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Chalabre - Page 1924

  • L’Union Bouliste prolonge sa saison

    union bouliste du kercorbToulousains et Audois (collier), sont arrivés au bout du graphique.

    Le boulodrome de la place Charles Amouroux a accueilli durant tout le mois de septembre, quatre concours qualificatifs en triplette, réservés à la catégorie des 55 ans et plus. Placée sous la responsabilité de l’Union Bouliste du Kercorb et du président Yvan Carbonneau, cette compétition automnale a connu son épilogue le mercredi 5 octobre.

    Une grande finale qui mettait aux prises seize équipes venues des départements de l’Aude, de l’Ariège, de la Haute-Garonne et des Pyrénées-Orientales. A l’arrivée, c’est la triplette audoise, composée d’Alain Cabaribère, Daniel Léonard et Jacques Buscail qui se retrouve sur la dernière marche, en compagnie du trio toulousain, Jean-Michel Labolle, Serge Vitiourine, Alain Guittard. Six compétiteurs méritants, honorés pour leur qualification en finale.

    L’UBK félicite et remercie l’ensemble des participants, et leur donne rendez-vous la saison prochaine, pour une nouvelle édition de concours de pétanque en pays chalabrais.

    Lien permanent Catégories : Sport
  • Aude et Mickaël ont scellé leur union

    Aude et Mika.jpgFêtes galantes pour Mickaël, Aude, et leur belle petite famille.

    Le cours Sully était en effervescence en ce samedi de septembre, jour de rendez-vous pour Mickaël Padet et Aude Conte, désireux d’unir leurs destinées sous le ciel chalabrois. Une journée exceptionnelle, égayée par la complicité de leurs filles, Amélia, Amandine, Naomie et Kimie. L’assemblée accueillie dans la salle du conseil par Patrice Azam, conseiller municipal et officier de l’état-civil, a partagé ce moment solennel. En présence de Kévin, Fabien, Jennifer et Elodie, leurs témoins, Aude et Mickaël ont prononcé le oui traditionnel, avant de rejoindre les hauteurs de La Besse. A quelques lieues à peine du château du Kercorb, leur mariage laïque était célébré, et il revenait à Mickaël Cunillera l’honneur de recueillir le consentement des nouveaux époux, invités à échanger les anneaux. La musique allait se joindre à la fête, avec les interventions très appréciées de Louis Delort, Christophe Roncalli et Laurent Delort. Sincères compliments aux deux familles réunies, et meilleurs voeux de bonheur et de réussite à Mickaël et Aude.

    Aude et Mika bis.jpg

  • C’était hier : Toutes voiles dehors pour le « Perdu de vue » !

    L’article mis en ligne aujourd’hui avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 15 octobre 1996.

    perdu de vue,m.loubignat,mme mirabailMonsieur Loubignat (à droite), un accro de la voile (Photo archives, octobre 1996).

    Le vent frais qui soufflait en rafale samedi dernier, sur les abords de la base nautique du lac de Montbel a présidé à une très sympathique cérémonie, mise sur pied par un trio de nostalgiques de l’Age d’or de la marine à voile. Si le 5 octobre fera date pour M. Loubignat et ses amis, l’assemblée présente aura observé jusqu’où peut entraîner un amour fou pour la voile. L’histoire débute dans le garage de Mme Mirabail, sur une remorque, un petit voilier est là, embarcation brisée et réduite à l’état de bois à brûler. M. Bobeau, voisin et ami, pense pouvoir récupérer l’ensemble afin de restaurer… la remorque. Et c’est alors que M. Loubignat, originaire de l’île de Noirmoutier, équipier et ami de Eric Tabarly, compagnon de bord des Frères Pageot, va entreprendre le pari insensé de remettre l’épave à flots. Prévus pour durer l’espace de deux week-ends, dit-il à ses « associés », les travaux n’aboutiront en réalité que treize mois plus tard, pour un lancement officiel et réussi le 5 octobre dans les eaux du lac de Montbel. Baptisé par une marraine heureuse et émue, Mme Mirabail, le « Perdu de vue » a pu enfin hisser la grand voile, pour le plus grand bonheur du capitaine Loubignat et de son équipage, impatients d’entreprendre leur première sortie après tant de semaines passées à terre. Si vous apercevez le « Perdu de vue » et sa voile blanche filant au pied des contreforts ariégeois, c’est parce qu’il est né d’une passion, celle là même qui déplace les montagnes. Félicitations et bon vent !              

  • René Alegre n’est plus

    joaquin rené alegreUn dernier hommage était rendu dernièrement à Joaquin René Alegre, décédé à Carcassonne dans sa 80e année. Ses engagements professionnels l’avaient éloigné de Chalabre mais il y avait grandi et fréquenté l’école communale du Quai du Chalabreil, avant son tout premier contrat à la manufacture de chaussures Canat. Au gré des rencontres qu’il avait pu y faire, était née l’envie de monter une équipe de football. Une réunion s’était tenue au café Rives, où Léon Dumay, Monsieur Paul, Jean Alabert et René, décidaient de se cotiser pour acheter un ballon. Initiative heureuse, qui permettrait au FCC de célébrer son cinquantenaire, en 2002.

    Né le 1er octobre 1936 à Carcassonne, René Alegre avait fait un retour vers la préfecture audoise, rejoignant le 24e RIC, avant de traverser la Méditerranée en tant qu’appelé du contingent. Trente-six mois de service militaire plus tard, dont vingt-huit en Algérie, il part vers Douai et intègre le centre de formation professionnelle accélérée en plomberie. Il exerce son métier en entreprise à Versailles, et décroche après cinq ans d’expérience, le diplôme de moniteur FPA. Il fera sa carrière au centre d’Alençon (Orne), où il prend sa retraite en 1996, et revient s’installer à Carcassonne aux côtés de son épouse.

    Militant de toute une vie, très impliqué au sein du parti le plus à gauche du paysage politique français, René a reçu de ses nombreux amis réunis aux côtés de sa famille, de touchants témoignages d’amitié et d’affection. En ces douloureuses circonstances, sincères condoléances à Martine son épouse, à ses enfants, Isabelle, Michel et Gérard, à sa petite fille, à toutes les personnes que ce deuil afflige.

    joaquin rené alegre

    Au temps de l'école communale, Quai du Chalabreil (René Alegre, premier rang, au centre).

    joaquin rené alegre

    Les débuts du ballon rond à Chalabre.

    De gauche à droite. Debout : Hippolyte Sarraseca (en chemise), René Alegre, Manuel Rodriguez, Jean Alabert, Noël Gonzalez, Angéli Frère, Mario Giana, Roger Dumay. Accroupis : Angéli Frère, François Grauby, André Deramond, François Martinez, Auguste Giana (Piédalu). Petit garçon à droite, Gilbert Catrier.