Les dames du Tennis Club du Chalabrais ont tendu le filet sous la halle.

C’était le rendez-vous de cette rentrée de septembre, avec une invitation lancée par la municipalité à l’adresse des associations de la commune. Accueillis par les élus Patrice Salerno, Céline Amiel et Laetitia Guilhemat, les représentants de clubs et amicales ont ouvert une vitrine afin de présenter leurs objectifs et leurs activités. Le public a ainsi pu découvrir l’offre culturelle et sportive que pouvaient proposer les nombreux bénévoles du Pays du Chalabrais présents sous la halle en ce samedi 17 septembre.

Plus de trente associations oeuvrent en cours d’année dans la commune, et bien qu’elles n’aient pas toutes été représentées, l’objectif de ce rassemblement au coeur du village visait à susciter l’envie de s’impliquer dans la vie associative. Occuper son temps libre, cultiver le lien social, à l’évidence les raisons sont multiples pour s’inscrire à de nouvelles activités en cette rentrée 2022-2023. Comme un clin d’œil lancé par la municipalité en ce samedi 17 septembre, Journée mondiale de l’arthrose, pourquoi ne pas d’ores et déjà prendre les bonnes résolutions, sans attendre la nouvelle année ?

A l’image de Gwendoline, qui invitait à esquisser samedi quelques pas de danse, fusion de danse orientale, flamenco et tzigane, accompagnée par Laetitia et Céline, parfaitement dans le tempo. Autre info qu’il convient de rapporter, les amis de sa Majesté Badaluc sont en quête d’un local permettant d’accueillir dès le printemps 2023 le prince de l’éphémère. Il faut espérer que Chalabre l’hospitalière saura répondre à cet appel.

Un vin d'honneur a clôturé ce 1er Forum des Associations, qui en appelle à de nouvelles éditions, mais pour l’heure, les personnes désirant franchir le pas peuvent se rendre à la mairie pour obtenir de plus amples renseignements.

« Elfico-musicologue », Maxence des oiseaux a présenté ses flûtes du néolithique

Clément Pradel, envoyé spécial de sa Majesté Carnaval

Initiation au jeu d'échecs avec Jimmy Lauze 

L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du lundi 25 septembre 2017

L'espoir en pointillé dans le ciel du Chalabrais (Photos archives, Septembre 2017).

Le geste aura été symbolique, mais les ballons qui s’élevaient au-dessus de la chapelle du Calvaire en ce samedi 9 septembre, auront offert un superbe contraste avec la triste noirceur du ciel. Cette initiative souhaitée par les responsables de la Ligue contre le cancer en pays chalabrais, était associée avec une marche programmée sur le sentier de découverte qui mène vers la chapelle de Réparation.

Stoïques sous un déluge de pluie et de vent, les promeneurs partis du collège Antoine-Pons auront rallié les hauteurs de Chalabre sans que l’humidité persistante n’altère leur bonne humeur. Privé d’un panorama habituellement incomparable, chacun aura toutefois trouvé refuge dans un espace autrefois dévolu à l’ermite des lieux. Intermède de trop courte durée, car les marcheurs profitant d’une fenêtre météo, lanceront des ballons symboles d’espoir, encouragés à percer la noire coupole nuageuse.

La journée avait également permis d'emprunter le sentier de découverte de la nature, créé en 2001 par les collégiens, et restauré en 2017 avec le concours de l’association « Il était une fois Chalabre »

Alexandre Granger, Michel Brembilla et Patrick Rault dévoilent un des nouveaux visuels

http://chalabre24hactus.blogspirit.com/archive/2017/09/19/le-sentier-d-interpretation-du-calvaire-a-retrouve-des-coule.html

Les deux coupures de journaux mises en ligne proviennent du journal L'Eclair, daté du jeudi 25 septembre 1941. 

Le n° 4 de la rue des Boulangers accueille jusqu’au lundi 31 octobre, une expo de collages de Hilda Dussoubz. « Camaïeux » se présente comme une série de collages sur toile, nés d’un sentiment de lassitude. Comme l’explique Hilda Dussoubz, « L’épisode Covid a provoqué un passage à vide dans ma créativité. De retour à la « normalité » j’ai décidé de faire du tri dans mon atelier afin de me débarrasser du matériel collecté ainsi que de plusieurs tableaux. À dire vrai, j’avais l’intention de tourner définitivement la « page collage ».

En feuilletant mes classeurs de découpages et en ouvrant mes boîtes de papiers classées par couleur je n’ai pas eu le cœur de les jeter d’autant plus que des toiles m'attendaient sur une étagère. C’est alors que j’ai pris une grande toile sur laquelle j’ai commencé à coller divers éléments. Quitte à tout jeter autant m’amuser un peu et profiter pour essayer une technique que je n’avais pas pratiquée jusque-là, celle de l’accumulation. Satisfaite du résultat j’ai décidé de faire un deuxième collage dans une autre couleur, puis un autre également en monochrome, en travaillant aussi bien avec les couleurs que j’aime qu’avec celles que j’aime moins, afin de sortir de ma zone de confort. C’est ainsi que la série Camaïeux est née ».

Malgré le chaos apparent, les principes de la composition ont été respectés par ailleurs, les tableaux sont tous construits de la même manière, à savoir par la superposition des plans jusqu’à la pose de l’élément principal. Des moitiés d’images aux quatre points cardinaux accentuent le format carré. Tous ces paramètres donnent une unité à l’ensemble.

Hilda Dussoubz  ajoute : « J’ai voulu créer une œuvre ludique qui incite à regarder de plus près ce qui y est caché, persuadée que certains seront attirés par des détails que d’autres ne remarqueront même pas. Aussi, comme dans un jeu de pistes, j’ai parsemé des images de grenouilles dans chaque tableau à l’exception de l’un d’entre eux. A vous de jouer ! ».