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  • C'était hier : Le tour du canton à vélo

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du samedi 7 juin 2003

    cyclo vtt club du chalabraisFrançois Lopez, président d'honneur, a donné le départ de la balade (Photo archives, Juin 2003. De gauche à droite, debout, Francis Amouroux, Patrick Rault, Gilbert Huillet, François Lopez, Jean Quério, René Jaulens, César Martinez, Robert Béret. Accroupies, Maryse Amouroux et Monique Rault)

    Depuis samedi, les protégés de Maryse Amouroux, présidente des CCC, ont un tour de plus dans leur musette, en l'occurrence un tour du canton effectué dans le cadre des traditionnelles fêtes de l'Ascension. Sous une chaleur caniculaire, mais parfaitement calés à l'ombre de leur visière, nos dix valeureux coursiers un brin conservateurs ont bouclé un nouveau tour à allure cyclotouriste. Tandis qu'à l'arrière, l'intarissable Gilbert évoquait le passé et les anecdotes qui font la richesse du club.

    Par la vallée du Puy Vert et le col de la Babourade, le peloton atteindra sans encombre l'accueillant hameau de Mouche des Esqueilles, avant de plonger sur Bélesta via le col del Teil. Longer à la fraîche les rives de l'Hers jusqu'à La Bastide sera un pur régal, et à Campredon les cracks du pédalier avaient déjà retrouvé tout leur allant. A la bonne heure, puisqu'il fallait encore rallier le val d'Ambronne avant l'escalade des cols du Bac et de la Flotte.

    Au terme d'une soixantaine de kilomètres, nos mordus du dénivelé réintégraient le bercail et retrouvaient François Lopez, leur président d'honneur, lequel avait donné le départ de la randonnée devant le café de la Paix. Une randonnée pendant laquelle le peloton n'a pas oublié de ménager un trio composé de Monique et Patrick Rault et de Robert Béret, qui participaient le lendemain même à l'Albigeoise. Une cyclosportive qu'ils ont enchaîné quelques jours seulement après être sorti avec les lauriers, de l'enfer du Bouquet de Tavel.                     

  • « La femme du café »

    Le Grand prix littéraire international 2023, proposé par l’association Philémon avec la Société des poètes et artistes de France Occitanie, vient de permettre à l’ami Jean-Louis Sanchez d’obtenir une nouvelle récompense.

    Cette fois, et dans la catégorie Poésie libérée (versification sans rime), JIEL obtient la 2e mention pour « La femme du café ». Dans l’attente d’une remise des prix qui se déroulera le samedi 1er juillet prochain à la Maison de la Citoyenneté à Toulouse, où les poèmes primés seront déclamés, JIEL offre quelques instants en compagnie de « La femme du café ». Instants qui lui ont été inspirés par une huile sur toile du peintre Aldo Balding.

    jiel

    La femme du café

    Assise depuis des heures
    Devant ce guéridon de marbre,
    Elle attend et espère encore.
    Ses grands yeux bleus figés
    Vers ailleurs, vers nulle part ;
    Elle attend et désespère toujours.
    La tasse est sèche,
    Les sèches parties en fumée,
    Il n’est pas venu !
    Patiente mais vaincue,
    Absente et meurtrie,
    Il ne viendra plus…
    Debout depuis toujours
    Devant cette dalle de marbre,
    Une rose rouge à la main,
    Il n’est jamais venu...

    JIEL

  • Le Peyrat : L'atelier Au bout du fil invite au voyage

    atelier au bout du fil,catherine robin

    Avec les vacances qui s'annoncent, le prochain stage de l'atelier de reliure Au bout du fil, sera consacré à la réalisation d'un carnet de voyage. Catherine Robin propose la fabrication d'un objet qui sera votre compagnon de l'été pour dessiner, peindre, écrire, relater... toutes les rencontres du moment.

    Rendez-vous le samedi 10 juin à l'atelier Au bout du fil, Le Moulin, au Peyrat (Ariège). Les horaires sont de 9 h 30 à 13 h et de 14 h à 17 h. Pour la pause déjeuner du midi, il est possible de rester sur place avec son pique-nique. L'atelier propose aussi des cours hebdomadaires de reliure pour avancer à son rythme au fil de ses envies. Informations et réservations auprès de Catherine Robin au 06 41 37 17 49.

  • C’était hier : Des nouvelles de la Classe 48

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 1er juin 1998. Soit un léger différé de cinq jours et une confirmation, rien n'a jamais été simple avec la Classe 48.

    classe 1948Ils avaient 20 ans en 1968 (Photo archives, Mai 1998).

    Les traditionnelles fêtes de l’Ascension ont servi de cadre à de très sympathiques retrouvailles entre fringants quinquagénaires, invités à retrouver la douceur du pays chalabrais. Unis par une commune année de naissance et un berceau commun, celui du Kercorb, ils étaient à nouveau présents sur les cours Colbert et Sully, cours témoins de leur enfance chalabroise heureuse et insouciante. A l’instar des manèges de leur prime jeunesse, le temps et les années ont continué à tourner, sans toutefois altérer la bonne humeur de ces jeunes filles et jeunes garçons qui eurent vingt ans en 1968.

    C’était samedi sous le balcon de l’hôtel de ville de Chalabre, tous n’étaient pas là bien sûr, mais tous étaient visiblement heureux de se retrouver, comme au bon vieux temps de la communale. L’animation qui régnait dans cette cour de récréation improvisée, n’avait certainement rien à envier à l’ambiance qui peut régner aujourd’hui aux abords de l’école Louis-Pergaud. De souvenirs d’enfance en souvenirs de classe, la Classe 48 a participé à la fête tout au long d’une journée qui avait commencé par un hommage rendu aux amis malheureusement aujourd‘hui disparus.

    Michèle, Viviane, Jean-Pierre, Christian, Pierrot, José, Francis, Daniel, Michel, Gérard, Freddy,… ont bouclé un demi-siècle d’existence sans qu’il n’y paraisse. Cinquante ans, le bel âge !