Samedi 25 novembre, un groupe de sept assistantes maternelles de Chalabre, Espéraza, Axat, Campagne-sur-Aude et Quillan, ainsi que des professionnelles de la petite enfance, se sont retrouvées à la caserne des pompiers de Quillan, pour une formation PSC1 (Prévention et Secours Civique niveau 1). Cette action a été organisée par le service du RAM (Relais assistantes maternelles) de la Communauté de Communes des Pyrénées Audoises, à la demande des assistantes maternelles du territoire. Elle a consisté en une formation de sept heures, encadrée par Yannick Geslin, pompier formateur, et a permis de comprendre les attitudes à adopter lors d’incidents, et de compléter les connaissances sur les gestes qui sauvent, le tout dans une ambiance studieuse mais détendue.
Services - Page 150
-
Les assistantes maternelles apprennent les gestes qui sauvent
Lien permanent Catégories : Services -
Situation bloquée entre la CCPA et Vanille et chocolat
Petite enfance L’association demande une réunion de conciliation à la sous-préfecture.
Une délégation de parents est venue à la rencontre des élus de la CCPA.
Jeudi 30 novembre, une délégation de parents de Chalabre, Ste Colombe et Puivert s’est rendue au siège de la Communauté de Communes à Quillan, pour remettre en main propre à Francis Savy, président de la CCPA, les 700 premières signatures récoltées sur la pétition émise contre la reprise en gestion directe de l’association Vanille et Chocolat.
Accueillis par MM. Francis Savy, Igor Beloff, Georges Reverte et Christian Maugard, les parents ont souhaité connaître les éléments motivant le constat « d’erreurs de gestion », figurant sur la délibération de la CCPA du 24 juillet dernier. Francis Savy indiquait « ne faire aucun reproche » à l’association quant à la gestion, ajoutant que « ses propos ont été dénaturés » par l’article de l’Indépendant (cf article paru lundi 27 novembre).
Selon MM. Savy et Beloff, le problème serait uniquement « relationnel » entre les services de la CCPA et le bureau de l’association. Les élus auraient eu « la surprise » de découvrir qu’ils devaient verser des sommes importantes à l’association, sous peine de la voir dans l’impossibilité de s’acquitter des charges qui lui incombent.
Igor Beloff insistant sur le fait qu’il s’agit de « dépenses supplémentaires » et que « la Communauté de Communes a été mise devant le fait accompli, sans que ce soit concerté en amont », faisant référence, entre autre, à l’installation d’une climatisation.
Un argument réfuté par les parents, précisant que « la climatisation n’a absolument rien coûté à la CCPA, puisque c’est la CAF qui l’a proposée et donc financée à 80%, le reste étant réparti entre l’association et le Département ». L’occasion pour les parents de rappeler que les sommes en question ne sont ni « supplémentaires » ni « exceptionnelles » et qu’il s’agit uniquement des subventions dues à l‘association, conformément à la convention signée entre les différentes parties. Eléments qui n’auront pas semblé convaincre les élus.
Igor Beloff précisait toutefois que les sommes étaient prêtes, seule manquait la signature d’un avenant à la convention pour qu’elles puissent être versées. Mettant ainsi à jour un problème de communication puisque le bureau de l’association n’a jamais eu cette information.
Pour les représentants des parents, rien ne justifie le maintien de la décision de reprise en régie, d’autant que Francis Savy n’excluait pas lors du vote de la délibération en septembre, que « si des éléments nouveaux » étaient apportés, la Communauté de Communes pouvait « revenir sur une délibération ». Et les parents d’avancer que le diagnostic dressé par les différents partenaires (ndlr : audit de la CAF) constitue bel et bien un élément nouveau.
Compte tenu des appréciations diamétralement opposées entre l’association et la CCPA, la délégation sollicitera à de multiples reprises Francis Savy, afin qu’il accepte d’urgence une réunion de conciliation avec tous les partenaires, en présence de la sous-préfète. Une demande à laquelle le président de la CCPA n’a pas adhéré, en souhaitant une entrevue avec la seule Vanille et chocolat.
A l’issue de l’entretien, la déception primait dans les rangs d’une délégation estimant « ne pas avoir eu de réponse satisfaisante », et ne comprenant pas « pourquoi l’association Vanille et Chocolat devrait être reprise en régie directe quand la CCPA ne trouve aucun problème de gestion, quand les partenaires valident une gestion saine, quand les parents sont satisfaits de la qualité du service rendu ».
Pour l’heure, les parents remercient les 700 signataires qui ont soutenu leur action, et invitent à amplifier encore la campagne de signatures : « Continuez à faire signer la pétition autour de vous, elle est aussi à signer en ligne sur Change.org ».
Lien permanent Catégories : Associations, Services -
Cours Sully : La voie est libre
Depuis le mardi 28 novembre dernier, jour de l’ouverture officielle du cours Sully à la circulation, les marcheurs du tour de ville ont renoué avec les bonnes vieilles habitudes. A nouveau maître de leur choix, que la promenade soit dans le sens horaire ou dans le sens antihoraire, nos promeneurs des cours auront gagné en sécurité, à la faveur de travaux engagés au lendemain des dernières élections législatives (Avril 2017). Au hasard de leurs flâneries sur des trottoirs au revêtement uniforme, ils ont pu déjà remarquer la bonne fluidité d’un trafic automobile contenu (en double sens), fluidité qui devrait générer un gain de sérénité chez les riverains.
Cours Sully d’hier,… et Cours Sully d’aujourd’hui.
Lien permanent Catégories : De la chose publique, Services -
Manoeuvre incendie à la brigade
L'adjudant Franck Dessimoulie renseigne les sapeurs-pompiers parés à intervenir.
Lundi 20 novembre, la silhouette de la caserne de gendarmerie émergeait à la lumière des gyrophares actionnés par les véhicules de la caserne Jean-Cabanier. Près de vingt sapeurs-pompiers du centre de secours du Kercorb venaient d’engager un exercice grandeur nature, manoeuvre dont le thème portait sur la recherche et l’évacuation de victimes incommodées par des fumées. Cette intervention, conjointement préparée avec la brigade territoriale autonome de Chalabre, a permis à l’ensemble de l’effectif, d’acquérir les informations nécessaires à la prise en charge d’une victime spécifique, à savoir un militaire en service.
Après une rapide prise de renseignements recueillis auprès de l’adjudant Franck Dessimoulie, commandant de brigade, le scénario fixé pour l’exercice verra les soldats du feu extraire un gendarme équipé de son gilet et d’une arme à feu chargée, dans un cadre inondé d’une fumée artificielle provoquée par des fumigènes.
Au terme de l’entraînement, durant lequel chacun des intervenants aura pu tester sa capacité de réaction, les informations techniques apportées par l’adjudant Franck Dessimoulie, ont été fortement appréciées par l’équipe du lieutenant Jean-Marie Lafitte, chef de corps.
Un debriefing est venu boucler la manœuvre
Lien permanent Catégories : Services