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C'était hier - Page 34

  • C’était hier : « Nina Mendez », premier roman de Josette Taffet-Brzesc

    L’article en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du vendredi 5 août 2005.

    josette taffet-brzesc,nina mendez

    Josette Taffet-Brzesc a présenté son ouvrage aux côté de Christian Guilhamat

    Photos archives, Juillet 2005

    Nina a seize ans quand éclate la guerre d’Espagne. Elle est la fille du chauffeur du consul de France à Barcelone, jeune fille romanesque et fantasque, qui peut être égoïste, jalouse, calculatrice, mais aussi courageuse. A travers l’histoire de « Nina Mendez », Josette Taffet-Brzesc a souhaité faire revivre une période qui a engendré deux guerres, la première étant en quelque sorte cette « répétition générale » pressentie par l’un des personnages de ce roman historique : « Une histoire, certes, mais dans l’Histoire. Je me suis attachée à la plus grande rigueur dans la recherche et la présentation des faits historiques et des opinions affichées du moment, et cela sans parti pris. Ma préoccupation première a été de faire preuve d’impartialité et d’objectivité, et pour ce faire, donner vie à des personnages aux opinions différentes, mon seul objectif étant d’éclairer et de faire comprendre cette période si chargée de passions ».

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    Entre 1938 et 1944, entre les derniers mois de la guerre d’Espagne et la fin de l’occupation allemande, Josette Taffet-Brzesc suit ses personnages dans le fracas des armes, les affres des passions sentimentales et les difficultés du quotidien dans ces terres disputées entre le nazisme, le franquisme, et l’idée meurtrie de la République.

    Josette Taffet-Brzesc signe une fiction qui a pour cadre le pays qui l’a vu grandir, où la frontière est omniprésente. On la passe dans les cohortes des exilés espagnols, on la repasse avec les fugitifs d’après 1940, terre de refus, terre de mémoire, terre de traditions. « Nina Mendez » est l’œuvre d’une femme qui place une femme au cœur de son roman. Tiraillée entre deux hommes qui l’aiment, confrontée aux hommes qui font la guerre, l’héroïne porte un message de paix très actuel.

    Répondant à l’invitation de la municipalité, Josette Taffet-Brzesc présentait samedi son premier roman, le roman d’une vie puisqu’elle a passé près de cinq ans à en ciseler chaque phrase. « Nina Mendez » est paru aux éditions Empreinte et est disponible en librairie.

  • C'était hier : Papilles en fête sur les hauteurs du Cazal

    L'article en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du mardi 3 août 2010.

    La fête en l'honneur de Sainte Marie-Madeleine a tenu toute ses promesses avec l'ensemble des « Festejaïres ».

    fêtes du cazal

    Le cirque Cazalis avait lancé les festivités sur les boulevards

    Photos archives, Juillet 2010

    Une fois encore, la commune libre du Cazal a ouvert en grand ses portes à la faveur des traditionnelles fêtes célébrées en l’honneur de Sainte Marie-Madeleine, patronne des Cazaliens. Véritable oasis de paix toute l’année durant, le Cazal devient le mois de juillet venu, le symbole fort de la fête, et qui plus est, le « must » des fins palais. C’est ainsi qu’à la nuit tombée, 449 convives ont joyeusement investi la place centrale, invités à faire honneur à la cuisine de l’ami Richard, épaulé pour l’occasion par Arnaud. Un véritable festival pour les papilles, dans le cadre d’une fête ponctuée par de nombreux et mémorables temps forts.

    fêtes du cazal

    Ainsi dès vendredi soir, les cours chalabrois avaient reçu la visite du cirque Cazalis, ménagerie comprise. Samedi le stade intercommunal avait vibré à l’hommage rendu au rugbyman Francis Amouroux, sous la forme d’un jubilé surprise associé à la VIe édition du Bouclier Raymond Fort. Dans la matinée, un peloton de cyclistes plutôt fantasques avait assuré l’animation sur les cours de la bastide, puis, autour de minuit, une procession de nonnes avait remplacé au pied levé un show de majorettes décommandé.

    fêtes du cazal

    La femme à barbe et son éventail, la belle attraction de cette fin de semaine

    Dimanche après la messe, l’Avenir du Kercorb aura animé les artères de la cité cazalienne, exécutant impeccablement les Allobroges, les Apprentis marins, Auprès de ma blonde ou encore le Tram. L’heure était venue de prendre un verre d’apéritif, le temps de souffler un peu avant la XIVe édition de la course à la brouette et la prestation de la banda des Hauts de l’Aude. La pluie allait s’inviter aux réjouissances mais le rideau ne tomberait que bien plus tard sur la place du Cazal. Félicitations à l’ensemble des Festejaïres, certainement heureux d’avoir pu associer à la fête, le Kercorb et ses nombreux invités. Succès complet pour l’édition 2010, vivement 2011, le Cazal devrait être encore à la fête.

    fêtes du cazal

    fêtes du cazal

    fêtes du cazal

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    fêtes du cazal

  • C'était hier : Yves Deckmyn a raccroché son tablier

    L'article en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 2 août 2015.

    yves deckmyn

    De nombreux cadeaux, et une blouse de cuisinier, dédicacée

    Photo archives, Juillet 2015

    Le 1er avril 1983, Yves Deckmyn percevait une toque de cuisinier, avant de rejoindre les fourneaux de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques, maison de retraite de la rue Saint-Pierre. Eloigné de l'Orléanais, son pays d'origine, il engageait un bail de 32 ans avec le pays chalabrais, contrat prolongé jusqu’aux premiers jours de l’année 2015. En mars 2007, il fera l’expérience d’un nouveau départ au sein de l'hôpital des Hauts-de Bon-Accueil, avec le lot de changements inhérents, et une sensible modification de ses occupations quotidiennes.

    yves deckmyn

    Tout récemment et non loin du parc où tout avait débuté, une joyeuse assemblée dans la confidence depuis plusieurs semaines, lui réservait une belle surprise. Avec une fête très sympathique réunissant collègues et amis, sous les platanes de la place Charles Amouroux, où Yves Deckmyn a officiellement mis un terme à sa carrière professionnelle. L’occasion également de refaire le chemin à l’envers, grâce à la projection d’un remarquable reportage vidéo monté par ses amis et collègues.

    yves deckmyn

    Les nombreux témoignages de reconnaissance formulés sont allés droit au cœur de l’ami Yves, heureux de retrouver famille et amis, au terme de plusieurs mois d’incertitude liés à de graves ennuis de santé. Le néo retraité remerciait chaleureusement la joyeuse assistance, et l’invitait à poursuivre la fête. Excellente retraite Yves !

    yves deckmyn

    Visite du préfet à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques

    Photo archives, Septembre 1995

  • « Allons prendre le train »

    Le mardi 1er août 1905, les potaches chalabrois se voyaient invités à effectuer le calcul qui suit :

    « Deux trains de chemin de fer font le trajet de Paris à Lyon l'un en 8 h 50 l'autre en 18 h. Le 1er fait 29 k 517 à l'heure de plus que le 2e. Calculer à un km près la distance de Paris à Lyon ». 

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