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il était une fois chalabre - Page 5

  • C'était hier : Une nouvelle année de challenges pour Il était une fois Chalabre

    il était une fois chalabre,moïse condomines

    Moïse en service lors d’une fête de Sainte Marie Madeleine au Cazal

    L’association présidée par Michel Brembilla tiendra son assemblée générale annuelle ce samedi 19 janvier à 17h à la mairie, Cours Sully. A l’ordre du jour, présentation du bilan moral et financier, renouvellement du bureau, projets pour 2008. Il sera également l’heure d’apporter la dernière touche à un ouvrage appelé à paraître en juin prochain. Neuvième d’une série lancée en 1995, le recueil qui sera mis sous presse à l’imprimerie du Noisetier mettra à l’honneur le collège Antoine Pons. Le plus petit des établissements audois fêtera en effet ses trente ans le 4 mars prochain, date anniversaire d’une entrevue au rectorat qui fut déterminante pour l’avenir de Chalabre et de son canton. Sollicité aux côtés du comité de rédaction de l’association emmené par Josette Brzesc-Taffet, Yves Ettori, Serge Fournié et Francis Garcia, un collectif de chroniqueurs issus de l’équipe pédagogique du collège a pris un plaisir certain à retracer les périodes clefs de l’établissement.

    Autre projet sur le point d’être finalisé, la reproduction en grand format d’une importante série de cartes postales de Chalabre au siècle dernier, lesquelles seront offertes à l’hôpital local des Hauts de Bon Accueil et à ses pensionnaires. Au rayon des souvenirs encore et toujours, Moïse Condomines fameux garde-champêtre des années 1960 fera l’objet d’une chronique dans le Tome X, toute information le concernant sera la bienvenue. Pour l’heure, l’association « Il était une fois Chalabre » est très heureuse de présenter ses meilleurs voeux de santé et prospérité aux Chalabroises et aux Chalabrois.

  • C’était hier : Il était une fois Chalabre tisse sa toile

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 16 janvier 2003.

    il était une fois chalabreAu chapitre des bonnes résolutions, la restauration du tableau offert par Mme Veuve Jean Mamet avait fait l'unanimité lors de l'assemblée 2002 (Photos archives, Janvier 2002).

    L’association présidée par Michel Brembilla tiendra son assemblée générale annuelle ce samedi 18 janvier à la mairie, cours Sully. A l’ordre du jour, présentation du bilan moral et financier, suivi du renouvellement du bureau. A l’orée d’une année nouvelle, c’est un comité de rédaction toujours aussi studieux qui a le plaisir d’annoncer aux 562 adhérents de l’association la mise en chantier d’un septième tome dédié au passé chalabrois. Sur des thèmes toujours aussi divers, la mise en page de ce nouvel ouvrage est en bonne voie, la mise sous presse ne devrait toutefois pas intervenir avant 2004.

    Pour l’heure, Michel Brembilla et son équipe concentrent toute leur énergie afin de permettre l’aboutissement d’un projet qui leur tient particulièrement à cœur. Calée en effet depuis de long mois sur le chevalet d’un restaurateur d’art du Lauragais, une peinture sur toile représentant la cité chalabroise au temps jadis devrait très bientôt retrouver son Kercorb d’origine. Le 26 mai 2000, Mme Veuve Jean Mamet faisait don à l’association de cette oeuvre anonyme, et Il était une fois Chalabre avait aussitôt décidé de la remettre entre les mains expertes de Louis Esquirol. Après plusieurs mois d’un travail minutieux, la réception du tableau en phase finale de restauration est imminente.

    Chalabre au XVIIe     Cette fresque historique qu’il faut peut-être attribuer à un pensionnaire du couvent des Capucins du cours Sully (fin XVIIe siècle), offre une succession de vues, comme autant de tableaux révélateurs d’un lointain quotidien chalabrois. Tandis que des pêcheurs et des lavandières s’affairent sur les rives du Chalabreil, une procession de pénitents serpente sur le chemin de croix menant à la chapelle du Calvaire, depuis l’église Saint-Pierre.

    Ces religieux emmenaient-ils les reliques de Sainte Colombe vers la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs, comme certains écrits relevés par Marie-Louise Saddier dans les archives du château de Mauléon semblent le confirmer ?

    Dans la perspective d’un rendez-vous très attendu, Il était une fois Chalabre est très heureux de présenter ses vœux de santé et prospérité aux Chalabroises et aux Chalabrois.     

  • C’était hier : Robert Roncalli a ouvert le livre de son enfance

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 24 décembre 1997.

    robert roncalli,il était une fois chalabreLe petit garçon à droite avec une casquette, c’est Robert Roncalli (Photo,archives, décembre 1997).

    C’était dimanche 13 décembre, onze heures n’avaient pas encore sonné au clocher de Notre-Dame et déjà nombre de Chalabroises et de Chalabrois se pressaient dans la salle du conseil, cours Sully. Accueillis par les membres de l’association « Il était une fois Chalabre », lesquels fidèles au rendez-vous depuis 1995, présentaient leur toute dernière publication.

    Impatience pour les uns, inquiétude pour les autres, certes les Tomes I et II avaient obtenu un franc succès, alors, quid du Tome III ? Cette nouvelle évocation du temps passé, éditée sous le titre « Gé et Ro », un titre en forme de clin d’œil, aura permis à Robert Roncalli son auteur, de ciseler un superbe chef-d’œuvre. Et un fabuleux cadeau pour tous ceux qui se retrouveront dans ce riche flot de souvenirs, pour tous ceux qui auront le bonheur de découvrir ce qu’était le quotidien chalabrois d’après-guerre. Décidément, Robert n’a rien oublié de son enfance en Kercorb, c’était il y a plus de cinquante ans, c’était hier. A la lecture de ce trésor de détails évoqués tour à tour avec émotion et humour, le temps s’arrête, l’abbé Fourtanier descend le cours Colbert, sa majesté Carnaval arrive par le train de 11 h en gare de Chalabre, et le « pan gradalhat » de Robert prend la même saveur que la madeleine de Proust.

    Samedi 13 décembre, et dans une atmosphère empreinte de nostalgie, Robert Roncalli aura volé la vedette à Fluris, l’espace d’une très sympathique séance de dédicace conclue par l’intervention du président Michel Brembilla, heureux d’adresser à tous ses plus chaleureux remerciements, au nom de « Il était une fois Chalabre ».

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  • C’était hier : Le collège Antoine-Pons va fêter ses trente ans d’existence

    L’article mis en ligne avait paru dans l’Indépendant, édition du mardi 27 novembre 2007.

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    La nouvelle année qui s’avance va offrir au plus petit collège de l’Aude, l’occasion de fêter son trentième anniversaire, événement auquel l’association « Il était une fois Chalabre » a souhaité s’associer par le biais d’un Tome IX à paraître en mai 2008. Un nouvel ouvrage qui fera la part belle au collège Antoine-Pons, et pour lequel les enseignants retraités ou actifs ont été invités à rassembler trois décennies de souvenirs. Trente années au cours desquelles se seront succédés cinq directeurs, Marc Jean-Pierre, Hubert Carcy, Claude Ruiz, Daniel Wagner et Yannick Callat, qui devraient se rencontrer à l’occasion de l’inauguration d’une plaque commémorative à la mémoire d’Antoine Pons.

    Cette cérémonie interviendra 76 années après la disparition tragique à l’âge de 42 ans, d’un enseignant syndicaliste militant, dont le destin devait basculer au retour d’une réunion du bureau départemental, un soir de mai 1932 à Rouffiac. Vers la fin des années 1960 et afin de rappeler son souvenir, un de ses anciens élèves, René Boyer, alors adjoint au maire Augustin Maugard, avait proposé que le collège porte le nom d’Antoine-Pons.

    L’ouvrage que l’équipe du président Michel Brembilla s’apprête à mettre sous presse proposera un historique détaillé avec les moments marquants ayant assuré la pérennité de l’établisement, le tout illustré par de nombreuses photos souvenirs. En classe ou en plein air, les élèves se reconnaîtront, comme dans cette illustration d’un cross annuel qui s’était terminé sous les marronniers de Saint-Pierre.      

    A l'heure où les chronomètres affichaient leur verdict, un peu avant que les sportifs ne dégustent un excellent chocolat chaud bien mérité, un petit « 6e » inscrit sur les tablettes sous le nom de Robert Voltes, se frayait un chemin parmi les potaches du futur collège Antoine-Pons. Le « Géo Trouve-tout » de la rue d'En Plumet avait ainsi recueilli et enregistré les impressions du vainqueur du jour, Serge Murillo, à l'aide d'un matériel entièrement élaboré par ses soins, là-haut près du laboratoire de Louis Monnier, grand-père photographe.

    collège antoine-pons,il était une fois chalabreA l’arrivée du cross du collège. Archive datant du milieu des années 1960. De gauche à droite, Inès Rodriguez, Gérard Huillet (Tiston), Serge Murillo, Eliane Saurat, Serge Rey, Jean-Louis Delpech, Richard Conte, Francine Rey et Robert Voltes (micro en main).