L’écho mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 4 avril 1998.
Malgré des mesures renforcées, la lignée des Badaluc survivra-t-elle à cette fin de siècle ?
Photo archives, Mars 1994
Badaluc XXXe du nom, prince de l’éphémère et héritier d’une prestigieuse lignée honorera-t-il cette année encore notre accueillante cité chalabroise ? Ou bien gardera-t-il en mémoire cette cruelle mésaventure survenue en 1993, quand son illustre ancêtre, avait été victime au petit matin de juges noctambules très expéditifs ? Un forfait sans précédent d’ailleurs non élucidé à ce jour, et qui avait plongé les carnavaliers du Chalabrais dans le désarroi le plus complet.
Depuis lors et afin de préserver l’intégrité d’un invité illustre, les sociétaires de l’OPVC se voient contraints d’utiliser les grands moyens, au risque de se mettre hors-la-loi, comme l’indique ce cliché d’archives. « Viendra, viendra pas ? », Certes Badaluc est bon prince et n’a pas la rancune tenace mais un flou insupportable est tout de même en train d’envelopper la capitale du Kercorb.