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  • Festival Chalabre en Sérénade : « Chapeau s’il vous plaît ! »

    chalabre en sérénade 2020L'association « Chalabre en sérénade » invite à célébrer la musique les vendredi 7 et samedi 8 août prochains. Pour l’occasion, chacun est invité à venir coiffé, s’il le veut, d’un chapeau au design de son choix. Comme un clin d’œil au passé chapelier du pays chalabrais, quand le couvre-chef était de mise.

    chalabre en sérénade 2020

    Le festival 3e du nom, dont le format a été réduit pour cause d’intrus redouté, se déroulera selon le programme qui suit : Vendredi 7 août, à partir de 17 heures, chanteurs et musiciens offriront des « Sérénades au balcon ». En soirée, le café des Sports servira de cadre à un concert animé par Davy Kilembé, Al Delort (chanson française), Sebah (roots soul reggae), Maxxximus (funk).  

    Samedi 8 août à 10 heures, marché hebdomadaire. A partir de 12 heures, déjeuner musical à l'hôtel de France (réservations conseillées au 04 68 69 68 60). A 17 heures, « Sérénades au balcon ». A 20 heures, concert au café de la Paix, avec Nu Sandmen Healers (blues), Indiana Carsin (chanson pop), Mawogani (caribbean), Soul Jamaïca (reggae).

    Plus d’informations sur le site www.chalabreenserenade.fr

    chalabre en sérénade 2020

    chalabre en sérénade 2020

    Al Delort

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    Maxxximus

    chalabre en sérénade 2020

    Sebah

    chalabre en sérénade 2020

    Indiana Carsin

    chalabre en sérénade 2020

    Nu, Lionel Tomasi Ricci, Sebah, Freddo, Mawogani

  • C’était hier : Charlie Chaplin et Martial Romanko en toute complicité sous la halle

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 4 août 2005.

    martial romanko,office intercommunal du tourisme

    Près de 230 personnes se pressaient mardi sous l’ancienne halle aux blés, à l’heure où l’Office de Tourisme Intercommunal (OTI) en collaboration avec l’association « 7 Art 9 », offrait une séance de ciné concert. Une drôle de première, un vrai cadeau et une bien belle affiche qui a comblé les passionnés de 7e Art, trop heureux d’accepter l’invitation.

    martial romanko,office intercommunal du tourisme

    A l’heure dite, l’écran blanc faisait l’objet de toutes les attentions, tandis qu’une nuit cabotine faisait exprès de ne pas tomber. C’était sans compter sur l’intervention de l’allumeur de réverbère, à contre emploi, qui confisquait une à une les lanternes de la place Espérance-Folchet. Eteignant du même coup les clameurs, moteur ! Charlot faisait alors son apparition, le grand Charlie Chaplin, qui mardi soir à Chalabre avait un complice de marque en la personne de Martial Romanko (photo ci-dessus).

    martial romanko,office intercommunal du tourisme

    « L’émigrant, Charlot patineur, Charlot cambrioleur, Charlot en cure », quatre courts-métrages, classiques du cinéma muet, durant lesquels Martial Romanko au piano a fait résonner la note de nostalgie des films d’antan. Une performance musicale pour cet auteur compositeur interprète et multi instrumentiste, qui aura régalé l’auditoire grâce à une heure trente de totale improvisation. Et en définitive, un duo de classe qui aura insufflé sous la halle chalabroise une vivifiante bouffée d’optimisme. Chacun étant invité à se laisser surprendre et à partager quelques moments privilégiés de rire et d’émotion. Avec un petit regret, le seul pourtant, celui de n’avoir pas eu droit à l’instant troublant que procure la cassure de la bobine.

    Un grand coup de chapeau à l’équipe technique de Martial Romanko et Jac Vergnes, et un grand merci à l’OTI pour une initiative qui -il faut l’espérer- sera renouvelée.

    martial romanko,office intercommunal du tourisme

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  • Là-haut vers le hameau du Basqui

    hameau du basqui

    Il est bien lointain le temps où les vendangeurs du pays chalabrais attendaient l’autocar de la société Bergada, en partance vers les « pays bas », vers Coursan et le domaine de Céleyran. Installé aux côtés du chauffeur depuis Fougax-et-Barrineuf, Monsieur Rosalin, chef de colle, vérifiait à chaque arrêt, dont celui de Chalabre, qu’il ne manquât aucun cueilleur ou porteur à l’appel.

    Tout dernièrement, quelques Chalabrois ayant vécu ces épisodes quelque peu oubliés, ont refait le chemin à l’envers, pour traverser le petit village de Fougax-et-Barrineuf, et s’engager au cœur des Gorges de la Frau. Objectif annoncé, atteindre les vestiges du Basqui, ou du moins ce qu’il reste d’un hameau qui fit la une en 1925, alors qu’une épidémie de « picote » (une forme de variole) faisait rage aux confins de l’Ariège et de l’Aude. A la manière d’un pèlerinage, nos marcheurs ont poussé l’effort jusqu’à une sépulture abandonnée au pied du pic Saint-Barthélémy, dans laquelle reposent Marie Pelofi (40 ans), sa fille Marguerite (17 ans) et un petit garçon mort à la naissance.

    Le magazine Midi, supplément de l’Indépendant publié le dimanche 19 juillet dernier, offre un éclairage plus détaillé sur cet épisode méconnu du siècle dernier, sous la plume de Laurence Turetti.

    hameau du basqui

    L'Hers-Vif, perdu dans les Gorges de la Frau

    hameau du basqui

    Les vestiges du hameau du Basqui font face à la carrière de talc de Luzenac 

    hameau du basqui

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    Une sépulture au pied de la montagne de Tabe

    hameau du basqui

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