Dans le cadre de la semaine des arts, « Fulgurances de l'été », programmée du 20 au 26 juillet, l’auteur italien Carlo Goldoni sera à l’honneur, le lundi 20 juillet à 17 h 30 au théâtre municipal. La Compagnie La Suzanne proposera une comédie intitulée « Les Cuisinières».
C’est carnaval, les cuisinières avec casseroles, gamelles et cuillères en bois prennent le pouvoir. Dans la cheminée, le feu lèche les bûches, l’eau frissonne, les volailles sont nues, les épices en feu, les vapeurs envahissent l’espace. C’est le moment éphémère où les cuisinières se libèrent et deviennent reines du jour. Quand le carnaval sera lancé, il sera trop tard, les masques seront les maîtres des lieux. C’est à ce moment que les cuisinières font parler la poudre, montent la sauce, plument la volaille et poivrent les huîtres. Elles cousent leurs intrigues, cuisinent leurs patrons, s'inquiètent et se moquent, charmeuses et sensuelles, au rythme des rires et de la musique. Quand Carlo Goldoni parle des femmes.
La mise en scène est signée Philippe Lagrue, directeur technique du théâtre du Vieux Colombier à Paris, avec Catherine Sauval, sociétaire de la Comédie-Française, Françoise Pinkwasser, Zazie Delem, Aude Cogny Goubert, Alain Payen, Baptiste Roussillon, Christian Cloarec, Nicolas Berno, etc.
A l’issue du spectacle (participation au chapeau), et pour les personnes qui le souhaitent, un repas tiré du sac sera partagé sous les platanes de la place Charles Amouroux . Un échange avec les acteurs est également prévu.

Près de 150 personnes, représentant de nombreuses nationalités et continents, ont pu apprécier les interventions de trente conférenciers, sur le thème commun « d’une approche globale, pour des politiques locales efficaces ». Une journée au terme de laquelle un constat s’est imposé : « Le développement durable devra s’appuyer sur les populations concernées, dans leurs cultures respectives, en valorisant le potentiel humain, source et origine de toute activité économique, politique, sociale et écologique…, conditions requises pour un futur humanisé ».


Complicité assurée, entre Bakary Traoré et son jeune public. 