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  • C'était un 1er mai

    Rugby : L’USCKBP soulève la Coupe des Pyrénées.

    usckbp rugbyL’essai de la délivrance, signé Jérémy Roncalli (Photos Patrick Pierron, compte-rendu Sébastien Danjou).

    Dimanche 1er mai était jour de fête pour le quinze de la Vallée de l’Hers, vainqueur de la Coupe des Pyrénées de 4e série à Bruguières, au terme d’une rencontre enlevée face au RC Septfontois, sur le score de 18 à 8 (mi-temps 8-5). Une finale à l’amorce un peu irréelle, avec l’arrivée aux limites du « hors-délai », d’un adversaire que l’USCKBP, à l’échauffement, n’attendait plus.

    Joël Capelle pourra toutefois libérer les deux équipes dans les délais impartis, et ce sont les lignes arrière de Septfonds qui vont frapper les premières, effaçant une défense de l'Hers totalement apathique pour signer un essai en coin, non transformé (0-5). Cette banderille plantée au bout de cinq minutes de jeu, qui sera la seule, aura le don d’aiguillonner des « blanc et bleu » qui vont alors faire le métier sans se faire prier.    

    A la 16e mn, Eliot Floch signe une pénalité face aux poteaux (3-5). Le quinze de la Vallée de l'Hers dispose de tous les ballons, mais les attaques échouent pour fautes de main. A la toute dernière minute avant la pause, Alex Dumay signe un débordement le long de la touche pour aplatir en coin, et donner l’avantage aux siens (8 à 5).

    La deuxième période sera toute à l'avantage d’une Entente qui n’arrive pas à faire le break, toujours contrariée par de nombreuses fautes de main. Une pénalité partout verra le « planchot » afficher le score de 11 à 8. Et puis viendra la 65e minute et le coup de génie de Jérémy Roncalli. D'un coup de pied à suivre justement dosé pour lui-même, l’ailier fétiche de l’Entente file aplatir entre les pagelles, et concrétise la domination du XV des Trois Clochers. Eliot Floch va assurer la transformation et mettre les siens à l'abri d'un retour au score des « rouge et noir » (18 -8). La défense de l'Hers sera intraitable jusqu'au trille final, repoussant chaque assaut septfontois. Au bout de l’effort, une victoire, et une coupe acquise à force de travail et de sacrifices, consentis au plus dur de l'hiver. Supportrices et supporters ont assuré l'ambiance dans les tribunes, enlevant eux aussi la Coupe des aficionados. 

    Un grand bravo pour cette belle fin de saison, à cette superbe Entente, servie par une équipe de copains, et encadrée par l’expérience d’un quatuor d’entraîneurs, Jean-François Manenti, Jean-François Pichéric, Jean-François Toustou, Arnaud Molini, lesquels auront réussi à modeler un groupe promis à de nouvelles prouesses.

    usckbp rugby

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  • Andréa Naudy n’est plus

    andréa naudy

    Un dernier hommage était rendu jeudi 29 avril à Madame Andréa Naudy née Abat, domiciliée route de Limoux et décédée mercredi 21 avril à l’âge de 85 ans. Après la cérémonie de crémation célébrée lundi 26 avril à Trèbes, un temps de recueillement sous les cèdres du cimetière de Chalabre a permis à chacun de témoigner son soutien à une famille dans la peine.

    Andréa Naudy avait vu le jour le 29 avril 1935 à la métairie du Bousquet, commune de Sonnac-sur-l’Hers, puis elle suivra ses parents Emile et Juliette et sa sœur aînée Josette, jusqu’à la ferme de Janicou, sur la commune de Saint-Benoît. Temps très difficiles, quand le pays est déchiré par la guerre et que le père de famille se trouve prisonnier en Allemagne durant cinq ans.

    A son retour de captivité, Emile et son épouse Juliette se séparent de leur paire de bœufs et achètent une maison rue du Presbytère à Chalabre, où ils s’installent définitivement. Le cercle de famille s’agrandit avec l’arrivée de la petite sœur Annie, et le 1er juillet 1949, Andréa entre dans la vie active au sein de la fabrique de chaussures et de chapeaux Garrouste au Cazal, jusqu’à fin juin 1951. Le mois de juillet 1951 se termine lorsqu’elle intègre les effectifs de l’usine Canat Hutchinson, pour un long bail qui se terminera le 25 août 1975. Après la fermeture définitive de la manufacture de chaussures, Andréa va subir une période de chômage mais retrouve un emploi chez AJC Sibra Chaussures, l’occasion de renouer avec le cadre du Cazal. L’entreprise cessera de fonctionner en avril 1986, et Andréa se retrouve à nouveau sans activité, dans un pays du Chalabrais de plus en plus affecté par le chômage. Andréa fera valoir ses droits à la retraite le 1er mai 1995.

    Vie professionnelle et vie familiale iront de pair, avec la rencontre en 1955 du jeune musicien André, « son ange gardien », à l’occasion d’un mariage. Le leur sera célébré un an plus tard, en 1956, mais lorsque Jean-Claude leur fils unique vient au monde en avril 1957, André est parti sous les drapeaux quelques jours auparavant, pour 28 mois dont 24 en Algérie.

    Au retour de l’appelé, en mars 1959, la petite famille s’installe à la Terre-Blanche, puis rue du Pont-Vieux chez « Manou Anduze » (1962). Un dernier déménagement vers la route de Limoux interviendra en 1972, « pour profiter de la campagne ».

    Andréa aimait la nature, son jardin et les fleurs. Avec un péché mignon, celui de grimper dans le cerisier, ce qui mettait André dans tous ses états. Aller aux champignons était son plus grand plaisir, prospectrice avertie et formée à l‘école de papa Emile. Excellente cuisinière à l’image de maman Juliette, elle adorait la compagnie de ses amis et de sa famille.

    Affaiblie par la maladie depuis quatre années, soutenue sans faille par son mari André, elle est partie après avoir profité de ses petites filles et de sa belle-fille. Le seul regret sera de ne pas avoir connue son arrière petite fille Gaïa née en cette fin mars.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à André son mari, à son fils Jean-Claude, à Marie sa belle-fille, à ses petites filles Charlotte et Audrey, à son arrière petite fille Gaïa, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

  • Chantiers de printemps

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    Avec les travaux qui viennent de commencer, destinés à rendre un peu de son allant à la rue du Pont-Vieux, un deuxième chantier prend forme autour de la bibliothèque municipale voisine, dont le toit va faire l’objet d’une complète réfection.

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  • Quand la mairie devient la cible des incendiaires

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    C’était en 2011, dans la nuit du 27 au 28 avril vers 4 h du matin, des riverains réveillés par la fumée s’empressaient de sortir et d’éteindre les flammes avec un extincteur. C’est qu’un feu allumé semble-t-il intentionnellement et alimenté par des branches de buis, attaquait la vieille porte à deux battants de la maison commune. Un fait divers qui n’avait pas manqué d’entretenir les conversations sur le tour de ville et dans les chaumières.

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