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C'était hier - Page 554

  • C’était hier : De l’Ecossais au Sicilien, Badaluc et l’OPVC vous emmènent en balade

    L’article mis en ligne aujourd'hui, avait été publié dans l’édition de l’Indépendant du jeudi 7 mars 1996.

    badaluc,carnaval chalabreUn touriste en Kercorb, c’était en 1995. Badaluc ayant été victime d’un mauvais coup en 1993, la vigilance était de mise sur les cours. De jour comme de nuit, Richard, Francis et Jean veillent au grain (photo archives avril 1995).

    Certainement moins connus que les musiciens de Brême, les compères qui instrumentent depuis des lustres au sein de l’OPVC, ne sont pas moins heureux d’annoncer qu’ils fêteront samedi 9 mars prochain, leurs noces de porcelaine. En effet voilà vingt ans, l’équipe de l’OPVC et Badaluc décidaient d’unir leur destin pour le pire et plus certainement pour le meilleur.

    Afin de fêter l’événement, les jeunes mariés invitent les Chalabroises et les Chalabrois à venir effeuiller leur album de famille, à l’occasion d’une exposition qui se tiendra du 9 au 17 mars, au centre socio-culturel des Cèdres, rue du Capitaine Danjou. Dès 18 h ce samedi, les pros de la croche et du contre ut donneront l’aubade dans les rues de Chalabre, ils donnent rendez-vous à tous les amoureux de Carnaval pour un « vernissage » en musique et autour du verre de l’amitié.

    Le prince de l’éphémère tiendra la vedette pendant une semaine entière, ne perdez pas l’occasion unique d’aller consulter l’album photos tous les jours du 9 au 17 mars, salle des Cèdres.

  • Un jour, une image

    C'était un jour de la fin de l'année 1976, ou 1977. De jeunes Chalabrois et leur ami mirapicien étaient réunis dans le local du foyer d'éducation populaire, ancienne école des Garçons, rue du Chalabreil. Une pensée pour Jean-Jacques, disparu en juin 2004.

    FEP Ecole Garçons 197..JPGDe gauche à droite : Christian Sanchez, Yvan Bastard, Maïté Boulbès (Babou), Marie-Ange Roncalli, Francis Labède, Jean-Jacques Conte (†), Christophe Roncalli, Alain Laurent.

  • C'était hier : Chasse-neige d’antan

    L’article mis en ligne aujourd'hui, avait été publié dans l’édition de l’Indépendant du mercredi 28 février 1996. L’occasion de revenir sur un petit événement, qui venait de secouer au sens propre comme au sens figuré, le pays chalabrais. Il était 2h 46’ dans la nuit du samedi 24 au dimanche 25 février de cette année bissextile, quant un long bruit sourd avait parcouru la capitale du Kercorb. Enregistré sur les instruments de l'Institut de physique du globe de Strasbourg, un tremblement de terre d’une magnitude de 5,6 sur l’échelle de Richter, venait d’être ressenti sur une zone ayant pour épicentre le village d’Axat. Une dizaine de répliques seront encore enregistrées jusqu’à 3h 15, lesquelles ne feront que très peu de dégâts. Pour la petite histoire, il faut préciser que cette nuit-là, le pub « le Totem » ouvrait pour première fois ses portes du côté de Montjardin, à l’initiative d’Olivier Serrus.

    frédéric paillardManon et Frédéric ont sillonné sans relâche les rues de Chalabre (Photo archives Février 1996).

    A peine remis de leurs émotions dominicales provoquées par les sautes d’humeur d’une écorce terrestre en mal d’exercice, les Chalabrois voyaient fondre sur eux de lourds nuages gris qui allaient en en très peu de temps, blanchir le Kercorb. Au petit matin du mercredi 21 février, 10 à 15 cms de neige étouffaient le moindre son, mais un chuintement particulier parvenait tout de même aux oreilles des quelques téméraires qui se risquaient à pointer le nez entre leurs volets entr’ouverts.

    Paralysées par une neige tombée en abondance au cours de la nuit, une à une les artères du centre-ville redevenaient carrossables grâce notamment à la louable initiative d’un Chalabrois qui aime conjuguer le verbe rendre service, par tous les temps. Un drôle d’attelage aussi singulier que sympathique a ainsi permis de rendre les pavés aux piétons, depuis la rue des Cloutiers en passant par la rue des Pénitents blancs ou la rue des Boulangers. Guidée par Frédéric Paillard son maître, Manon, jument comtoise de 11 ans, a sillonné les petites rues, tractant derrière elle une étrave en bois dont l’efficacité a favorisé un rapide retour à la normale grandement apprécié par les Chalabrois qui adressent leurs vifs remerciements à Frédéric et à son fidèle compagnon.

  • Une pause en haut du col du Bac

    Pause en haut du col du Bac.jpg

    Un jour dans les années 1930. Après avoir garé sa 201, François Mèche sert une tasse de café à Maurice et Jeanne Mazon. A leurs côtés, Lolo Mazon semble impatient de reprendre la route (photo Collection Jean Plauzolles).