Il avait ouvert ses portes en 1969 à Mirepoix, ce lieu de rencontre prisé par les adeptes d'évasions nocturnes, situé non loin des couverts, aura assuré un tempo non stop jusqu'en janvier 2004. Une affiche invitait à venir célébrer les dernières heures, avant la fermeture définitive de la discothèque mirapicienne.
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Le Triangle dans le rétro
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Puivert : La bodega s’invite au verger du musée du Quercorb
Si la cornemuse m'était contée, par Sophie et ses amis bodegaïres
Dimanche 23 août à 17 heures, le verger résonnera aux accents de la « bodega » en compagnie de Sophie Jacques et de ses amis « bodegaïres ». La bodega (prononcez boudéguo), qu’es aquo ?
« La plus belle des cornemuses par son volume, sa personnalité et la culture qu’elle porte » vous dira Sophie Jacques, musicienne et passeuse (les Chalabrois l’appellent « la Belge occitane », photo ci-dessous). Arrivée dans ce pays il y a une quarantaine d’années, Sophie est tombée amoureuse de cet instrument, a choisi d’en faire son métier, d’en transmettre sa pratique (instrument enseigné maintenant au conservatoire de Carcassonne) afin de la sauver d’un oubli auquel elle était promise et aussi de la construire du côté de Philippou avec son compagnon Nicolas Serano.
Photo archives, 29 mai 2014
Instrument patrimonial de la Montagne Noire et du Lauragais, la bodega (aussi appelée craba dans le Tarn), faite d’une peau de chèvre entière, est maintenant reconnue dans tout le Languedoc comme emblématique de la culture occitane. Il n’y a donc pas qu’en Ecosse ou en Bretagne que l’on entend sonner la cornemuse. Cet instrument accompagnait la vie de tous les jours d'un monde rural qui était bien sûr plus peuplé que de nos jours, il permettait aussi aux jeunes de se rencontrer. Tout comme la langue occitane, elle a failli disparaître et maintenant, grâce à sa transmission, elle reprend sa juste place dans notre société.
Ce « concert-découverte », proposé dimanche 23 août, sera commenté par des passionnés de cet instrument et de la culture qu’elle porte. Ce sont pas moins de cinq bodegaïres qui vous enchanteront de diverses musiques du pays de la bodega mais pas que, contant son histoire et sa renaissance, ils vous parleront aussi du rôle des musiques de tradition orale. Ce concert est gratuit. Retrouvez tout le programme sur www.museequercorb.com
Photo archives, 29 mai 2014
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Métairies et nano-sciences au programme de l’Université Populaire en Kercorb
Photo archives Juillet 2011
Samedi 22 août, l’UPEK propose une promenade commentée sur le sentier des métairies, au départ de la mairie de Peyrefitte-du-Razès (9 h 30). Elle se fera en compagnie d’Eric Fabre, maître de conférences des universités, habilité à diriger des recherches en histoire moderne et contemporaine. Concepteur de cette promenade thématique, Éric Fabre emmènera de métairie en ruine en métairie en ruine, en décrivant l’abandon des habitats isolés aux XIXe et XXe siècles. Il expliquera quand, pourquoi et comment des maisons tombent en ruine alors que les champs et pâturages deviennent des boisements.
Il dédicacera son livre « Les métairies en Languedoc, désertion et création des paysages (XVIIIe-XXe siècles) ». Le livre est actuellement épuisé mais l’auteur apportera les quelques exemplaires qui lui restent (25 €). Le retour est prévu vers 15 heures, au terme d’un itinéraire de 10km et 300 m de dénivelé. Les chaussures de marche sont impératives, et le bâton conseillé. Prendre le casse-croûte pour midi et de l’eau (il n’y en a pas sur l’itinéraire).
Ce rendez-vous est gratuit pour les adhérents, la participation est libre pour les non adhérents. Sur réservation auprès de Gisèle 06 16 32 24 44 ou upek11@laposte.net
Les nano-sciences et leur impact sur notre quotidien seront au programme, dimanche 23 août sous la halle de Chalabre, avec une conférence sur les nanotechnologies, initialement prévue le 17 mai dernier. Elle sera animée par Simon Tricard, chargé de recherche au CNRS. Après un doctorat en chimie à l’Université Paris-Saclay en 2009, il a effectué des travaux de recherche à l’Université d’Harvard aux Etats-Unis. Il travaille actuellement au LPCNO à Toulouse (Laboratoire de Physique et Chimie des Nano-Objets), où il s’intéresse aux propriétés chimiques et physiques d’objets nanométriques. Un aspect de sa recherche vise à créer des synergies où ces objets interagissent les uns avec les autres.
Que représente un nanomètre ? Pourquoi la matière peut-elle avoir des propriétés différentes à des tailles si petites ? De quels outils dispose-t-on pour observer et contrôler cette matière à de très petites échelles ? Que sont les nanosciences, les nanotechnologies ? Le but de cette conférence est d’aborder quelques concepts clés liés aux nanosciences, afin de mieux comprendre certains enjeux, illustrés par des exemples issus de notre quotidien. Des sujets de recherche actuelle aux perspectives prometteuses seront aussi présentés.
Pour ces deux animations, merci de vous inscrire à l'avance, soit par courriel à upek11@laposte.net, soit par téléphone à Gisèle au 06 16 32 24 44. Ils et elles le regrettent, mais les animateurs de l’UPEK, « ne sommes plus en mesure d’offrir le moment de convivialité et vous demandons de respecter les gestes-barrière, merci de votre compréhension ».
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C'était hier : Les motards d’Evo Metal ont fait leur festival
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 13 août 2005.
Les Burning Bollocks ont ouvert le feu (photos archives août 2005).
La 5e édition du festival Evo Metal organisée ce premier week-end du mois d’août par l’équipe du président Jean-Paul Pierron a fait vibrer la cité chalabroise, devenue en un coup de kick le paradis des amoureux de la moto. Dès samedi, les bikers venus de tous horizons prenaient leur quartier sur le macadam, sous l’œil de nombreux chalands admiratifs et impressionnés. Les moteurs vrombiront ainsi sur les cours au rythme des animations proposées par le Team Pierron, fervent adepte de la griffe Harley Davidson.
Les pistons allaient succéder aux pistons, et il revenait au groupe des Burning Bollocks le redoutable honneur de frapper les trois coups de ces festivités musicales. Olivier, Bernard, Gérald et Robert étaient les premiers à mettre le feu avant que les décibels du groupe Be Yell Blues ne prennent le relais (photo ci-dessous).
Après une courte nuit de sommeil, le dimanche voyait une centaine de cylindrées prendre la route du Pays-de-Sault pour une ballade sous le soleil. A Marsa, la caravane itinérante était accueillie par la roulotte de Sébastien, pourvoyeur de petits-déjeuners, installé dans la vallée du Rebenty avec la bénédiction de l’ami Denis. Après un passage éclair sur les pentes du col du Portel, Chalabre entendait revenir les gros cubes, retour qui ne passera pas inaperçu, les moteurs offrant à leur tour un véritable concert. Juste avant l’apéro et le casse-croûte, pause bienvenue sur la terrasse du café de la Paix où Anne et Tonio attendaient leurs invités. Le groupe Les Traîtres était chargé d’apporter une série de notes finales, clôturant ainsi la 5e édition du festival.
Un coup de chapeau à tous, à l’équipe de Jean-Paul Pierron, aux motards et à l’ensemble des partenaires de cette superbe fête. Rendez-vous en 2006, et pourquoi pas en février puisqu’il se murmure que l’organisation d’une hivernale est envisagée.
Une convention Tattoo avant l'heure au café de la Paix