternité

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    Le Rappel de l'Aude 18 août 1887

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    Le Rappel de l'Aude 18 août 1892

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    La Fraternité 18 août 1849

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    La Fraternité 18 août 1872

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    La Fraternité 18 août 1872

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    La Fraternité 18 août 1872

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    La Fraternité 18 août 1878

    le courrier de l'aude,la fraternité

    La Fraternité 18 août 1880

    Un faire-part de la naissance des autoroutes du Net, dans le journal La Fraternité du 18 août 1869

    1869 La Fraternité 18 août 001.pdf

    1869 La Fraternité 18 août 002.pdf

    1869 La Fraternité 18 août 003.pdf

  • Au revoir Laetitia

    laetitia planasMercredi 9 août, un émouvant hommage était rendu à Laetitia Planas, enlevée à l'affection des siens le dimanche 6 août à l'âge de 41 ans. Née à Lavelanet le 9 septembre 1981, elle avait grandi auprès de ses parents José et Carmen Planas, résidant à Chalabre. Elle suivra sa scolarité à l'école Louis-Pergaud et au collège Antoine-Pons, avant de rejoindre le lycée de Limoux.

    En 2000, elle intègre un parcours d'études à Toulouse qui l’amènent à une formation d'infirmière. Son diplôme d'état en poche, elle rejoint le service de cancérologie à l'institut Claudius-Regaud de Toulouse, au cours de l'année 2004. Pour des raisons sentimentales, Laetitia part à Paris en 2010 et intègre l'effectif de l'institut Joliot-Curie. Au cours de l'année 2013, elle acquiert le statut de maman, avec la naissance de son cher petit Timéo. Elle effectuera ensuite un retour vers la Ville Rose et entre au sein de l'équipe de l'Oncopole.

    Affectée depuis plusieurs années par de graves problèmes de santé, elle est atteinte d'un deuxième cancer en 2014, qui la contraindra à interrompre son travail en 2016. Laetitia résidait dans sa maison à Montlaur, petite commune proche de Toulouse, dans laquelle elle avait emménagé en 2017, et où elle bénéficiait du soutien constant de José son père et de ses proches. Jusqu'à ce que son corps ne perde le combat face au mal, elle s'éteint dans les services de l'Oncopole à l'âge de 41 ans.

    Laetitia laisse l'image d'une personne joyeuse, disponible, dynamique, qui donnait tout dans son travail au service des autres. En matière de loisirs, elle avait longtemps pris plaisir à suivre les conseils de sa grande soeur Karine, sa meilleure professeur de danse. Chacun gardera le souvenir d’une belle personnalité à l’optimisme communicatif, animée par la joie de vivre, qui aura mené un dur combat durant toute son existence.

    Depuis ce coin de Lauragais qui l'avait adoptée, Laetitia a été accompagnée vers son ultime voyage par une nombreuse assemblée que le chagrin et le deuil unissaient. En ces cruelles circonstances, très sincères condoléances à son fils Timéo, à José son père, à Karine, Gaël et Yannick sa sœur et ses frères, à toutes les personnes frappées par cette disparition.

  • C'était hier : Jean-Christian Michel et ses notes de lumière

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 17 août 2003.

    jean-christian michel

    Jean-Christian Michel invité de l'ASPAK, accompagné par Monique Thus aux claviers

    Photos archives, août 2003

    L'affiche proposée par l'association de sauvegarde du patrimoine artistique en Kercorb (ASPAK), chère à Malou Saddier sa présidente, aura été une invitation au voyage vers une autre dimension, grâce au spectacle de sonorités et de lumières offert par le clarinettiste et compositeur Jean-Christian Michel. La planète rouge brillait d'un éclat nouveau dans la nuit chalabroise tandis que l'église Saint-Pierre, à l'image d'un vaisseau intergalactique, pivotait sur ses bases, embarquant un auditoire envoûté vers des destinations cosmiques. Aux commandes, Jean-Christian Michel accompagné aux claviers par Monique Thus sa collaboratrice de toujours.

    jean-christian michelDans son costume de pionnier de l'espace et sur des harmonies inspirées de la musique sacrée de Jean-Sébastien Bach, Jean-Christian Michel a ouvert les portes de son univers méditatif, délivrant tel l'archange annonciateur, son message céleste. Visiblement passionné par les mystères de l'univers, alchimiste de la musique et compositeur hors du temps, Jean-Christian Michel a réussi à faire partager deux heures durant, une ferveur qui a suscité émotion et réflexion.

    Musique sacrée originale et inclassable qui a exercé dans l'obscurité de la nef de Saint-Pierre, une véritable fascination sur un public debout applaudissant à tout rompre. Comme pour prolonger un voyage « Au coeur des étoiles » et chercher sans vouloir la trouver, une solution à « l'équation de l'infini ».

    jean-christian michel