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  • JIEL en dédicace sur le cours Sully

    jielAlors que les célébrations des Fêtes du Cazal ont débuté, JIEL fera aujourd'hui samedi 22 juillet, une halte sur le cours Sully.

    Il aura le plaisir de présenter et de dédicacer un recueil de poésie illustré, riche de 52 textes, et autant de dessins originaux confectionnés par Jean-Louis Cabrol, son ancien collègue et ami.

    JIEL vous donne rendez-vous entre 10 h et 12 h à la mairie de Chalabre, pour une séance de vente dédicace de sa toute dernière publication, « Le plus mystérieux des voyages ».

  • JIEL en dédicace sur le cours Sully

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    En ce troisième trimestre 2023, et avec l’imminence des célébrations annuelles programmées au pied de la colline du Tatauba, JIEL s’apprête à amorcer une nouvelle descente depuis sa Montagne Noire d’adoption. Il aura dans les bagages, sa toute dernière publication, un  recueil de poésie illustré riche de 52 textes, et autant de dessins originaux confectionnés par Jean-Louis Cabrol, son ancien collègue et ami.

    Un ouvrage intitulé « Le plus mystérieux des voyages », avec lequel JIEL vous donne rendez-vous le samedi 22 juillet entre 10 h et 12 h à la mairie de Chalabre, pour une séance de vente dédicace qu’il propose en marge des grandes fêtes du Cazal. En avant-première, et à l’attention des Lapradois, l’ami Jean-Louis sera à la mairie de Laprade aujourd’hui dimanche 16 juillet entre 10 h et 12 h.

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  • « La femme du café »

    Le Grand prix littéraire international 2023, proposé par l’association Philémon avec la Société des poètes et artistes de France Occitanie, vient de permettre à l’ami Jean-Louis Sanchez d’obtenir une nouvelle récompense.

    Cette fois, et dans la catégorie Poésie libérée (versification sans rime), JIEL obtient la 2e mention pour « La femme du café ». Dans l’attente d’une remise des prix qui se déroulera le samedi 1er juillet prochain à la Maison de la Citoyenneté à Toulouse, où les poèmes primés seront déclamés, JIEL offre quelques instants en compagnie de « La femme du café ». Instants qui lui ont été inspirés par une huile sur toile du peintre Aldo Balding.

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    La femme du café

    Assise depuis des heures
    Devant ce guéridon de marbre,
    Elle attend et espère encore.
    Ses grands yeux bleus figés
    Vers ailleurs, vers nulle part ;
    Elle attend et désespère toujours.
    La tasse est sèche,
    Les sèches parties en fumée,
    Il n’est pas venu !
    Patiente mais vaincue,
    Absente et meurtrie,
    Il ne viendra plus…
    Debout depuis toujours
    Devant cette dalle de marbre,
    Une rose rouge à la main,
    Il n’est jamais venu...

    JIEL

  • « Une vigne là-haut »...

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    C’est un événement majeur qui a pour cadre la Montagne Noire, où la vigne semble vouloir prendre racine. « Avec l’aide de Steph et son tracteur, de Marco meilleur technicien du Bas-Languedoc, une fois de plus j’ai fait de ma vie de retraité un rêve, et de mon rêve une réalité… ». Ainsi s’exprime JIEL à propos d’un cépage en devenir, qu’il bonifie avec quelques rimes.

    Une vigne là-haut

    En ce jour de printemps, pendant que la nature

    S’éveille doucement après un long hiver,

    Dans ses effets tout neufs qui rayonnent de verts,

    La coquette forêt exhibe sa parure.

     

    Au milieu des prairies que le troupeau pâture,

    Tout près des grands chênes quand sommeillent les cèpes,

    Un courageux intrus vient de planter des ceps,

    Vigneron égaré ou poète immature ?

     

    La bourgade voisine au pied de la montagne,

    Depuis quelques jours est en ébullition !

    C’est un projet curieux dit la population,

    Est-il devenu fou, se croit-il en Espagne ?

     

    Jusqu’ici seuls les mots lui servaient de bagages,

    Le facétieux rêveur aux vers si bucoliques

    A su franchir le pas des songes alcooliques,

    Du raisin opulent aux généreux cépages.

     

    Les greffons alignés prendront ici leur temps

    Pour grandir patiemment au calme de toujours.

    Si Bacchus le veut bien des baies naîtront un jour

    Qu’ils viendront vendanger même par mauvais temps.

     

    J’imagine déjà la fête du village,

    Les vins fins gouleyants, le jus sucré des grappes,

    Les éclats de rire des joyeuses agapes.

    Poésie, vendanges, bonheurs du fond des âges.

    JIEL

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    « Relève assurée ! »

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