C'était l'été 1959, et le petit village de Montaillou était en fête. Un quatuor de musiciens du Kercorb avait été sollicité pour assurer l'animation musicale. De gauche à droite : Gaston Costes (violon et contrebasse), Henri Lazerges (trompette), André Naudy (guitare et percussions), Henri Sabatier (saxo et contrebasse).
C'était hier - Page 560
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C'était hier : Jour de fête à Montaillou
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C'était hier : Circuit historique à découvrir
L'article qui suit avait été publié dans le journal l'Indépendant, édition du mercredi 23 juillet 2003.
Une visite inaugurale autour des fontaines, qui ont fait leur apparition en 1800 sur les cours chalabrois (Photo archives Juillet 2003. De gauche à droite : Michel Brembilla, René Salinas, Christian Guilhamat, José Navarro, Claudie Alegre, Ginette Gonzalez, Francis Garcia, Josette Garcia, Edmond Arnou).
L'association "Il était une fois Chalabre" a dévoilé samedi la première plaque de son circuit de découverte à travers la vieille capitale du Kercorb. Depuis l'hôtel de ville et son cachot, jusqu'à la rue Terre-Blanche et les bains chers aux centurions de César, la visite propose une passionnante remontée dans l'histoire d'Eissalabra. En présence de Michel Brembilla, président de "Il était une fois Chalabre", Roger Rosich, conseiller général du canton et Christian Guilhamat, maire, les Chalabrois et leurs invités ont découvert le premier panneau, dévoilé par Mlle Raymonde Castres, descendante d'une vieille famille chalabroise et doyenne de l'association.
En mai 2003, Serge Fournié et ses amis déterminent l'emplacement des futures plaques, comme ici, à l'Hôtel-Dieu Saint-Jacques (Photo archives Juin 2003. De gauche à droite : Marie-Annick Saddier, Georges Pendariès, Guido Calvène, Serge Fournié, René Salinas).
Avec la mise en place de ce circuit découverte et après la restauration du tableau du début du XVIIIe siècle, "Il était une fois Chalabre" signe une nouvelle réalisation qui aura tenu en haleine une équipe soudée et déterminée à mener à terme cet ambitieux projet. Projet basé faut-il le rappeler, sur les fructueuses recherches entreprises dans les archives communales par l'ami Serge Fournié. Trente panneaux d'information ont été installés dans Chalabre par la société Sud Ouest Signalisation, pour un coût total de 8.000 €. Une opération financée conjointement par l'association "Il était une fois Chalabre" (2645 €), l'Etat et l'Europe (3345 €) et le conseil général de l'Aude (2010 €). Dans le même temps, un guide touristique a été édité à 3000 exemplaires, pour un montant de 750 € pris en charge par le pays d'accueil touristique du Quercorb (500 €) et le conseil général (250 €) .
Par la voix de Michel Brembilla son président, l'association a tenu à remercier les services techniques de la mairie pour leur aide, et l'ensemble des partenaires ayant apporté leur concours. Un vin d'honneur a clôturé cette première visite. Pour les visites guidées, contacter le 04 68 69 21 94 ou le site www.quercorb.com
En août 2011, la plaque de la Savonnerie Lasalle, rue d'En Plumet, est vandalisée. Elle sera très vite remplacée à l'identique, grâce au concours de Cédric Porta et de la société "In Print" (Photo archives Août 2011).
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C'était hier : Jean-Christian Michel et ses notes de lumière
L'article mis en ligne ci-dessous avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 17 août 2003.
Jean-Christian Michel et Monique Thus, invités de l'ASPAK sous la nef de Saint-Pierre (photos archives, août 2003).
L'affiche proposée par l'association de sauvegarde du patrimoine artistique en Kercorb (ASPAK), chère à Malou Saddier sa présidente, aura été une invitation au voyage vers une autre dimension, grâce au spectacle de sonorités et de lumières offert par le clarinettiste et compositeur Jean-Christian Michel.
La planète rouge brillait d'un éclat nouveau dans la nuit chalabroise tandis que l'église Saint-Pierre, à l'image d'un vaisseau intergalactique, pivotait sur ses bases, embarquant un auditoire envoûté vers des destinations cosmiques. Aux commandes, Jean-Christian Michel accompagné aux claviers par Monique Thus sa collaboratrice de toujours.
Dans son costume de pionnier de l'espace et sur des harmonies inspirées de la musique sacrée de Jean-Sébastien Bach, Jean-Christian Michel a ouvert les portes de son univers méditatif, délivrant tel l'archange annonciateur, son message céleste. Visiblement passionné par les mystères de l'univers, alchimiste de la musique et compositeur hors du temps, Jean-Christian Michel a réussi à faire partager deux heures durant, une ferveur qui a suscité émotion et réflexion. Musique sacrée originale et inclassable qui a exercé dans l'obscurité de la nef de Saint-Pierre, une véritable fascination sur un public debout applaudissant à tout rompre. Comme pour prolonger un voyage "Au coeur des étoiles" et chercher sans vouloir la trouver, une solution à "l'équation de l'infini".
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C'était hier : Le Cercle occitan del Quercorb fait la fête en chansons
L'article mis en ligne aujourd'hui, avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 14 août 2003.
Mans de Breish était de retour sur la scène chalabroise (Photos archives, Août 2003).
Il y avait dernièrement, sur la place Charles Amouroux, une belle ambiance de fête, de celle que Josep et ses amis del COQ aiment concocter chaque année à la faveur de l'été. Des voix venues de la cité chapelière avaient ouvert les festivités, pour le plus grand bonheur d'un auditoire suspendu aux lèvres de l'ensemble vocal du Gesppe.
Sophie, Claude et Pierre, le Sofia Trio jongle avec les notes.
Ce fut ensuite le tour des musiciens du "Sofia Trio", invités à distiller l'originalité sonore du pays occitan, sur la place Charles Amouroux. La clarinette de Pierre Brun, l'accordéon de Claude Bonnafous et la boudègue de Sophie Jacques de Dixmude imprimaient le mouvement jusqu'à la nuit tombée, l'heure était venue de passer à table.
Plutôt que "d'escaner la galhina" qui ne voulait plus pondre, les amis du COQ avaient choisi de préparer une bonne daube de taureau, accommodée par Dame Anne, et accompagnée par les croustades de Monsieur Jean. "Aquo vira" pouvait-on entendre dans les travées où le doux bruissement des feuilles de platanes, le disputait au tempo décidé des fourchettes.
De la place au théâtre, où Mans de Breish avait intallé ses micros, il n'y avait qu'un pas, allègrement franchi par des "festejaïres" au top de leur forme. Le Mans et Flor de Luna étaient de retour en pays chalabrais avec des chansons pour rire, et des chansons pour pas rire aussi. La soirée fut douce et belle, produite par le COQ qui remettra le couvert dès la première occasion venue.
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