Deux échos recueillis dans les journaux Le Rappel de l'Aude et La Fraternité, un 21 août.
Le Rappel de l'Aude 21 août 1890
La Fraternité 21 août 1869
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Deux échos recueillis dans les journaux Le Rappel de l'Aude et La Fraternité, un 21 août.
Le Rappel de l'Aude 21 août 1890
La Fraternité 21 août 1869
Timéo son fils, José son père, sa soeur Karine, ses frères Gaël et Yannick, parents et alliés, remercient du fond du cœur toutes les personnes qui leur ont exprimé leur soutien, leur amitié et leur sympathie, lors du décès de leur chère Laetitia.
Dans l’impossibilité de répondre à tous les témoignages, ils vous prient de trouver ici l’expression de leur reconnaissance et de leur très sincère gratitude.
Photo François Gabarre
Le périple avance lentement, en passant par les routes, chemins et villages. En provenance du cours Sully, la roulotte et ses occupants poursuivent leur périple pour préserver un style de vie nomade. Et pour promouvoir l'éloge de la lenteur et la simplicité, dans ce monde rythmé par la rapidité.
L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du mercredi 20 août 2003.
Claude Cals, Michel Faucheux, Roger Giroud, entourent Camille Amat, à l’heure du vernissage (Photos archives, Août 2003).
Il régnait tout dernièrement une belle et inhabituelle affluence dans la rue des Boulangers, à l’occasion du vernissage de l’exposition « Fulgurances de l’été ». Evénement qui avait pour cadre les locaux rénovés des Bains-Douches, destinés à recevoir prochainement les ouvrages de la bibliothèque municipale.
Accueillie par Christian Guilhamat, maire, et Marie-Annick Serrus-Crampagne, conseillère municipale (photo), une nombreuse assistance s’est retrouvée sous une verrière éclairant d’une lumière originale les toiles de Camille Amat et les poèmes de Michel Faucheux. Œuvres choisies qui mettent en évidence l’étroite relation entre peinture et poésie, « deux poétiques du regard qui visent essentiellement à faire voir, en quête de l’évidence de la vie, de ces fulgurances de l’été qui incendient le regard ».
Autour de ces « Fulgurances de l’été », titre proposé par Michel Faucheux pour qui « été » peut être interprété comme le participe passé du verbe être, chacun s’est retrouvé avec un réel bonheur, rencontre prolongée autour d’un vin d’honneur et une séance de dédicaces à laquelle les deux artistes se sont prêtés avec grand plaisir.
Les toiles de Camille Amat illustrant des poèmes de Michel Faucheux tirés du recueil « Mortelles évidences » sont à découvrir jusqu’au dimanche 24 août aux bains-Douches, rue des Boulangers, de 15 h à 19 h.
Comme a pu l’écrire Claude Cals, « Aujourd’hui je me réjouis que l’on ait pu pousser Camille Amat à une nouvelle exposition, tant une oeuvre d’art se doit de découvrir son public, et l’artiste de dévoiler sa part de lumière, poisson palpitant en dehors de ses mailles ».