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Rencontres - Page 195

  • Marc Bienne travaille ses accords sur le Cours d'Aguesseau

    marc bienne,rien dans les poches,moi je n’ai rienPriscille Paccoud, Sylvain Robert, Marc Bienne et Jean-Michel Julien en répétition.

    Transformée en studio l’espace d’une répétition, la maison natale du général Jean-Antoine Déjean, dont l’histoire nous dit qu’il servit sous Bonaparte, héberge un quatuor d’artistes en quête de reconnaissance. Depuis la sortie le 1er novembre dernier de « Rien dans les poches », son tout premier album, Marc Bienne multiplie les rencontres et les prestations scéniques. Accompagné par Sylvain Robert à la guitare, Priscille Paccoud au violon et Jean-Michel Julien aux percussions, le chanteur originaire du  sud-ouest écrit sur des thèmes qui évoquent le voyage et l’envie de partir, le temps qui s’enfuit, les femmes et l’amour, les rêves d’enfant que l’on a tous un peu trahis, le refus de la soumission.

    Ancien skipper amené à bourlinguer sur toutes les mers du globe, ce fan de Brassens, de Souad Massi, de Bashung et de Cabrel,  a posé son sac marin dans les Corbières, mais a gardé sa guitare à portée de main. Son souhait le plus cher à présent est de monter sur scène, de rencontrer le public et de prendre plaisir à partager l’expérience avec ses musiciens. Et bien sûr d’enregistrer de nouveaux albums, un clip vidéo sur une de ses chansons intitulées « Moi je n’ai rien » a été tourné à Paris juste avant Noël.

    Vendredi 4 février prochain, Marc Bienne et ses musiciens se produiront à Castanet-Tolosan, première date sur un calendrier qui devrait permettre au groupe de se produire dans l'est de l’hexagone, la région parisienne et le grand ouest.    

  • Les toiles d’André Legallais à la bibliothèque

    expo André Legallais.jpgClémence et Camille Foursin présentent les oeuvres de leur grand-père.

    Au rythme des expositions mensuelles proposées par la bibliothèque municipale et sa directrice Noëlle Danjou, une riche palette de styles s’offre au nombreux public qui s’invite régulièrement dans le cadre des anciens Bains-douches. En ce début d’année, les cimaises accueillent une partie de l’œuvre laissée par André Legallais, peintre normand. La galerie Hamon du Havre, qui propose une exposition permanente des œuvres de l’enfant du pays, présente André Legallais comme « un artiste passionné et passionnant, disparu trop vite pour poursuivre sa quête de liberté, sa joie de faire danser les formes et les couleurs par une vivacité facilement perceptible ».

    Né au Havre en 1921, ville où il décèdera en 1981, André Legallais était le grand-père maternel de Camille et Clémence Foursin, filles d’Olivier Foursin, artisan ébéniste bien connu en pays du Chalabrais et du Rivélois. Les toiles actuellement exposées leur ont été léguées après le décès de leur maman, survenu l’été dernier. L’une d’entre elles représente un autoportrait sur lequel les traits des deux petites-filles sont perceptibles. Le style d'André Legallais, pur et spontané, illustre la tendance cubiste avec perfection. La ligne et les volumes forment l’essentiel de ses compositions, visibles aux heures d’ouverture de la bibliothèque municipale, 4 rue des Boulangers. Pour tout renseignement, contacter Noëlle Danjou au 04 68 69 49 06.

  • André Viola rend visite au Kercorb

    A. Viola.JPGLes prochaines échéances électorales ont été évoquées.

    André Viola candidat désigné à la présidence du Conseil général est venu tout dernièrement à la rencontre de la section socialiste du canton de Chalabre. Une visite pour laquelle il était accompagné de Pierre Gabas et Jean Brunel. Les militants socialistes venus nombreux auront pu les écouter et débattre avec eux sur des questions nationales, départementales et locales.

    André Viola.JPG

     

    Sur le plan national, l'urgence d'un changement de politique plus conforme à des valeurs d'égalité réelle et l'unité du parti ont été largement débattues. Pour le Département, André Viola  a présenté les grandes lignes du projet Audevant, exemple de démocratie participative qui trace la voie de la politique du Conseil général pour l'Aude. Enfin avec Roger Rosich et Marie France Ferrié, les élections cantonales de mars prochain  ont été abordées. Le candidat et sa suppléante ont pu préciser les actions menées dans le territoire et les projets pour les années à venir, qui seront portés prochainement à la connaissance de tous. Hubert Carcy, secrétaire de section s'est montré ravi d'une soirée dense et enrichissante, qui s'est achevée autour du verre de l'amitié et d'un repas convivial.

  • Le café philo de la Terre Privilégiée a ouvert sa porte

    Café Philo.JPGL’Hôtel de France est le cadre d'un nouvel espace d'échanges.

    La première rencontre en date du 7 janvier a connu un vif succès ! Une vingtaine de personnes étaient présentes, et ont débattu pendant une heure et demi sur le thème du jour : « Qu’est-ce que la philosophie ? » Sujet bien choisi pour une entrée en matière… Un participant lit le petit texte qu’il a préparé, et les dés sont jetés ! Les observations et les idées des uns et des autres ricochent et s’entrecroisent… à bâtons rompus.

    Gérard Brunelet, l’animateur, qui n’en est pas à sa première expérience, relance le débat quand il le faut, ou bien le redirige lorsqu’il s’égare.  Quelqu’un est nommé pour donner la parole aux uns et aux autres, chacun leur tour. Avant de se quitter, on définit le thème des prochaines fois. Les rencontres sont prévues les premiers et troisièmes vendredis du mois, à 17h 30, au bar de l’Hôtel de France. Les prochains sujets sont : 21 janvier : Internet, la meilleure ou la pire des choses ?, 4 février : Bonheur et action, 18 février : Ouverture et développement. Le Café Philo est ouvert à tous, il n’est pas besoin d’être un « pro », ni obligatoire de prendre la parole. Tous les sujets sont intéressants, à condition qu’ils soient traités de façon philosophique, c’est à dire en remettant en cause les convictions et les certitudes.

    Il est conseillé de réfléchir au sujet avant la rencontre, voire même d’écrire un texte d’une dizaine de lignes, et de se laisser porter par le débat. La séance vous coûtera… le prix d’une consommation ! « La Philosophie est un honnête divertissement » disait Michel de Montaigne. Renseignements à l’Office de Tourisme, cours Henri d'Aguesseau ou 04 68 69 65 96.