Dimanche 6 novembre, pour le compte de la Coupe de l’Aude, le TC du Chalabrais accueillait son homologue quillanais. Ce dernier match de poule s’est soldé par une défaite des raquettes du président Bruno Carbonnel sur le score de 2 à 3. Victoire en double messieurs d’Hugues Ferrié associé à Cyril Gérard, défaite du double mixte Bruno Carbonnel-Laurence Bérenguer, défaites en simple de Lucas et Sirima Martinez, et victoire de Joris Fourcassa. Ce revers ne modifie pas le classement, et le TC du Chalabrais conserve sa première place, dans l’attente d’un 1/8e de finale qui se jouera le 20 novembre.

Attentif en tribunes, Erwan Conte s'est dit prêt à monter au filet.

La formation qui se déplaçait en Malepère pour le compte de la Coupe de l’Amitié a également chuté. Victoire de Gérald Mourareau en simple, défaites de Fanny Birba et Bernard Floch en double mixte, et défaite de Céline Amiel en simple dame.

Les licenciés de l’UBK sont dans la dernière ligne droite de la saison.

Au terme de quatre tours qualificatifs engagés le 8 octobre dernier, le tournoi officiel de pétanque du secteur de la Haute-Vallée, entrera dans sa phase finale le dimanche 13 novembre à Quillan. Pour l’occasion, l’Union Bouliste du Kercorb et son président Yvan Carbonneau, présenteront trois triplettes aux couleurs de l’UBK passées par des éliminatoires disputés sur les boulodromes de la Haute-Vallée. Ces trois trios seront accompagnés par le soliste Emilien Carbonneau, qualifié pour la finale en tête-à-tête.

Bien connus dans le milieu des pieds tanqués, Nicolas Serano, Jean-Pierre Carbou et Yvan Carbonneau ont décroché leur sésame le 22 octobre à Quillan, à l’image de Georges Hamida, Emilien Carbonneau et Didier Roget. Et le 29 octobre à Espéraza, Olivier Carbonneau, Jordan Cayrol et Santiago Martinez venaient compléter la liste des qualifiés.

Rendez-vous dimanche 13 novembre dans la cité des trois Quilles, le matin sera consacré à la finale en tête-à-tête, les triplettes entreront en lice dans l’après-midi. 

Cérémonie en hommage aux Poilus.

La cérémonie commémorant le 98e anniversaire de la signature de l’Armistice à Rethondes, sera célébrée vendredi 11 novembre. Jean-Jacques Aulombard, son conseil municipal et le comité des anciens combattants invitent la population à s’associer à cette journée du souvenir. Le cortège se formera à 11h devant la mairie, puis rejoindra le monument aux Morts et le carré militaire. L’accompagnement musical sera assuré par les musiciens de Batucada et un vin d’honneur sera partagé à l’issue de la cérémonie.

Le coin des philosophes.

Sur le thème « Violence et Religion », le rendez-vous bi-mensuel du café-philo de la « Terre privilégiée », aura lieu le vendredi 18 novembre à 17h 30 à l’hôtel de France. « Chacun a raison de son propre point de vue, mais il n’est pas impossible que tout le monde ait tort » Gandhi (participation 3 €).

Après le décès de Danielle Tisseyre, survenu dernièrement à Gueytes-et-Labastide, ses proches ont souhaité lui rendre hommage.

Le mardi 25 octobre dernier, la cruelle nouvelle est brutalement tombée. Après avoir courageusement lutté contre la longue et mauvaise maladie, Danielle Tisseyre s’est éteinte auprès de son mari vers 5 h du matin, à l’âge de 70 ans. Danielle était arrivée de Toulouse en 1974, en joignant son destin à Jean-Paul Tisseyre, un enfant de Gueytes. Elle s’intégra rapidement à la vie du village. Bientôt, un petit garçon, Eric, viendra faire la joie de ce jeune foyer et des grands-parents.

C’est un rayon de soleil qui fût amené par cette jeune fille, toujours joviale, souriante, prête à rendre service à n’importe qui dans ce petit village qui ne demandait qu’à accueillir des jeunes comme elle, pour donner un peu d’animation dans ce monde rural.

Il faut dire que dès son arrivée, Danielle n’a pas reculé devant les responsabilités qui allaient bientôt l’accabler, car très vite sa belle-mère Noélie est tombée gravement malade, et sans relâche pendant trois longues années, Danielle s’est donnée sans compter pour soigner et agrémenter les journées de Noélie, qui s’est éteinte en janvier 1977.

Par la suite, elle dût assumer la tache de soigner son beau-père Joseph, tombé lui aussi gravement malade en 1982, et qui décèdera en 1985. Pour terminer, voilà un peu plus d’un an, ce fut autour de son beau-frère Albert de tomber malade, emporté en deux mois par la maladie. Dans le même temps, Danielle travaillait comme technicienne de surface à la clinique La Soulano de Lavelanet.

Danielle avait le cœur sur la main, car en plus de son travail et des responsabilités familiales, elle était toujours prête à rendre service, à un ami, un voisin, qui n’avait rien pour se déplacer, pour aller faire des courses ou chez le médecin.    

Malheureusement, la maladie cruelle et sournoise n’a pas tenu compte de tout ce qu’elle avait fait pour rendre service à sa famille ou ses voisins, et s’est attaquée à elle en septembre 2015. Après deux lourdes interventions chirurgicales à l’hôpital Pierre-Paul Riquet de Toulouse, son état s’est soudainement aggravé, jusqu’à son dernier souffle, mardi 25 octobre dernier.

A son mari Jean-Paul qui a veillé sur elle à la maison tout au long de sa maladie, à son fils Eric et à sa petite-fille Océane, qui ont contribué à ses soins, et à tous ceux que ce deuil afflige, sincères condoléances et mots d’encouragement.