L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du jeudi 5 mai 2011.

Le souvenir de Georges et de Django a plané sur Saint-Jean (Photos archives, Mai 2011).

A l’initiative du comité des fêtes de Rouvenac, la salle des fêtes de St Jean de Paracol accueillait dernièrement un quartet de musiciens venus ranimer la flamme du grand Georges. Réunis sur scène pour le plus grand plaisir des nombreux inconditionnels de Georges Brassens, Christophe Roncalli et le « Trio Belleville » ont revisité le répertoire du poète sétois, sur des sonorités swing manouche. Eric Robert à la contrebasse et à la trompette, Christophe Acco et François Baudemont à la guitare, Christophe Roncalli au chant ont offert une prestation remarquable, accompagnée d’anecdotes et de compositions personnelles.

Avec la complicité d’un public enthousiaste, nos quatre jazzmen manouches ont entretenu la flamme allumée par Django, avec une virtuosité rare et un réel talent, sur une petite scène qu’ils auront eu beaucoup de mal à quitter.

Après l'hôtel de ville, la pente s'accentue pour aborder l'ancien Cours National, aujourd'hui Cours Docteur Joseph-Raynaud, du nom de l'homme de la Résistance tué le 7 juillet 1944 avec ses compagnons du maquis gersois de Meilhan (Gers). La promenade emmène ensuite vers le coeur de ville et la place du village, pour se terminer vers les abords du Pont du Blau.

Le Cours Docteur Joseph-Raynaud

De Jean-Baptiste Tournier à Joseph Courrent, de Barthélémy Guilhem à Raymond Fort et Guy Sanchez,...

... de fameux maîtres en cuisine se sont succédés devant les fourneaux du France... 

L'agence Renault avait pignon sur rue

Un bureau provisoire pour l'Habitat Rural, organisme demandeur de cet ensemble de photos

Le stationnement anarchique devant l'agence de l'Ecureuil ne perturbe pas Henri Chassaing 

Le premier centre de secours du Kercorb

Un Dodge couleur rouge garé devant l'ancien couvent des Capucins

Le panneau d'affichage de la mairie

La rue de la Mairie a perdu la chapelle Saint-Blaise

Une maison de maître et son bel escalier

La boucherie Lapasset-Cavayé a baissé le rideau

La terrasse du café Tournois, riche en gibier lors des périodes de Noël

Le siège d'un Watergate à la Chalabroise

(cf Tome XI Il était une fois Chalabre)

La triste solitude d'un balai s'abritant de la pluie

Le bureau de tabacs Fourcassa vendait aussi des graines

A L'Enfant Chic, rue Sainte-Ursule, en vis-à-vis de la charcuterie Buxeda 

La Maison Magna,  « Chaussures en tout genre et maison de confiance »

Au deuxième étage, la lumière du cabinet du Docteur André Malacan est déjà allumée

La Place Espérance-Folchet

Pierrot Baby a garé la DS Citroën

L'Epargne a retiré son enseigne

Une grand-mère passe devant la Brûlerie Chalabroise, d'où s'échappait une bonne odeur de café torréfié

A côté de la Brûlerie Chalabroise, Maison Sans, officie M. Balança, dentiste 

Maison Jouret, quincaillerie et fabricants de manches en bois pour couteaux

Des volets que rien ne prédisposait à ce qu'ils s'ouvrent à l'informatique

La Traverse de la Halle

L'Epargne, commerce de Denise et Aimé Catrier (correspondant de l' Indépendant)

Le magasin de chaussures de Paule et Fidel Alonso

Au rendez-vous des pots-au-lait,...

... quand Marie Nogherotto distribuait la production des vaches de Saint-Martin 

« Chez M. Folchet Auguste, Les prix les plus justes »...

... sur la droite, habitait Justine Cammage, dernière sage-femme du village († 1987)

Les beaux fruits et légumes de Claude et Raymonde

Emmitouflé dans sa canadienne, Julien Prats termine sa papier maïs

Impasse de la Juiverie

Rue Saint-Antoine, le tube de Pierrot Baby est rentré

Rue Saint-Antoine, l'épicerie de Madeleine et Pierrot Baby 

La R8  attend Antoine Martin au pied de la rue Côte du château

Jadis, les villageois empruntaient cette montée et allaient se réfugier au château

Rue Sainte-Anne 

Rue Saint-François

Le Pont du Blau

Au second plan, le Pont du Blau, et un peu de réclame au bénéfice d'un ancêtre du gel coiffant,...

... pour des consommateurs qui le valaient bien

La face B des vieilles maisons sur le Blau

Cachés derrière les fenêtres du pont, les bacs de révélateur du photographe Maurice Mazon

L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du vendredi 4 mai 2001.

Les lauréates avec Hélène Cortès (cachée), leur professeur d’histoire (Photo archives, Avril 2001). De gauche à droite, Nelly Carrière, Christine Plantié, Dorine Serres, Vanessa Garcia. 

Fidèles à une tradition solidement ancrée dans l’établissement, les classes de 3e du collège Antoine-Pons, ont participé au Concours de la Résistance 2001, qui avait pour thème l’organisation de la Résistance dans l’Aude. Sur un peu plus de trente travaux collectifs examinés par le jury, le dossier présenté par Mlles Nelly Carrière, Vanessa Garcia, Christine Plantié et Dorine Serres décroche le 2e prix départemental. Un brillant succès qui récompense l’excellente préparation dont a bénéficié l’ensemble de la classe de 3e, de la part de l’équipe pédagogique conduite par M. Claude Ruiz principal du collège et Mme Hélène Cortès, professeur d’histoire. Après avoir souligné la qualité des copies rendues, Mme Hélène Cortès devait rappeler l’esprit de ce concours créé en 1961 par décision ministérielle : mettre en avant les principes de la démocratie et créer un trait d’union entre les générations, en gardant en mémoire les événements de la Seconde Guerre Mondiale.

Brillantes lauréates passionnées d’histoire, Christine, Dorine, Nelly et Vanessa « ont fourni un important travail de façon très autonome, elles ont aussi fait preuve d’une très grande persévérance ». En saluant la valeur de leur travail, nous adressons de chaleureuses félicitations à nos quatre historiennes ainsi qu’à Mme Hélène Cortès, leur professeur. La remise des prix se déroulera en juin prochain au siège du conseil général de l’Aude.

L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 4 mai 2006.

Le président Jean Quério et ses partenaires ont apprécié les décors tarnais.

Six Chalabrois étaient ce dimanche 30 avril au départ de la Ronde Castraise, cyclosportive qui a donné le coup d’envoi de la saison à nos inconditionnels du pédalier. Exceptionnellement munis d’une autorisation de sortie délivrée par Badaluc XXXVIII prince de carnaval en goguette en Kercorb, Yves Bérenguer, Jean-Christophe et Roger Garros, Jean Quério, Patrick Rault et Alain Soula se sont retrouvés à pied d’œuvre dans la cité tarnaise. Les deux circuits proposés (86 et 143 km) empruntaient l’arrière-pays pour un périple sur les routes touristiques et vallonnées du parc national régional du Haut-Languedoc et du Sidobre. Il s’agissait de revenir à Castres via Lacrouzette, Vabre, Ferrières, La Salvetat-sur-Agout et Saint-Hippolyte. Sur le grand circuit, et parmi 558 concurrents, Patrick Rault boucle la Ronde en 4 h 40’ (136e), suivi de Jean Quério, 332e en 5 h 15’. Le petit circuit permettra à Jean-Christophe Garros de réaliser un temps de 3 h 16’, Yves Bérenguer termine en 654e position avec un chrono de 5 h 17’. Un parcours grandiose, une organisation au top, les Chalabrois sont revenus enchantés de leur escapade castraise.

Présents au départ et portés par un public de connaisseurs, Alain Soula (photo) et Roger Garros ont mystérieusement disparus des tablettes