Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C'était hier - Page 604

  • Inter a cinquante ans

    A l'heure où la Maison Ronde et France Inter fêtent leur demi-siècle d'existence et de radiodiffusion, les Chalabrois se souviendront de la visite effectuée en Kercorb par Lucien Jeunesse (décédé en mai 2008), animateur du « Jeu des Mille Francs ». C'était en janvier 1995, et l'article qui suit avait été publié dans l'Indépendant, édition du mardi 24 janvier 1995 (Photos archives Janvier 1995).

    « Le Jeu des Mille Francs », comme une bouffée d'air pur !

    france inter,jeu des mille francs,lucien jeunesseEtait-il possible de proposer plus belle invitation à celles et ceux qui, ayant grandi l'oreille collée à France-Inter, se voyaient enfin offrir l'opportunité de venir à la rencontre d'un de ces mythes qui perpétuent la richesse de la Maison de la radio. Lucien Jeunesse était là et bien là mercredi soir sur la scène d'un théâtre municipal comble, où il a une nouvelle fois lancé son célébrissime « Chers amis, bonjour! »

    france inter,jeu des mille francs,lucien jeunesseYann Payret et son métalophone.

    Elles sont bleues, blanches, rouges et posées tout contre cet instrument dont le nom reste à inventer (mais qui depuis a été trouvé), et qui égrène depuis plus de 30 ans, ses 30 secondes fatidiques. La complicité ingénieurs du son-animateur ne fait pas l'ombre d'un doute, le décor est planté et l'impressionnant auditoire peut alors entrer dans les coulisses du « Jeu des Mille Francs ». Une rapide présélection des candidats permet à ceux qui en doutaient peut-être, de constater combien sont multiples les talents du créateur de « C'est si bon », tour à tour chanteur, acteur et fantaisiste.

    france inter,jeu des mille francs,lucien jeunessePaul Lagarde s'était également essayé au jeu des questions bleues, blanches et rouges. 

    Lorsqu'ils accèdent au banco, Edmond Arnou et Georges Rivals obtiennent une formidable ovation, mais le fondateur des ciné-clubs va jouer un bien mauvais tour à nos deux Chalabrois, Louis Delluc ne leur permettra pas de tenter le super banco. Les clameurs se sont alors tues, mais qu'à cela ne tienne, la Bande à Philippe est là au complet pour relancer l'ambiance grâce à des tempos que les carnavaliers limouxins connaissent sur le bout des goudils. Candidats et renforts vont ainsi se succéder entre deux airs de carnaval et un historique concis du Kercorb, dans la plus pure tradition d'un jeu qui ne cherche pas à « racoler » son public, les sommes de 1.000 et 5.000F remises aux vainqueurs étant volontairement maintenues dans les limites pour le moins raisonnables.

    Peu avant 20 h, le théâtre municipal prend congé de ses invités, de ceux qui ont joué, de ceux qui regrettent de ne pas l'avoir fait, de ceux qui essaieront la prochaine fois. Accueilli ensuite en mairie, et avant de prendre congé des Chalabrois, Lucien Jeunesse recevra des mains de Jacques Montagné, la médaille de la Ville de Chalabre, puis signera le Livre d'Or (photo ci-dessous).

    france inter,jeu des mille francs,lucien jeunesse

     

  • C'était hier : Hôtel de France story

    L'article mis en ligne aujourd'hui avait été publié dans le journal L'Indépendant, édition du mercredi 24 novembre 1993.

    hôtel de franceGuy, Christian, José, l'esprit de famille (photo archives, Novembre 1993. Egalement sur la photo, Daniel Lopez, Jean-Claude Sicre et Kiki Huillet).

    Entre un gratin de fruits de mer et deux entrecôtes marchand de vin, l'élève de Raymond Fort s'offre une fantaisie et s'aligne le 26 septembre 1981, au départ d'une course inédite et originale, dans les rues de la préfecture audoise. Guy Sanchez sera ainsi le premier à inscrire son nom au palmarès de la fameuse course des garçons de café, qui se déroule chaque année à Carcassonne (voir photo et article en bas de page).

    Aujourd'hui, Guy et Nelly président aux destinées de l'hôtel-restaurant cher à Raymond et Alice, qui ont passé le témoin pour goûter un repos amplement mérité. Restauration et brasserie étant une affaire de famille chez les Sanchez, les frangins "assurent" avec sérénité pendant les moments de grande affluence. Si ce n'est Guy, c'est donc son frère, et si ce n'est Christian, c'est donc José !

    L'ambiance était particulièrement chaleureuse samedi soir, et un doux fumet de daube occitane planait sur le zinc du France. Des clients dans la confidence auraient laissé entendre qu'une soirée spéciale serait très bientôt au programme. Peut-être même une dégustation de vin nouveau.

    hôtel de franceGuy et François Sanchez derrière le comptoir du France (photo archives, Septembre 1981).

    hôtel de franceArticle du correspondant de L'Indépendant, Aimé Catrier, Septembre 1981.

  • C'était hier

    C'est la décrue au quartier du Moulin.

    collège antoine-ponsJuste un peu plus tumultueux que de nos jours, les cours d'eau chalabrois faisaient régulièrement monter l'adrénaline chez les riverains, et notamment ceux du quartier du Moulin. Comme en témoigne cette photo de Maurice Mazon, que l'on peut dater des années 1960, et sur laquelle il est possible de reconnaître "Manou" Saurel et Roger Laffont, sapeurs-pompiers sur la brèche depuis plusieurs heures.  

    Les collégiens s'initient au hand-ball.

    collège antoine-ponsC'était une journée de 1964, les handballeurs du GOD (groupe d'observation dirigé), supervisés par leur entraîneur et professeur d'éducation physique, se préparent à entrer en jeu. Debout de gauche à droite : Jean Tarbouriech, Francis Romero, Serge Nègre, Daniel Delpech. Accroupis : Alain Saurel, Michel Brembilla, Gérard Calbo, Daniel Gaubert.

  • Un jour, une image

    Jardins Pont-Neuf.JPGC'était le temps des maîtres-jardiniers, lorsqu'ils pratiquaient leur art sur la plaine du Pont-neuf, fertilisée par les montées du Chalabreil.