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De la chose publique - Page 35

  • Bancs publics

    Choses vues au fil d'une promenade sur les cours par un citoyen du Chalabrais, qui lui ont inspiré une remarque :

    « L'autre soir vers 19 h, un groupe de collégiens garçons et filles devisaient sur le banc sis en face de l'hôtel de France. Le plus souvent, ce banc est occupé par de sympathiques vieillards, il est plaisant de constater que toutes les générations savent profiter des bons endroits ! Malheureusement, en repassant sur le même boulevard deux heures plus tard, un autre tableau s’offrait aux regards ».

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  • C'était hier : La décharge de Sonnac réhabilitée

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du dimanche 18 avril 1993.

    décharge de sonnac-sur-l'hersIl n’y a plus de décharge à Sonnac-sur-l’Hers (photo Patrice Garcia, avril 1993).

    Depuis la mise en place de son nouveau système de collecte des ordures ménagères et autres encombrants, le canton de Chalabre fait la chasse à ses décharges. Après avoir travaillé à la résorption des décharges dites sauvages - dont celle qui était située sous le château de Puivert - le S.I.V.O.M. aujourd’hui reconverti en District, vient de gommer du paysage le dernier point noir : la décharge de Sonnac n’existe plus !

    Fermée depuis le mois de juillet 1991, la décharge cantonale de Sonnac-sur-l’Hers était l’ultime tâche sombre dans un paysage verdoyant qui clame haut et fort sa vocation touristique. Sa réhabilitation achevée, elle est aujourd’hui définitivement rayée de la carte. Continuant l’œuvre entreprise par le S.I.V.O.M., le tout jeune District du Chalabrais vient ainsi de mettre un terme à sa politique d’effacement de ces lieux disgracieux.

    En fait, l’emplacement de Sonnac avait servi de transition entre l’ancien système – archaïque – de collecte des ordures et encombrants, et le nouveau schéma mis en place dans le canton de Chalabre avec le quai d’apport et l’enlèvement régulier des déchets. Le site de Sonnac n’ayant plus sa raison d’être, il était logique qu’il soit réhabilité. C’est l’entreprise Rescanières, de Moulin-Neuf, qui a accompli cette mission en procédant d’abord au nettoyage des lieux, avant d’enfouir les décombres sous des tonnes de terre. Un programme de reboisement des 11 hectares de la parcelle complètera cette action en faveur de l’environnement.

    1 M.F. d’investissement. Pour procéder à la fermeture de toutes les décharges qui polluaient le canton, le District du Chalabrais aura en tout investi, à terme, près de 1 M.F. Pour cela, il a bénéficié notamment de subventions européennes par le biais des P.D.Z.R. (plan de développement des zones rurales). L’agence A.D.E.M.E., la direction départementale de l’agriculture et le Conseil général de l’Aude ont également subventionné l’opération, le District puisant dans ses fonds propres pour compléter le financement du programme.

    Les travaux avaient commencé au mois de janvier, ils ont été menés tambour battant. Jeudi dernier, les responsables du District accompagnés de leurs partenaires, ont effectué une visite sur le terrain pour constater qu’à Sonnac, le paysage a retrouvé son vrai visage, la main de l’Homme ayant rétabli ce qu’elle avait jadis altéré.                   

  • Les travaux continuent dans la bastide

    travaux rue des cloutiersLa rue des Cloutiers sera bientôt carrossable.

    Après les grandes transformations opérées fin 2017 sur la traversée du village (Cours Sully), une nouvelle tranche de travaux a été engagée avec le début de l’année. La rue des Cloutiers et la rue du Pont-Neuf ont à leur tour accueilli pelleteuses et excavatrices, l’objectif étant là aussi la rénovation des réseaux (eau, assainissement, suppression des branchements). Lieux de passage vers le centre de la bastide, ces deux voies ont également la particularité de guider le passant vers la place François-Mitterrand. Laquelle va elle aussi entrer dans une phase de réaménagement, avec des travaux qui devraient débuter fin février ou début mars. Un chantier qui permettra au final un gain de place de parking, susceptible de compenser la perte de stationnements, consécutive aux modifications réalisées sur le Cours Sully.

  • Le cours Sully a été inauguré

    cours sully,sylvie siffermann,mireille robert,andré viola,jean-jacques aulombardLe président André Viola a procédé au couper du ruban.

    Après la réception le 7 décembre dernier, des travaux de réhabilitation du cours Sully, artère de circulation au nom historique et évocateur, une cérémonie inaugurale avait lieu lundi 22 janvier, en présence des Chalabrois, aux côtés de Sylvie Siffermann sous-préfète, Mireille Robert, députée, André Viola, président du conseil départemental de l’Aude, et Jean-Jacques Aulombard, maire de Chalabre. Le traditionnel couper de ruban sur le parvis de l’hôtel de ville, a précédé une visite de l’espace rénové, avant les interventions officielles, salle du conseil municipal.

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    Le premier magistrat rappelait les motivations d’un projet d’envergure (renouvellement et effacement de tous les réseaux, réfection de la voirie, embellissement de l’espace public), avant de complimenter l’ensemble des acteurs ayant permis la renaissance d’un cours Sully qui avait accueilli ses premiers platanes en 1820. Soutiens financiers, l’Etat et le département de l’Aude, par la voix de leur représentant, saluaient l’audace d’une opération parfaitement aboutie. Dans son introduction, Mireille Robert, députée, évoquait ses souvenirs d’adolescente en vacance en Kercorb, sur les cours Colbert, d’Aguesseau et Sully, ouverts au pied du château des Mauléon-Bruyères. Il était dit que les réminiscences de ce que fut Chalabre jadis, n’allaient pas s’arrêter en aussi bon chemin, car au terme des prises de parole protocolaires, Michel Alegre, citoyen chalabrois, demandait à s’exprimer, pour ouvrir et détailler un cahier de doléances, partagé par un auditoire respectueux mais inquiet. L’occasion pour l’ancien conseiller municipal, d’évoquer le devenir du projet de maison de santé, initié en 2012, toujours au point mort à l’orée de l’année 2018. Sylvie Siffermann invitait les Chalabrois « déjà dotés d’une clinique et d’un Ehpad », à la patience, renforçant ainsi le pessimisme ambiant. Il était l’heure pour Jean-Jacques Aulombard de clore provisoirement le débat, en renouvelant l’invitation à un vin d’honneur.

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