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josette taffet-brzesc

  • Adieu, Huguette

    huguette ramier,josette taffet-brzesc

    Photo Maurice Mazon

    Après la disparition de Huguette Ramier, née Coste, son amie Josette Taffet Brzesc évoque ces moments d'hier, partagés au coeur du Chalabre de leur jeunesse.

    « Dans le souvenir de notre compagnonnage des années 50, toi secrétaire de direction auprès de M. Antoine Canat, moi dans le vacarme du bureau de la compta., sous la houlette bienveillante de M. Roger Dalmau où crépitaient les machines à écrire de Jeanine et Mimi, l'Olivetti de Lili et le ronflement de ma LogaBax, avec Ginette en position stratégique dans son minuscule « aquarium » du hall d'entrée qui distribuait, avec le courrier, les potins et les humeurs du jour. Certes, beaucoup d'application et de travail, mais aussi beaucoup de bonne humeur et d'amitié. Le souvenir aussi de ce jour où nous avons fêté - à sept ou huit filles - ta pendaison de crémaillère au deuxième étage de ta maison du Cours Sully, un instant qui compta pour toi si avide d'indépendance... Et bien d'autres moments, en d'autres temps plus proches... Aujourd'hui le cercle est bouclé... Aujourd'hui tu rejoins Jacques et Jean-Luc. Pour toi, la plus parfaite des ellipses ».

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  • C’était hier : « Nina Mendez », premier roman de Josette Taffet-Brzesc

    L'article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 5 août 2005 (photos archives août 2005).

    nina mendez,josette taffet-brzescNina a seize ans quand éclate la guerre d’Espagne. Elle est la fille du chauffeur du consul de France à Barcelone, jeune fille romanesque et fantasque qui peut être égoïste, jalouse, calculatrice, mais aussi courageuse. A travers l’histoire de « Nina Mendez », Josette Taffet-Brzesc a souhaité faire revivre une période qui a engendré deux guerres, la première étant en quelque sorte cette « répétition générale » pressentie par l’un des personnages de ce roman historique. « Une histoire certes, mais dans l’Histoire. Je me suis attachée à la plus grande rigueur dans la recherche et la présentation des faits historiques et des opinions affichées du moment, et cela sans parti pris. Ma préoccupation première a été de faire preuve d’impartialité et d’objectivité et pour ce faire, donner vie à des personnages aux opinions différentes, mon seul objectif étant d’éclairer et de faire comprendre cette période si chargée de passions ».  

    Entre 1938 et 1944, entre les derniers mois de la guerre d’Espagne et la fin de l’occupation allemande, Josette Taffet-Brzesc suit ses personnages dans le fracas des armes, les affres des passions sentimentales et les difficultés du quotidien dans ces terres disputées entre le nazisme, le franquisme et l’idée meurtrie de la République.

    Un message de paix     Josette Taffet-Brzesc signe une fiction qui a pour cadre le pays qui l’a vu grandir, où la frontière est omniprésente. On la passe dans les cohortes des exilés espagnols, on la repasse avec les fugitifs d’après 1940, terre de refus, terre de mémoire, terre de traditions. « Nina Mendez » est l’oeuvre d’une femme qui place une femme au cœur de son roman. Tiraillée entre deux hommes qui l’aiment, confrontée aux hommes qui font la guerre, l’héroïne porte un message de paix très actuel.

    nina mendez,josette taffet-brzesc

    Répondant à l’invitation de la municipalité, Josette Taffet-Brzesc présentait samedi son premier roman, le roman d’une vie puisqu’elle a passé près de cinq ans à en ciseler chaque phrase. « Nina Mendez » est paru aux éditions Empreinte et est disponible en librairie.

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  • C’était hier : « Nina Mendez », premier roman de Josette Taffet-Brzesc

    L’article mis en ligne aujourd’hui, avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 5 août 2005. Un retour en arrière, comme une invitation à retrouver ces portraits de femmes du Sud, sur lesquelles Josette Taffet-Brzesc pose un regard de tendresse, femmes au caractère bien trempé, qui ont du courage, de la volonté. 

    nina mendez,josette taffet-brzescJosette Taffet-Brzesc a présenté son ouvrage aux côtés de Christian Guilhamat (photos archives, Août 2005).

    Nina a seize ans quand éclate la guerre d’Espagne. Elle est la fille du chauffeur du consul de France à Barcelone, jeune fille romanesque et fantasque, qui peut être égoïste, jalouse, calculatrice, mais aussi courageuse. A travers l’histoire de « Nina Mendez », Josette Taffet-Brzesc a souhaité faire revivre une période qui a engendré deux guerres, la première étant en quelque sorte cette « répétition générale » pressentie par l’un des personnages de ce roman historique : « Une histoire, certes, mais dans l’Histoire. Je me suis attachée à la plus grande rigueur dans la recherche et la présentation des faits historiques et des opinions affichées du moment, et cela sans parti pris. Ma préoccupation première a été de faire preuve d’impartialité et d’objectivité, et pour ce faire, donner vie à des personnages aux opinions différentes, mon seul objectif étant d’éclairer et de faire comprendre cette période si chargée de passions ».

    Entre 1938 et 1944, entre les derniers mois de la guerre d’Espagne et la fin de l’occupation allemande, Josette Taffet-Brzesc suit ses personnages dans le fracas des armes, les affres des passions sentimentales et les difficultés du quotidien dans ces terres disputées entre le nazisme, le franquisme, et l’idée meurtrie de la République.

    Josette Taffet-Brzesc signe une fiction qui a pour cadre le pays qui l’a vu grandir, où la frontière est omniprésente. On la passe dans les cohortes des exilés espagnols, on la repasse avec les fugitifs d’après 1940, terre de refus, terre de mémoire, terre de traditions. « Nina Mendez » est l’œuvre d’une femme qui place une femme au cœur de son roman. Tiraillée entre deux hommes qui l’aiment, confrontée aux hommes qui font la guerre, l’héroïne porte un message de paix très actuel.

    nina mendez,josette taffet-brzesc

    Répondant à l’invitation de la municipalité, Josette Taffet-Brzesc présentait samedi son premier roman, le roman d’une vie puisqu’elle a passé près de cinq ans à en ciseler chaque phrase.

    « Nina Mendez » est paru aux éditions Empreinte et est disponible en librairie.

  • « Il était une fois Chalabre » a présenté son dernier recueil

    DSC_2132 bis.JPGL’équipe du président Brembilla (livre en mains) a relevé un dixième challenge. 

     

    Embarquée depuis les derniers jours de 1995 dans une quête permanente du temps passé, l’équipe du président Michel Brembilla avait fixé un nouveau rendez-vous à ses fidèles adhérents. C’était à quelques heures d’une douce nuit et l’objet de ces retrouvailles était la naissance d’un nouveau recueil de souvenirs, dixième ouvrage d’une collection consacrée à l’histoire de Chalabre.

    Le Tome X a ainsi été présenté tout au long d’une vraie journée d’hiver, qui a peut-être refroidi certaines ardeurs. A l’heure dite et devant un café bien chaud, les membres actifs de l’association ont accueilli les premiers adhérents, invités à parcourir un sommaire permettant de découvrir dans le détail  les aventures de Jean de Pressoires, seigneur de Tournebouich, racontées par Josette Taffet-Brzesc. Un texte de Gaston Maugard sur les Facturiers en pays chalabrais pour la période de 1782 à 1848, des photos signées du maître Maurice Mazon, la naissance d’une passion pour la géologie proposée par Freddy Marty, le fameux échange aigre doux entre le chroniqueur Robert Chapatte et le cuisinier Barthélemy Guilhem, le conte de « l’Estamarou » imaginé par Michel Raynaud, la Chanson de Chalabre ranimée grâce aux souvenirs de Robert Roncalli, ou encore les chroniques journalistiques du début du siècle dernier, recensées par Yves Ettori. Des chroniques qui font la part belle au chantier de construction de la ligne de chemin de fer Bram-Lavelanet, qui fut hélas le cadre de nombreux accidents. 

    Loco.JPGUne locomotive quitte Chalabre, en direction du passage à niveau de la ferme Saint-Martin.

    Au terme de cette journée de présentation, un peu plus de 200 exemplaires avaient trouvé leur place dans l’intimité des chaumières. Pour l’heure, les expéditions vers les adhérents « expatriés » se poursuivent, grâce à la diligence de Marie-Annick Saddier secrétaire et Yves Ettori trésorier. Le Tome X édité par l’imprimerie du Noisetier à Lavelanet est également disponible chez Bernadette Boffy et José Sanchez, ainsi qu’au secrétariat de la mairie, cours Sully.