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  • Théâtre : Quand le farniente n’est pas au rendez-vous

    Surbook 001.JPGUne belle performance offerte par les Pablo de Castillones.

    La scène du théâtre Georges-Méliès accueillait mercredi 18 juillet, les comédiens de la troupe des « Pablo de Castillones », venus interpréter Surbook, en ouverture des Fulgurances de l’été 2018. En première partie de matinée, les « Minots d’Elsa », comédiens en herbe très prometteurs, auront maintenu leur auditoire éveillé, dans un monde de marchands de sable, empli d’humour (photos ci-dessous).

    pablo de castillones,surbook,fulgurances de l'été 2018

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    La comédie allait rester au programme, avec une pièce de Danielle Ryan et Jean-François Champion, enchaînement de situations inattendues, entraînant avec talent et humour, dans les pas de Scipion, petit comptable timide et complexé, qui rêvait d’un séjour paisible en Afrique. Au final, des vacances plutôt mouvementées, et une belle soirée partagée en compagnie d’une talentueuse troupe de comédiens. Des remerciements étaient adressés à tous par Fabienne Canal, coordinatrice du Festival des Arts 2018.

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  • Avec le théâtre de la terre

    Mardi 24 juillet, place Charles-Amouroux (20 h 45), Bâton de lune par la compagnie du Théâtre de la terre (6 €).

    Mercredi 25 juillet à 17h, Minute, le temps d'un souvenir, spectacle pour enfants (6 €). A 20 h 45, Molière l'amoureux, par la compagnie du Théâtre de la terre (6 €, 15 € pour les trois spectacles).

  • Le Tour de France est passé à la vitesse de l'éclair

    A l’heure où caravane et coureurs s’apprêtent à quitter l’Aude pour l’Ariège, un petit retour vers le mois de juillet 2008 permet de revivre un peu de l’atmosphère qui fait vibrer les amateurs de vélo. L’article qui suit avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 21 juillet 2008.

    tour de france 2008Devant un peloton lancé à ses trousses, Thomas Voeckler passe en tête au pont du Blau (photos archives, Juillet 2008).

    Le ciel était chargé en ce jeudi 17 juillet, quand la caravane du Tour de France s’est mise à déverser une pluie de cadeaux sur la foule de spectateurs massés avenue de Verdun et tout le long du Cours Docteur Joseph-Raynaud. Un sympathique instant de liesse partagé, tandis que les quelques clameurs réussissant à franchir le massif du Plantaurel laissaient entendre un départ mouvementé, là-bas sur l’esplanade de Lavelanet.

    Retour dans la course, et trois minutes seulement après le départ, Radio Tour annonçait une échappé de huit hommes. Escapade de très courte durée puisque la jonction se faisait aux portes de Chalabre (20e km), Thomas Voeckler réussissant à franchir le premier le vieux pont du Blau. Avec le renfort de nombreux touristes venus partager la magie d’un événement, malgré vents et marées, les Chalabrois ont alors multiplié les encouragements envers les « forçats de la route », en partance pour Narbonne à une vitesse impressionnante. Mais l’angle droit de la rue du Capitaine-Danjou sera fatal à Baden Cooke, qui chutera devant l’enseigne du docteur André Malacan. Remis en selle à hauteur de l’hôtel de France, sur lequel plane le souvenir de Robert Chapatte, l’Australien de la Barloworld devra hélas abandonner dans la montée sur Puivert.

    Dernier acte d’une journée particulière et d’un spectacle toujours aussi apprécié, même si les raisons de frissonner se font rares. Le ballet des hélicoptères disparaissait peu à peu du ciel chalabrois, emportant avec lui le spectacle vers les Corbières et le Narbonnais.

    tour de france 2008

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    Malgré les sourires, Gérard Holtz est reparti sans la recette de la mounjetado du Cazal

    tour de france 2008

    Un break apprécié à l'hôtel de France pour le journaliste de France 2