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Education - Page 21

  • C'était hier : Les jeunes dans l'entreprise

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du vendredi 19 février 1999.

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    Marie a vécu une expérience enrichissante

    Photo archives, Février 1999

    Pour la majorité de nos jeunes potaches, la recherche du premier emploi peut s'apparenter à la conquête d'un univers inconnu. Parce qu'ils ne connaissent pas l'entreprise et la regardent peut-être comme un monde complexe qui tourne sans eux, le collège Antoine-Pons offre aux élèves de troisième l'opportunité de découvrir ce qui les attend de l'autre côté des murs de l'école. Une semaine durant et en partenariat avec plusieurs entreprises du secteur, les élèves du canton de Chalabre ont en quelque sorte simulé leurs premiers pas dans la vie active.

    Une expérience d'autant plus enrichissante qu'elle intervient à une période charnière de leur scolarité, lorsque se présente en fin de classe de 3e, le difficile et primordial choix de l'orientation. En étroite collaboration avec leurs professeurs, Mme Muriel Moretton et M. Patrick Rault, les élèves se sont d'abord exercés à la rédaction de CV et lettres de motivation, avant de partir sur le terrain à la découverte d'un nouvel environnement. Une bonne façon de mettre le pied à l'étrier de l'entreprise, et si ces stages d'accès à la vie professionnelle ne réveillent pas toujours les vocations, ils permettent sûrement d'y voir plus clair. A l'image de Marie Franot, en immersion dans le laboratoire de l'entreprise T2L Chimie basée à Quillan depuis février 1988, et qui a pu bénéficier des conseils de Martine Painco et de Paul Diatchenko, quant aux techniques d'élaboration de résines synthétiques à destination du monde aéronautique et automobile notamment.

    Quillan Martine Siffre et Paul Diatchenko 002.jpg

    Photo Thierry Meynier

  • C'était hier : Ça chauffe (mieux) au collège

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du samedi 15 février 2014.

    collège antoine-pons

    L'agenda 21 et la thématique énergie respectent leur tableau de marche

    Photos archives, 11 février 2014

    A la faveur des vacances d'été 2012, les potaches du collège Antoine-Pons laissaient la voie libre à un chantier, destiné à doter l'établissement d'un système de chauffage innovant. Une démarche de développement durable, correspondant aux orientations que s’est fixé le conseil général de l'Aude, conclue tout dernièrement par l'inauguration d'une chaudière bois.

    L’événement réunissait une nombreuse assemblée autour de Vincent Bousquet, principal du collège Antoine-Pons, qui a accueilli André Viola, président du conseil général, Marcel Martinez, vice-président du conseil général, Francis Savy, président de la communauté de communes des Pyrénées audoises, Jean-Jacques Aulombard, conseiller général du canton de Chalabre, et Christian Guilhamat, maire de Chalabre. Parmi les invités, Hubert Carcy, principal honoraire du collège. Le traditionnel ruban inaugural était coupé et donnait le coup d’envoi d’une visite complète des lieux.

    collège antoine-pons

    Au terme de laquelle allaient intervenir tour à tour Vincent Bousquet (photo ci-dessus), Christian Guilhamat et André Viola, pour saluer un système performant, qui assure le chauffage du collège mais également des deux écoles primaires et maternelles voisines. L'ensemble bénéficiant d'un investissement de 414.000 €, avec le soutien financier de l’ADEME.

    collège antoine-pons

    La mise en route de cette chaufferie centrale fonctionnant aux plaquettes forestières, première du nom dans les collèges audois, contribue à la sauvegarde de l'environnement, mais aussi à la maîtrise des dépenses. Le bilan de la première saison de chauffe, avec un hiver assez long, laisse en effet entrevoir une économie autour de 50 %, par rapport à l’installation fioul précédente. Comme le soulignait André Viola, « Avec un taux de couverture bois de plus de 95 % pour la première année d’utilisation, cette chaudière, épargnée par les incidents techniques, est donc incontestablement un succès pour le conseil général, au service de l’ensemble de la communauté éducative ».

    Il concluait son propos en rappelant combien le conseil général est attentif et impliqué dans le bon fonctionnement des 27 collèges du département. « Une priorité dans un contexte budgétaire tendu, réaffirmée, puisque nous n’avons jamais autant investi dans les collèges du département, qu’aujourd’hui ».

    collège antoine-pons

  • C'était hier : Les collégiens d'Antoine-Pons reprennent leur souffle

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 1er février 1999.

    collège antoine-pons

    Les Rois de la galette, « hors-fève » en la matière

    Photo archives, Janvier 1999

    Une sympathique effervescence régnait vendredi soir au foyer du collège Antoine-Pons, où les membres de l'association sportive et leurs parents, étaient réunis à l'invitation de Monique Rault, professeur d'EPS. Pas de chrono, pas de chaussures à pointes, le tout pendu au clou, pour une soirée plutôt décontractée qui a permis à chacun de revivre en photos et en images, les différentes manifestations sportives auxquelles nos potaches ont brillamment participé. Depuis le cross de district de Castelnaudary, le cross départemental et les qualifications pour la finale académique du 16 décembre en Lozère, les jeunes coureurs du Kercorb ont démontré qu'ils avaient énergie et souffle à revendre. Ce que les nombreux parents présents ont pu constater avec plaisir, au travers d'une rétrospective vidéo retraçant les meilleurs moments d'un mémorable voyage au Malzieu.
    Après avoir vanté les beautés de l'Aubrac, les rois du chrono ont fondu sur de moelleuses galettes, en promettant de donner le meilleur d'eux-mêmes le vendredi 12 février prochain, à l'occasion du traditionnel cross du collège. Rendez-vous est pris.

  • C'était hier : La FCPE a gagné Paris

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du dimanche 23 janvier 1994. Il rendait compte d'un « saut » effectué à la capitale, afin de prendre part à une manifestation pour la défense de l’École publique. Ce mouvement était motivé par la révision de la Loi Falloux, adoptée par l’assemblée nationale le 14 décembre 1993.

    fcpe chalabre

    Les Chalabrois battent le pavé Boulevard Montmartre

    Photos Janvier 1994

    8 h 45, 16 janvier, pas de soleil à Austerlitz, quand la vague languedocienne arrive en bout de quai. En fait de terminus, les voyageurs des wagons-lits abandonnent prestement leur couchette, s'engouffrent dans les sous-sols parisiens et sautent dans la première rame de métro qui passe. Direction les abords du Palais Garnier pour un café bien chaud et bien noir. Partie la veille depuis la cité chaurienne, une délégation d'élus, d'enseignants, de parents d'élèves de Chalabre est arrivée sur le Boulevard Montmartre pour se joindre aux 2.000 représentants du Languedoc-Roussillon et participer ainsi au défilé pour la défense de la laïcité et de l'école publique. Une expérience vivifiante au cours de laquelle les Chalabrois n'ont pas été les seuls à s'imposer de piétiner plusieurs heures sous la pluie incessante et le froid. En place sur la grande artère parisienne, ils auront le plaisir de retrouver les représentants de la cité chapelière, mais également Jean Tarbouriech, adjoint au maire de Lézignan, professeur que les anciens élèves du collège de Chalabre n'ont pas oublié.

    fcpe chalabre

    Espérazanais et Chalabrois à l'école de la patience

    « La patience est l'art d'espérer », et quatre heures plus tard, à force de détermination et à grand renfort de crêpes bretonnes, nos Chalabrois arrivaient à Nation, juste assez tôt pour réintégrer un compartiment dans le train du retour vers les collines blanchies du Kercorb. C'était une fin de semaine à la capitale, très brève mais très intense.

    fcpe chalabre