
Deux paires de bœufs labourent la plaine de l'Hers
En haut à gauche, Le Bourgat, à droite, la maisonnette du garde-barrière et Saint-Martin

C'est la vie de château,... pourvu que ça dure
Photos Maurice Mazon
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Deux paires de bœufs labourent la plaine de l'Hers
En haut à gauche, Le Bourgat, à droite, la maisonnette du garde-barrière et Saint-Martin

C'est la vie de château,... pourvu que ça dure
Photos Maurice Mazon
L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du vendredi 27 août 2010.
A la sortie d’une première zone de turbulences, le duo n’est pas au bout de ses peines (Photos archives août 2010).
La Ve édition de la course à la brouette de Camon (Ariège) se déroulait dimanche 22 août dans l’enceinte de la vieille ville, parée comme à son habitude d’un magnifique ornement de roses. Les amateurs d’émotions fortes ne s’étaient pas trompés et se pressaient dès 19h aux abords de la Place Saint Oreste afin d’assister à un spectacle grandiose, à l’image des quatre précédentes éditions. Sous les ordres d’un starter obnubilé par la proche présence de sa dulcinée et avec les commentaires avisés de Mathieu expert en brouette à chenilles, quatre équipages parmi lesquels les « Chercheurs d’or du Kercorb », allaient prendre d’assaut les fortifications du village aux cent rosiers.
A l’amorce du deuxième tour, Romain Sicre et Jérémy Roncalli, auteurs d’un exploit deux semaines auparavant sur les hauteurs du Cazal, semblaient en mesure de rééditer la performance. Mais à la hauteur de la porte voûtée de l’église, une plaque savonneuse va trahir nos chercheurs d’or, piégés en un deuxième temps par un mélange que n’aurait pas renié le regretté Yoyo. L’estocade finale leur sera portée par les futurs vainqueurs, fourbes et embarqués au nez et à la barbe du jury, sur un prototype muni de deux roues supplémentaires. Le stratagème permettra au perfide duo de coiffer sur le poteau Romain et Jérémy, beaux joueurs réconfortés par Polo leur coach, à l’heure de prendre place sur le podium. Faisant fi des doléances soulevées par la colonie de supporters présents en Ariège, les juges aussi froids que le caillou n’auront pas permis aux vainqueurs du Cazal 2010 de réaliser un doublé largement à leur portée. Sans doute faut-il chercher dans cette décision arbitraire teintée de rancune, une envie à peine dissimulée de faire payer aux voisins, leur non-assistance à village en danger, Camon l’Audoise ayant été purement et simplement annexée par l’Ariège,... en 1794.
Coach fair-play, Paulo n'a pas jugé utile de poser une réclamation
Le mercredi 8 mai 1957, Chalabre commémore la victoire des armées alliées sur les forces hitlériennes. Le maire Maurice Samitier et les élus, accompagnés par le comité des anciens combattants aux côtés de Lazare Anduze et Louis Cavayé, précèdent les Chalabroises et les Chalabrois. Chacun est venu rendre hommage aux générations de jeunes patriotes ayant combattu pour que leur pays recouvre la Liberté (Photos Maurice Mazon).

Musique en tête, le cortège s'apprête à partir
Elus, gendarmes et pompiers emboîtent le pas à la musique
On reconnaît Marcel Triat, Eloi Alabert (caché), André Sicre, Raoul Prédal, Roger Raynaud et une petite Anne-Marie, Fernand Courdil, Yves Fournès, Raymond Conquet, François Huillet, Augustin Maugard, Henri Quimeso, Aristide Roudière, A. Boutellier, Maurice Samitier,...

Aux abords de la Croix des Missions
Nicole Nogaret, Eliane Roncalli, Jeannette Pianetti, Claudine Pech, Mlle Jeanne Huillet, Marie-Louise Parrenin Cabrera, Marie-France Baptiste, Marie-Thérèse Parrenin, Francine Pianetti,...

Moïse Condomines, porte-drapeau
Il précède MM. Samitier, Boutellier, Quimeso, Roudière, Huillet, Raynaud, Courdil, Conquet, Fournès

Pierre Sancho et Marcel Ancin portent la gerbe de la 1ère armée française
Aux côtés d'Antoine Martin, porte-drapeau, Simone Sanchez Santoro
suivis de l'abbé Raymond Fourtanier, Louis Cavayé, Fernand Pont

Maurice Samitié et Louis Cavayé procèdent au dépôt de gerbe

Prise de parole de Louis Cavayé
Derrière lui, Eloi Alabert, Pierre Sancho, Marcel Ancin, l'abbé Raymond Fourtanier, Antoine Murillo, les petits Simone Sanchez et Francis Romero, André Conte, Charles Franzone, René Huillet

Prise de parole de Lazare Anduze
On peut reconnaître Roger Combes, Joseph Jouret, Louis et Jacques Arcizet, Félicien Blanchet, François Mèche et les élus déjà cités

Face à la caserne de la gendarmerie nationale, la maison natale du Capitaine Danjou
Avant le dépôt de gerbe, l'Harmonie interprète peut-être le Boudin

Le 18 avril 1877, le journal La Fraternité publiait une pétition signée par les habitants de Chalabre, concernant l’ouverture d’un chemin emmenant de Chalabre à Courtauly. A la lecture de laquelle il est permis d’imaginer que les cyclistes passant par Chalabre en direction du Val de Lambronne et vice versa, puissent aujourd’hui se croiser non pas dans le col de la Flotte, mais du côté de la ferme d’En Crème. Ou encore sur la route qui serpente entre les fermes du Pape et de Segovent. Néanmoins cette deuxième éventualité est toujours d’actualité.

