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Communiqué de Claudie Alegre, responsable des Restos du coeur de Chalabre

En réponse à Hubert Carcy, secrétaire de la section socialiste du canton.

Je me dois bien évidemment de répondre à votre attaque en règle critiquant la publication sur Téléchalabre d'une photo de Jean-Jacques Aulombard près d'un chariot qu'il venait de remplir lors de la collecte nationale des restos du coeur organisée au magasin 8 à Huit de Chalabre le 5 mars dernier.

J'assume seule la responsabilité de cette photo.

Lorsque, dans un élan de générosité, il a rempli notre chariot, comme il le fait chaque année  ailleurs qu'à Chalabre, puisque c'était la première fois qu'on participait à cette collecte, je ne me suis pas posé le problème de la "déontologie", sans doute parce que je ne suis pas assez politique.  

Mais, puisque vous évoquez la "déontologie" et les "scrupules", parlons-en !

Je me souviens d'un incendie qui avait ravagé une maison à Chalabre en février 2008. On avait vu alors fleurir sur les vitrines des magasins et sur les arbres de Chalabre, une affiche des restos du coeur, appelant à générosité envers les personnes sinistrées.

Bel élan de générosité. Rien à redire.

Sauf que deux des personnes à contacter (figurant sur cette affiche à l'égide des restos du coeur de Chalabre dont votre épouse était responsable) n'avaient rien à voir avec cette association, mais elles étaient colistières du candidat PS aux municipales de mars 2008.

La déontologie et les scrupules, c'est pour les autres ....

Je me souviens aussi, pendant la campagne de ces mêmes municipales, vous avoir vu débarquer en compagnie d'une autre personne colistière du candidat PS, au local des restos du coeur de Chalabre, un jour de distribution.

Sans doute n'avez-vous pas grand chose à reprocher à Jean-Jacques Aulombard, candidat aux cantonales, qui n'est pas un "politicard" mais un homme de coeur, issu de la société civile, et qui voudrait que les choses changent dans le canton.

Pour ce qui me concerne, puisque j'aurais, paraît-il, transgressé les règles déontologiques, j'en réfèrerai à mes responsables départementaux qui jugeront de la suite à donner à cette affaire.

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