En 1967, la section sportive du GOD (groupe d’observation dispersé, futur collège Antoine-Pons), s’était déplacée dans les Corbières, pour y disputer des rencontres inter-scolaires, face à son homologue de Lézignan. Le ballon de hand était alors celui qui circulait le mieux sous les acacias de la cour du collège. Excellents souvenirs d’un temps passé, quand le Qatar n’était pas encore une nation de hand-ball, et qui offrent l’occasion de saluer le nouveau sans-faute des Experts, emmenés au 5e ciel par Claude Onesta et Didier Dinart.

De gauche à droit debout : Marc Jean-Pierre directeur du GOD, Georges Marjanski-Zieba, Serge Rey, Thierry Abat, Gérard Calbo, Jean-Luc Mestre, Gérard Boyer, Alain Crovetti, Gérard Mazon, Francis Garcia, Alain Dalème. Accroupis : Pierre Llopis, René Delpech, Hervé Nègre, Serge Dalème, François Lorca, Jean Melliès, Jean-Claude Granger, Michel Tomasella, Christian Boyer.  (Photo Pierre Costesèque 1908-2007)

L'article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 26 janvier 1995.

Les Caudevalois très attentifs (Photos archives, Janvier 1995).

Durant tout le mois de janvier, les habitants des villages de Caudeval, Courtauly, Gueytes-et-Labastide, Peyrefitte-sur-l’Hers, Saint-Benoît, Corbières et Tréziers ont été invités à participer à des réunions publiques dans le cadre du projet de développement du Chalabrais. Animées par Jean-Loup Wallet et Laurent Naudin du CAUE, et par les techniciens du District, ces rencontres avaient pour objectif d’inviter les habitants de chaque village du Val de Lambronne, à réfléchir et à faire des propositions sur l’aménagement de leur cadre de vie (espaces publics, logements, chemins, aménagement paysagers,…).

Les animateurs du débat.

Plus de 100 personnes se sont déplacées et ont ainsi contribué au débat et à la réflexion générale. Des commissions extra-municipales vont se constituer par village pour étudier les propositions d’animation. Une première synthèse de toutes les préoccupations émises lors de ces réunions sera faite le 31 janvier à 20 h 30 à Caudeval. Ce soir-là, sera également présentée une enquête sur les besoins de la population en matière de services, laquelle se déroulera courant février.  

Cette photo n'est pas datée, mais elle permet de constater que la chapelle du Calvaire offrait déjà un second plan très caractéristique, lors des rencontres sportives disputées sur le stade Jean de Mauléon. Seul le périmètre de jeu était différent de celui d'aujourd'hui, puisque les équipes en lice, évoluaient face ou dos à la rivière Hers.  

Depuis quelques jours déjà, grâce à l'action des services communaux et de l'entreprise de Michel Carbou, auquel nous souhaitons un prompt rétablissement, de jeunes arbustes genre Prunus, famille des Rosacées, prennent racine dans le sous-sol de la Croix des Missions. L'occasion d'effectuer un petit retour vers le passé, lorsque l'avenue Auguste-Cathala offrait une ombre très appréciée, par l'intermédiaire de superbes acacias. Lesquels seraient témoins, avant leur disparition, de l'édification d'une toute nouvelle structure, appelée à accueillir les services des Postes, Télégraphes et Téléphones (Photo Mazon).

L'année scolaire 1964-1965 était déjà bien commencée, lorsque les collégiens du GOD (Groupe d'observation dispersé, et futur collège Antoine-Pons), troquaient la blouse grise contre des chaussures de sport. Ce jour-là, les plus sportifs de nos potaches, emmenés par Jean Tarbouriech, leur professeur de mathématiques, de sciences-naturelles et de sport, participaient à une compétition de cross-country. De gauche à droite, debout : Jean Tarbouriech, Serge Nègre, Daniel Delpech, Michel Brembilla, Jean-Louis Delpech, Jean-Pierre Brzesc. Accroupis : Francis Romero, Alain Saurel, Gérard Calbo, Michel Ferrier.

L’article mis en ligne sous ce titre, avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 21 janvier 1995.

Les jeunes élèves aiment ce qu’ils font (Photo archives Janvier 1995).

Avant de se séparer pour goûter à un nouveau week-end bien mérité, les écoliers de Louis-Pergaud ont célébré l’Epiphanie en compagnie de leurs instituteurs, désireux de ne pas faillir à la tradition. Ces derniers comptant dans leurs rangs, un maître es pâtisserie, l’occasion qui s’offrait était trop belle, et c’est le plus naturellement du monde qu’il fut demandé aux élèves de mettre la main à la pâte.

Avec les conseils éclairés de Maître Jean et le soutien inconditionnel des collègues, les classes de Mmes Lisette Richou, Thérèse Carcy, de MM Serge Garus, José Navarro et Jean Plauzolles, ont donc confectionné, avec une facilité déconcertante, des galettes « maison » d’un goût aussi inimitable qu’excellent.

Vendredi en fin d’après-midi, sonnait l’heure de la dégustation pour des apprentis auxquels nous souhaitons de travailler en classe, avec le même plaisir qu’ils ont mis à travailler la pâte.