L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du mardi 13 avril 2010.

Titou Cnocquart et le bureau des Badalucs ont listé les objectifs pour 2010

Photos archives, Avril 2010

L'Amicale des anciens rugbymen du Kercorb, plus connue sous la dénomination « Badalucs », tenait tout dernièrement son assemblée générale au théâtre municipal. Accueillis par Thierry Cnocquart élu à la tête d'un collectif de présidents, les quinzistes vétérans ont été invités à revivre sur grand écran, les prestations accomplies tout au long d'une saison 2009 très active. Exercices sportifs agrémentés bien évidemment d'intermèdes festifs très suivis, notamment la soirée du nouvel An qui aura permis aux « Badalucs » disséminés dans l'hexagone de retrouver une sympathique mêlée. Un réveillon réussi en tous points, qu'ils ont d'ailleurs décidé de reconduire, reste à fixer une date, décision que le bureau devra prendre lors d'une prochaine réunion.

A l'heure des chiffres, Gérald Mourareau (photo) prenait la parole pour énoncer un bilan financier des plus sains, qui permet d'envisager quelques opérations d'envergure, vers des destinations qui restent à définir. Et si les nouvelles tenues pour 2010 ont obtenu un franc succès, les cravates ne sont pas en reste, grâce à un choix judicieux de couleurs qui fait l'unanimité.

Pour l'heure, les vieilles branches entretenues au ballon ovale conservent le bon tempo, et se préparent à honorer un grand rendez-vous du côté de la Collégiale de Montréal. Une invitation lancée par les « Suscrofats » dans le cadre du prochain festival de Bandas, permettrait entre autre réjouissances de retrouver l'ami Daniel Calbo, expatrié du côté des Lieux-Saints-Dominicains. Reconduit à l'unanimité, le bureau invitait l'assistance à prendre un apéritif avant de passer à table, dernier acte d'une journée de retrouvailles toujours aussi bienvenues.

Sébastien a proposé une initiation au maniement de la faux 

A l'invitation de la MAIF et de l’association Atout Fruit, le grand public s'est vu proposer une journée dédiée à la préservation du patrimoine fruitier local. C'était le samedi 5 avril, et les animations au programme se sont déroulées depuis l'ancienne gare de Chalabre, siège du Conservatoire des arbres fruitiers de la Voie Verte du Canal du Midi à Montségur.

Dans cet espace unique dédié à la sauvegarde des variétés fruitières locales, accueillis par Solène Callarec et Sébastien Leclair, petits et grands ont pu découvrir les techniques d’entretien des arbres fruitiers. Amateur de jardinage ou simple curieux, chacun a mis l'événement à profit pour s'initier aux techniques de greffe, de taille, de paillage ou encore de fauchage. Activités de terrain et ateliers pédagogiques se sont enchaînés, les différents sites étant ralliés à vélo par des participants qui avaient répondu nombreux à l'invitation.

Ces ateliers animés à la frontière Aude-Ariège par l’ANA-Conservatoire des espaces naturels en Ariège, Graine de Jardiniers, Le Verger d’hier et de demain, l’Association Prévention MAIF et Atout Fruits ont bénéficié d'un bel engouement. Après un repas champêtre offert par la MAIF, les activités se sont poursuivies aux abords de Sainte Colombe-sur-l'Hers, sur le site dit de la cabane de Freu, où Sébastien Leclair a proposé une séance de fauchage à la faux.

Confortés par les remerciements de participants enchantés, les organisateurs se sont félicités du « Plein succès d'un événement engagé pour la préservation de l’environnement et du patrimoine naturel de notre territoire ».

L'Université Populaire en Kercorb propose une nouvelle conférence le samedi 12 avril à 17 h à la Maison du Lac à Montbel : « Chronique d’un village minier en Nouvelle Calédonie de 1945 à 1964. Mémoire et patrimoine, une magistrale leçon d’humanité ». Ce nouveau rendez-vous sera animé par Épone Jouve, enseignante en Nouvelle-Calédonie pendant 15 ans, autrice de deux livres sur le patrimoine calédonien, et de nombreux articles et conférences.

La Nouvelle-Calédonie, située dans l'Océan Pacifique, près de l'Australie, à 20 000 kilomètres de la métropole, est un territoire français depuis 1853. Enseignante en brousse, à Koumac, petite bourgade à 450 km au nord de la capitale Nouméa, Epone Jouve s'est passionnée pour le village minier de « Tiébaghi, la Montagne du Tonnerre », symbole de richesse pour tous les

travailleurs venus extraire le chrome de sa mine pendant 60 ans. S'appuyant sur les témoignages des derniers habitants du village minier, elle vous invitera à découvrir leur quotidien rude, dangereux mais solidaire. Elle retracera aussi l'émouvante et extraordinaire aventure humaine qui a

rassemblé jusqu'à 1 500 personnes, toutes ethnies confondues, qui ont tissé souvent entre elles de solides liens d'amitié, au-delà des différences de pays ou de langues.

La conférencière évoquera aussi l'utilité du livre de patrimoine qui donne à connaître les valeurs, les états d'esprit et les manières de vivre des Anciens et la façon dont ces paroles, photos, documents peuvent être recueillis avec respect et ainsi transmis aux générations futures.

L'entrée est gratuite pour les adhérents, participation libre pour les non adhérents.

Courriel : upek11@laposte.net Blog : http://upek.over-blog.com

L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 11 avril 2005.

Jean Guichou et Joseph Mamet ont défini les limites du futur territoire

Photo archives, Avril 2005

Jeudi dernier, la nouvelle équipe des chasseurs de Montbel-Chalabre avait rendez-vous avec Jean Guichou, directeur de la fédération des chasseurs de l'Ariège. Une entrevue qui a permis de vérifier les limites des terres sur lesquelles la société possédait le droit de chasse. L'autre but de la visite étant de mettre en présence les chasseurs de Montbel-Chalabre et les agriculteurs concernés de Montbel et Ste-Colombe-sur-l'Hers afin de discuter de la meilleure façon de remédier aux dégâts causés par les sangliers dans les différentes propriétés. Les deux parties se sont mises d'accord afin de résoudre ces problèmes dans un intérêt commun, affaite à suivre donc.

Jean Guichou faisait ensuite remarquer qu'il fallait réfléchir aux statuts de certains territoires où la pression de chasse est devenue insuffisante : « Comme chacun le sait, le sanglier est une bête intelligente et certains secteurs sont devenus pour lui des zones de refuge. Aujourd'hui, la chasse demande une gestion rigoureuse, et pour que les dégâts soient minimisés, il faut une pression homogène sur l'ensemble de la région ». Au terme de ces discussions très fructueuses, agriculteurs et chasseurs mettent beaucoup d'espoir pour que la campagne 2005-2006 apporte à chacun les satisfactions souhaitées. Un bon repas partagé chez l'ami Dédou et son épouse Christiane a clôturé cette séance de travail.