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Rencontres - Page 196

  • L’Office du tourisme entre nature et mouvement

    yannick alram,office de tourisme intercommunal du quercorbLes beautés naturelles vues par Yannick Alram.

    Le mois de février verra l’office intercommunal du Quercorb accueillir les créations de Yannick Alram, « cueilleur d’images et de mots ». Cet ancien coach sportif indépendant a cessé son activité professionnelle pour se consacrer à la prise de photo en milieu naturel. Auteur de livres aux titres évocateurs, « La sérénité des montagnes » , et « Transpyrénéenne et transalpine », dans lequel il retrace sa traversée à pied des Pyrénées et des Alpes françaises, Yannick Alram prépare un nouvel ouvrage sur le thème de la culture physique au naturel.

    L'année 2011 va surtout lui permettre la mise en place d'expositions photos, la première d’entre elles ayant pour cadre le n° 1 du cours Henri d’Aguesseau. Plusieurs thèmes seront proposés, avec une approche et une mise en valeur très personnelle du lac de Montbel et de ses alentours. Yannick Alram sera présent tous les mercredis après-midi de 14h à 17h pour dédicacer ses livres et proposer cartes postales et photos à la vente. L’OTI du Quercorb est ouvert du mardi au vendredi de 9h à 12h 30 et de 13h 30 à 17h 30, plus d'informations au 04 68 69 65 96.   

  • Les nanotechnologies arrivent en Pays d’Olmes

    Un collectif de réflexion ariégeois propose de débattre publiquement sur le thème des nanotechnologies, et ses conséquences possibles sur le vivant. Les nanotechnologies mettent en place des particules très petites (1000 à 10 000 fois plus petites que les cellules du corps humain) qui peuvent franchir des membranes y compris celles des cellules humaines. Très peu d'études d'impact sont réalisées, pourtant les "nano- produits" sont de plus en plus nombreux. Ils sont utilisés dans les peintures, le verre, les ordinateurs, les téléphones portables, les crèmes solaires, les produits alimentaires, mais aussi dans les textiles.

    nanotechnologies,laroque d'olmes,le silence des nanos

    Le centre de recherche annoncé dans le plan de revitalisation du Pays d'Olmes utilisera ces nanotechnologies. Or rien n'est dit au public à ce sujet, les produits ne sont pas étiquetés et les grandes firmes font la course pour dominer ce marché et engranger les brevets.

    (photo Reflexiences, le magazine de la culture scientifique)

    Un film, "Le silence des nanos", raconte l'histoire et les enjeux de ces technologies nouvelles, qui concernent la santé, et la préservation de l’environnement et des libertés. Ces minuscules particules servent en effet à la conception de puces capables de contrôler partout et tout le temps les faits et gestes de chacun. Une projection aura lieu le vendredi 4 février à 20 h 30, salle du foyer, à la MJC Guy Moquet de Laroque d'Olmes (Ariège), à l'initiative du collectif de réflexion sur les technosciences. Un débat suivra pour celles et ceux qui le voudront. L'entrée est libre. Des informations sont également disponibles sur le site de la Commission nationale du débat public (CNDP), consacré aux nanotechnologies: http://www.debatpublic-nano.org

  • Marc Bienne travaille ses accords sur le Cours d'Aguesseau

    marc bienne,rien dans les poches,moi je n’ai rienPriscille Paccoud, Sylvain Robert, Marc Bienne et Jean-Michel Julien en répétition.

    Transformée en studio l’espace d’une répétition, la maison natale du général Jean-Antoine Déjean, dont l’histoire nous dit qu’il servit sous Bonaparte, héberge un quatuor d’artistes en quête de reconnaissance. Depuis la sortie le 1er novembre dernier de « Rien dans les poches », son tout premier album, Marc Bienne multiplie les rencontres et les prestations scéniques. Accompagné par Sylvain Robert à la guitare, Priscille Paccoud au violon et Jean-Michel Julien aux percussions, le chanteur originaire du  sud-ouest écrit sur des thèmes qui évoquent le voyage et l’envie de partir, le temps qui s’enfuit, les femmes et l’amour, les rêves d’enfant que l’on a tous un peu trahis, le refus de la soumission.

    Ancien skipper amené à bourlinguer sur toutes les mers du globe, ce fan de Brassens, de Souad Massi, de Bashung et de Cabrel,  a posé son sac marin dans les Corbières, mais a gardé sa guitare à portée de main. Son souhait le plus cher à présent est de monter sur scène, de rencontrer le public et de prendre plaisir à partager l’expérience avec ses musiciens. Et bien sûr d’enregistrer de nouveaux albums, un clip vidéo sur une de ses chansons intitulées « Moi je n’ai rien » a été tourné à Paris juste avant Noël.

    Vendredi 4 février prochain, Marc Bienne et ses musiciens se produiront à Castanet-Tolosan, première date sur un calendrier qui devrait permettre au groupe de se produire dans l'est de l’hexagone, la région parisienne et le grand ouest.    

  • Les toiles d’André Legallais à la bibliothèque

    expo André Legallais.jpgClémence et Camille Foursin présentent les oeuvres de leur grand-père.

    Au rythme des expositions mensuelles proposées par la bibliothèque municipale et sa directrice Noëlle Danjou, une riche palette de styles s’offre au nombreux public qui s’invite régulièrement dans le cadre des anciens Bains-douches. En ce début d’année, les cimaises accueillent une partie de l’œuvre laissée par André Legallais, peintre normand. La galerie Hamon du Havre, qui propose une exposition permanente des œuvres de l’enfant du pays, présente André Legallais comme « un artiste passionné et passionnant, disparu trop vite pour poursuivre sa quête de liberté, sa joie de faire danser les formes et les couleurs par une vivacité facilement perceptible ».

    Né au Havre en 1921, ville où il décèdera en 1981, André Legallais était le grand-père maternel de Camille et Clémence Foursin, filles d’Olivier Foursin, artisan ébéniste bien connu en pays du Chalabrais et du Rivélois. Les toiles actuellement exposées leur ont été léguées après le décès de leur maman, survenu l’été dernier. L’une d’entre elles représente un autoportrait sur lequel les traits des deux petites-filles sont perceptibles. Le style d'André Legallais, pur et spontané, illustre la tendance cubiste avec perfection. La ligne et les volumes forment l’essentiel de ses compositions, visibles aux heures d’ouverture de la bibliothèque municipale, 4 rue des Boulangers. Pour tout renseignement, contacter Noëlle Danjou au 04 68 69 49 06.