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Rencontres - Page 71

  • Bonne et Heureuse Année 2019

    Voeux 2019 St Barth 5 Janvier 2013.jpg

    José Sanchez, dépositaire de l'Indépendant, Midi Libre et La Dépêche à la maison de la presse, Mireille Sanchez, qui lui succède à compter de ce 1er janvier, Denis Mamet, fidèle messager de la première heure, et votre correspondant, sont heureux de vous présenter leurs Meilleurs Voeux pour 2019, année nouvelle.

    (Photo Pics de Soularac et St Barthélémy, 5 Janvier 2013)

  • La vache et le cervidé

    chevreuil,cazalCes deux-là entretiennent les meilleures relations (Photos Henriette Brembilla).

    Un week-end de juillet après l’autre, depuis bientôt quarante étés, le hameau du Cazal cultive son image de havre hospitalier. Et si quelque sceptique insoupçonné venait à en douter, il peut aller contempler la scène qui se déroule au quotidien ou presque sous la colline de Tataoubas.

    Depuis plusieurs semaines maintenant, un chevreuil âgé de cinq à six mois rend visite au troupeau de ruminants sédentaires, installés à bonne distance du stade Lolo-Mazon. Il vient partager avec eux une grande partie de son temps libre, un œil sur la route, et un œil plus distrait vers la proche lisière des bois.

    chevreuil,cazal

    Désireux sans doute de trouver ici un peu de la chaleur qui manque dans les forêts profondes du Chalabrais, le jeune cervidé a tout naturellement été adopté par les pensionnaires de Jean-Claude et Alexandre. Profitant avec eux des rayons d’un soleil d’hiver clément, il a déjà compris qu’il est des joies simples aux côtés desquelles il ne faut pas passer. Ce qui est loin d’être bête. 

  • Une soirée au café-théâtre avec les Cousins des Tatas

    diabasis,les cousins des tatasL’estaminet, un espace de rencontres improbables.

    Vendredi 21 décembre, une invitation était lancée par les Cousins des Tatas, artistes membres de l’atelier théâtre adulte de l'association Diabasis, animé par Elsa. Voilà peu, la troupe de comédiens amateurs avait relevé un premier challenge sur les planches du théâtre Georges-Méliès, avec une libre adaptation de « Musée Haut, Musée Bas », pièce de Jean-Michel Ribes.

    diabasis,les cousins des tatas

    Cette fois, les artistes avaient choisi de délaisser à titre intermittent le vieux théâtre, pour se produire autour du zinc du café de la Paix. Délocalisant ainsi leur humour et leur spontanéité, afin de partager avec un public nombreux, des brèves de café, et des tranches de vie, qui en auront interpellé plus d’une et plus d’un : « Est-ce ainsi que les gens vivent ?». Un grand merci aux cousines et cousins, à Brigitte, Claudie, Céline, Framboise, Monique, Antoon, Patrice, et à Tata Elsa, pour ces instantanés tout aussi facétieux que révélateurs d’un quotidien un brin moins léger.  

    diabasis,les cousins des tatas

    Dans le prolongement de cet intermède théâtral tonique et original, le café de la Paix proposait un concert avec le duo musical des Rat’s Cordés. L’occasion pour Chris et Reno de brillamment démontrer une évidente complicité, jusqu’au bout des cordes.

    diabasis,les cousins des tatas

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  • Une œuvre de Camille Amat offerte à la Ville de Chalabre

    camille amatAndrée Faucheux, émue et heureuse d’accomplir le souhait de sa sœur Camille.

    Samedi 1er décembre, le grand escalier de pierre de la maison commune s’est enrichi d’une toile célébrant le ballon ovale, œuvre de Camille Amat. En présence des élus, des représentants du rugby en pays chalabrais et d’une assemblée attentive, Andrée Amat Faucheux a évoqué la mémoire de sa soeur Camille, et le vœu qui était le sien, d’offrir cette création à la commune qui l’avait vu naître, berceau également de sportifs émérites.

    camille amat

    Décédée à Balma le 20 avril 2010, Camille Amat était revenue au début des années 1990 dans la maison familiale du quartier de Terre-Blanche, qu’elle avait quittée en 1947. Passionnée par les croquis de mode, la carrière de modéliste à laquelle elle se destinait l’avait emmenée vers Toulouse et l’école de dessin. Esquisses et croquis avaient été remarqués par son professeur qui lui proposera de préparer le concours d’entrée à l’école des Arts appliqués de la ville de Paris. Elle rejoindra la capitale et l’académie de peinture que dirige alors André Lhote, théoricien du cubisme. Camille Amat séjournera quatre années au contact du peintre et critique d’art qui écrira en 1955 : « Camille Amat n’a qu’un défaut : elle sait voir, elle voit, spontanément, candidement, en toutes choses la vérité picturale. C'est-à-dire qu’au lieu de suivre de l’œil le contour des objets, elle perçoit les réactions du décor sur ces objets, ou les réactions de ces objets les uns sur les autres ».

    camille amat

    En cette première journée de décembre, Andrée Amat Faucheux a rappelé la passion que Camille vouait à la peinture, passion qui l’avait amenée à s’installer un temps à Collioure, où elle avait acquis la parfaite maîtrise des couleurs et de la lumière. Pour magnifier une action illustrant quatre rugbymen en quête perpétuelle de ballon. Au nom des Chalabrois, Jean-Jacques Aulombard saluait le talent de la regrettée Camille Amat, avant d’adresser de chaleureux remerciements à Andrée Faucheux et à sa famille.

    camille amat