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  • Les tenniswomen sur leur lancée

    Dimanche 4 février et pour le compte de la 2e division (Ligue Occitanie), les Dames du TCC I disputaient sur les courts chalabrois un quart de finale contre leurs homologues du TC Lézignan II. Avec au final une victoire chalabroise sur la marque de 4 à 1.

    En simples, Margot Toustou s'impose face à Karine Estebanez (cap.), score 6-1 et 6-3, Marjorie Verganzonès opposée à Stéphanie Dumas s'incline en trois sets (1-6, 6-2, 6-1), Céline Amiel prend le meilleur sur Caroline Fau (6-3, 2-6, 6-4).

    Avec deux points à venir moyennant une victoire en double, tout restait possible pour le team du Kercorb comme pour le team des Corbières. Autour de 14 heures, la paire du TCC composée de Manon Gimenez (cap.) et Fany Escande, engageait le duel décisif face aux Lézignanaises Stéphanie Dumas et Martine Denard. Créditées du score de 6-0 et 6-4, Manon et Fany apporteront le point qui scelle la victoire du TCC (4-1).

    La route est ouverte vers une demi-finale d'ores et déjà programmée le dimanche 25 février, nos féminines iront affronter le Tennis Club Canet-Saint-Marcel, sur les courts du club des Corbières. Non loin de là, au même jour et à la même heure, le TCC Messieurs disputera également une demi-finale de championnat (3e série) à Névian, face à l'AS Néviannaise. Le triangle des Corbières s'apprête à servir de cadre à de belles empoignades tennistiques, l'unique mot d'ordre reste « Allez le TCC ! ».

  • Lu dans la presse

    Au fil des colonnes du journal le Rappel de l'Aude, un 8 février.

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    1891 Le Rappel de l'Aude 8 février

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    1890 Le Rappel de l'Aude 8 février

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    1888 Le Rappel de l'Aude 8 février

  • C’était hier : Cross-country : un podium pour Claude Cnocquart

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 8 février 1999.

    foulées du kercorb

    Nos jeunes coureurs ont brillé sur les rives du Canal du Midi

    De gauche à droite, debout, Marie-Camille Lanes, Manuela De Mendonça, Delphine Guirao

    Accroupis, Claude Cnocquart, Michel Dufour, Nicolas Dufour

    Photo archives Janvier 1999

    Le dernier dimanche de janvier a vu les petits fondeurs chalabrois participer nombreux au succès du 1er cross-country de la ville de Castelnaudary. Sur un parcours sélectif tracé en partie le long des berges du Canal du Midi, la jeune équipe du Kercorb emmenée par Jean-Paul Cnocquart a courageusement bravé la bise glaciale, pour se mêler à une très sympathique lutte contre le temps. Une belle bagarre contre les éléments et le chrono a permis à Claude Cnocquart de décrocher la deuxième place dans la course des minimes, à 20’’ à peine du vainqueur. Chez les minimes filles, Manuela De Mendonça (8e) et Marie-Camille Lanes (11e) ont elles aussi tiré leur épingle du jeu, de même que Delphine Guirao, 10e chez les benjamines.

    Un coup de chapeau également à Nicolas Dufour, 9e dans la course réservée aux Oisillons, et Michel Dufour 11e chez les Poussins. Tout comme leurs concurrents d’un jour, les représentants chalabrois ont apprécié la chaleur de l’accueil réservé aux abords de la Giraille par les organisateurs du Lauragais Athletic Club, et de leur dynamique présidente Dominique Labadie.

    foulées du kercorb

     Sur le circuit du Cazal, Serge Murillo (bonnet) s'apprête à rejoindre un concurrent à la victoire

    Cross-country 1966 Photo Maurice Mazon

    Ainsi après le cross de la Cité auxquels ils avaient participé en décembre dernier, nos petits coureurs semblent renouer avec une tradition bien chalabroise, qui permit en son temps aux crossmen du Kercorb de briller tant en individuel que par équipe. C’était la glorieuse période des challenges « Inter Caps », et les champions de l’époque avaient pour nom Serge Murillo, Maurice Pont, Albert Houssailles, Michel Raynaud, Marie-France Sancho, Catherine Martinez, Eric Martin, Monique Delpech, Jean-Pierre Brzesc, Vincent Mesado,…

    Avec eux et chaque dimanche, près de soixante fondeurs toutes catégories confondues, encadrés par MM. Marc Jean-Pierre, Gabriel Gallardo, Roger Raynaud, Jean-Joseph Romero, Hubert Carcy, Yves Cazas, jouaient de leurs chaussures à pointes dans la campagne audoise, de Lagrasse à Montréal, de Pexiora à La Bertrande, de Maquens à Bizanet, et Chalabre.

    foulées du kercorb

    Un dimanche de 1967 sur le pont du Blau, retour du cross-country à Montréal-d'Aude

    Photo Maurice Mazon

  • Rivel : Après le décès de Claude Chauveton

    claude chauvetonIl y a quelques jours déjà, le samedi 6 janvier en la chapelle Sainte-Cécile de Rivel, un dernier hommage était rendu à Claude Chauveton, décédé à l’âge de 75 ans. Né à Toulouse le 8 août 1948, il était venu vivre à l'âge de 8 mois sur la commune de Rivel, village dans lequel il sera apprécié et dans lequel il aura ses marques, notamment avec sa production de « tougnols » pour les villageois et lors des rendez-vous festifs.

    Son parcours scolaire débuté à l'école primaire de Rivel (1953-1959), se poursuivra au collège et lycée général et technologique de Mirepoix, le lycée actuel (1959-1966). Il rejoint ensuite le lycée Pierre de Fermat à Toulouse (1966-1969), puis l'Ecole Centrale de Lyon (Ecully) de 1969 à 1972, au sein de laquelle il sera ingénieur technique de 1972 à 1975.

    Comme a pu l'évoquer sa fille Laetitia, « Son entrée au lycée Pierre de Fermat ne fut pas son souhait, mais celui du proviseur du lycée de Mirepoix de l'époque, Marcel Mathon, qui souhaitait que Claude, fils d'ouvrier (son père Émile travaillait à l'usine de chaussures Canat), poursuive ses études à Pierre de Fermat, peu de fils d'ouvrier pouvant y faire leur entrée ». Le souhait initial de Claude Chauveton était d'intégrer l'école nationale supérieure d'Arts et Métiers.

    Son parcours professionnel l'amènera à exercer en qualité d'ingénieur, de 1975 à 1991, notamment au sein de la société sidérurgique Creusot-Loire. Il mettra ensuite ses compétences au service de l'enseignement, exerçant dans l'académie de Toulouse, et notamment au lycée Jacquard à Lavelanet.

    Résidant sur les hauteurs du hameau de Luxau, Claude Chauveton oeuvrait pour sa commune et avait à plusieurs reprises brigué les suffrages rivélois. Il effectuait actuellement un nouveau mandat, avec l'équipe municipale élue en mars 2020.    

    Au chapitre des loisirs, il aura plusieurs saisons durant participé aux activités du Cyclo Club du Chalabrais. Une passion pour le vélo qu'il conjuguait avec sa vocation d'ingénieur, à la recherche permanente d'améliorations applicables à la pratique de ce sport. Des travaux qu'il lui arrivait de partager avec ses compagnons d'échappée, qui avaient également le privilège de partager ses pains à l'anis. Malgré ses ennuis de santé, la confection de « tougnols » restait à l'ordre du jour, une spécialité qu'il aimait offrir, notamment lors des vide-greniers, les commémorations ou encore les repas de fête organisés dans la cité rivéloise.

    Pleinement passionné par son métier, à la recherche de nouvelles idées pour faire progresser la chose technique, il était vivement préoccupé par les changements de la société actuelle, menant un combat en quête de solutions en faveur de l’intérêt général. Claude Chauveton laisse le souvenir d'un personnage au grand coeur, doté d'un caractère bien trempé.

    En ces douloureuses circonstances, très sincères condoléances à son épouse Murielle, ses fils Christophe et Cédric, Laetitia sa fille, Marie-Thérèse sa soeur, ses petits-enfants, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

    claude chauveton

    Un tougnol pour les amis du club cyclo, à l'occasion d'une fin de semaine dans le Val d'Aran

    Photo archives, Juillet 1997 au sommet du Port d'Envalira