C'était au milieu du siècle dernier, le communal tel que nos anciens ne le connaîtraient plus, vivait ses derniers jours. Sous les effets d'une pelleteuse appartenant à la société Fiorio de Limoux, et sur décision validée le 4 janvier 1950 par le conseil municipal, Maurice Samitier étant maire. Le futur groupe scolaire allait bientôt sortir de terre, avant d'accueillir en 1956, ses premières écolières et ses premiers écoliers. Bien plus tard, l'école des Filles et l'école des Garçons deviendraient l'école Louis-Pergaud et le collège Antoine-Pons.
Sous l'objectif du photographe Maurice Mazon, la lame d'un engin de chantier enfouissait lentement mais à jamais, les souvenirs de Chalabroises et de Chalabrois autrefois réunis en ces lieux, à l'occasion de la foire animalière ou pour les grandes fêtes locales (photo ci-dessous).
Commentaires
Bonjour et merci beaucoup pour ce reportage très détaillé et de superbes photos.
Une découverte pour moi.
Merci maitre Mazon !!!!
biensur il existe la collection de" il etait une fois chalabre" et encor une fois notre reporter à le don de traverser les couloirs du temps ( tiens ça me fait penser à un film ) voir le présent cache le passé ! merci de nous montrer ces clichés quel age avait tu pour avoir ainsi la fibre de reporter !!!!!!!
Photo prise entre le 6 et 9 mai 1948,
dans le landau André Nuévo
de gauche à droite Pierre Nuevo Jeannette Navarro, Josette Nuevo, Jean Mazon, Mme Mazon, Andrée Mazon, Simone Vidal, Justin Navarro.
Bien vu Serge, je n'avais que Jeannette et Justin. Pour Mme Mazon, je pense plutôt -mais sous réserve- à Mme Gérard, maman de Dédée.
Très belles photos....merci pour vos souvenirs et les précisions....
photo de 1948....et je vois qu'il y avait déjà la maison du directeur de l'usine. Je la pensais plus récente..
Bonjour François,
Ce commentaire vaut certainement un grand et spécial merci. Merci à toi.
Bonjour Cine,
Il semblerait que la construction de la maison du directeur ait certainement suivi de très peu, celle de l'usine.
Et le petit bonhomme à Gauche avec casquette et mégot au bec: ARMAND VIDAL mon tonton qui habitera un peu plus tard juste en face!