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car'al'oulo

  • C'était hier : « Car'Al'Oulo » a tenu en haleine son jeune public

    L'article en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 17 février 2005. Il rendait compte d'une des nombreuses animations régulièrement mises en place à l'initiative d'un mouvement né en novembre 1994. Lorsque les élus et les diverses associations du canton avaient décidé d’expérimenter la programmation de spectacles vivants pour enfants et adultes. Car'Al'Oulo avait ainsi vu le jour.

    car'al'ouloAvec l'arrivée du mois de février et à l'invitation de Car'Al'Oulo, réseau culturel du Chalabrais, les scolaires du canton ont retrouvé avec plaisir le chemin du théâtre municipal. Un parterre impatient à l'heure d'embarquer pour un voyage sans fin en direction de l'astre de nuit, et qui ne sait pas encore qu'il va rater la fusée de retour.

    Abandonnés à 38 000 km de la Terre, nos petits spationautes seront-ils les premiers à mourir sur la Lune ? C'est sans compter avec l'irruption de Till et d'Echadibiles, deux personnages indéfinissables, créatures irréelles, autochtones ou cousins de E.T.

    Aller au bout de l'inconnu Leur rencontre va bouleverser nos jeunes aventuriers, venus de la lointaine Terre déjà munis de quelques belles certitudes. Illuminé par une nouvelle vision de l'Univers et fasciné par la tendre patience d'amis aussi étranges, chacun va très vite apprendre à vivre sur la Lune, invité à aller au bout de l'inconnu.

    Produit par la compagnie « Bolega-Bolega » d'Argens-Minervois, ce voyage sans fin a tenu en haleine un jeune public émerveillé par une atmosphère étourdissante et féérique. Une Odyssée sans retour,... et sans turbulences, avec de talentueux marionnettistes aux commandes.

  • C'était hier : Car'Al'Oulo nous a offert « Le silence de la mer »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 7 décembre 1998.

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    Superbe performance d'acteur pour Noël Camos

    Photo archives, Décembre 1998

    Le 20 février 1942, quelque part dans Paris, deux résistants de la première heure, Pierre de Lescure et le dessinateur Jean Bruller fondent une maison d'édition clandestine, les éditions de Minuit. Dans le secret le plus absolu et dans le minuscule atelier d'un imprimeur de faire-part, une première publication est réalisée, il s'agit d'une nouvelle intitulée « Le silence de la mer ». Elle est signée Vercors, pseudonyme qui cache Bruller lui-même. Cette nouvelle dédiée à la mémoire du poète Saint-Pol Roux assassiné par les Allemands le 18 octobre 1940 était mise en scène par la compagnie Avant-Quart, invitée vendredi sur la scène du théâtre municipal par Car'Al'oulo, réseau culturel du Chalabrais.

    La voix du maréchal rompt le silence et d'emblée le spectateur se retrouvé plongé dans le climat de la France occupée. Un officier allemand est logé dans une maison dont les habitants, le narrateur et sa nièce, se sont réfugiés au coeur de la bibliothèque. Cultivé et admirateur de la civilisation française, il s'efforce en leur rendant visite tous les soirs, d'établir avec eux un contact humain, mais il se heurte à un silence obstiné, le silence de la mer dont le calme n'est qu'apparent. Dans une France écrasée par le nazisme, l'occupant semble disposé à « collaborer » et à oublier l'intermède militaire. Mais face à lui, nul n'est disposé à distinguer le nazi de l'Allemand, à chercher sous le lieutenant l'étudiant, sous le soldat le paysan ou l'ouvrier. Et en définitive, le monologue de l'officier ne parviendra pas à vaincre le silence.

    Superbement servis par Noël Camos, impressionnant de présence sur scène, les écrits de Vercors dictés par l'esprit de résistance à un moment où l'Histoire n'était pas encore écrite, invitent à espérer, à résister et à croire en la vie, en luttant contre toutes les injustices, les violences du pouvoir et les haines. Le rideau tombe dans un silence troublant, les spectateurs étant ensuite invités à parcourir les tableaux d'une exposition sur la Résistance, où l'on retrouve l'Affiche Rouge et le Réseau Manoukian, où l'on découvre la lettre édifiante d'un délateur...

    Félicitations à Noël Camos, à la compagnie Avant-Quart et au réseau Car'Al'oulo, un rendez-vous est pris pour le jeune public, la pièce sera présentée aux écoles primaires du canton de Chalabre.

  • C’était hier : Car’Al’Oulo frappe les trois coups

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 14 janvier 2003.

    car'al'ouloTom Torel chante Léo Ferré (Photo archives).

    En ouverture de sa saison 2003, le réseau culturel du Chalabrais Car’Al’Oulo, propose de vivre une histoire d’amour d’un soir avec Léo Ferré. Grâce au duo Tom Torel et Bruno Degaille de la Compagnie du Clapas, interprètes d’un spectacle intitulé « Si au moins ça pouvait ressembler à l’Italie », sur des textes de Léo Ferré extraits de « Poètes… vos papiers ».

    « Léo, on ne sait s’il sortait d’un bal populaire au petit matin, les yeux rougis et tout transpirant d’avoir trop dansé le tango avec une jolie môme ou bien d’une barricade érigée en plein front de la bêtise humaine . En tout cas l’homme au regard de fou et aux cheveux d’ange a ouvert sa grande gueule et ses paroles de visionnaire sont restées intactes, pour ne pas dire d’actualité. Il faut dire qu’un poète « anar » ça laisse des traces ».

    Avec Léo l’Italien, et ces grands bonheur de l’écriture que sont Louis Aragon et Jean-Roger Caussimon, mais aussi Charles Baudelaire et Guillaume Apollinaire, le spectateur est invité à une promenade plus ou moins paisible au pays des hommes, le vendredi 17 janvier à 21 h, salle de la mairie à Puivert.   

  • C’était hier : « Coquineries » : humour et érotisme avec Car'Al'Oulo

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 13 mars 2002.

    car'al'ouloJean-Marc Pierson et Pascale Chèvreton vous invitent à une soirée érotico-coquine (Photos archives, mars 2002).

    Dans le cadre de sa programmation de spectacles vivants, le réseau culturel du Chalabrais « Car'Al'Oulo » lance une invitation placée sous le double signe de l’humour et de la coquinerie. « Coquineries » est d’ailleurs le titre parfaitement évocateur d’un spectacle pour tout public averti, au cours duquel érotisme, devrait rimer avec humour, tendresse et sourires. Jean-Marc Pierson et Pascale Chèvreton, complices dans la vie comme sur les planches présenteront des « contes de l’envie d’elle et du désir de lui ». Une histoire vieille comme le monde contée par un duo très coquin, sur des textes de Henri Gougaud. Sans jamais tomber dans la vulgarité, les deux artistes se proposent de nous offrir une autre approche de la séduction, de l’acte charnel, du désir, de la découverte de l’autre. Une proposition tout à fait honnête, en direction d'un public invité à afficher une humeur mutine. 

    « Il apparaît que les mille jeux du sexe furent partout célébrés à l'égal des manifestations les plus sacrées du bonheur d'être... et qu'il n'est pas de plus joyeux devoir que de célébrer ces outils qui nous furent donnés » (Henri Gougaud).

    Pour tout renseignement complémentaire et réservations, contacter le foyer d’éducation populaire au 04 68 69 24 87.