Un dernier hommage sera rendu à Madame Jeanne Pendariès, née Saurat, domiciliée Route de Lavelanet et décédée à l’âge de 98 ans. La cérémonie religieuse sera célébrée lundi 10 mai à 15 heures, en l'église Saint-Pierre à Chalabre, suivie de l'inhumation au cimetière du village. Très sincères condoléances à la famille.
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Les vestiges des Cauquillous
Depuis les hauteurs du Pape, vue sur l'éperon de Montségur qui se dresse face au massif de Tabe
Sur le versant opposé, la ferme des Cauquillous partage l'espace avec une végétation envahissante
Ce bassin collectait une eau de source...
... qui transitait notamment par cet évier en pierre
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C’était hier : Une recrue de choix pour le FCC
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 7 mai 1996.
Retour aux sources pour Jeannot Alabert (Photo archives, Mai 1996).
A l’heure où les footballeurs chalabrois luttent pour leur maintien en promotion honneur de district, un challenge que les joueurs de José Planas sont en passe de réussir, le club du Kercorb enregistre avec un bonheur certain un renfort de choix en la personne de « Jeannot » Alabert, l’intraitable arrière latéral de l’Union Sportive Chalabroise des années 1960. Les fidèles supporters de l’USC se souviendront avec nostalgie de cet arrière offensif dont les montées dévastatrices auguraient déjà du double rôle pris de nos jours par le défenseur, aussi efficace derrière que dans le soutien de ses avants.
L'USC XI victorieuse au stade Jean-de-Mauléon face à Montolieu
Photo archives, 1957
La bonne nouvelle est que Jeannot a choisi de prendre sa retraite à Chalabre et sa présence au guichet ou sur le bord de touche est d’autant plus agréable qu’elle permet de faire le lien avec une période où les pionniers du football chalabrois avaient pour nom Roger Dumay, Barthélémy Costa, Hippolyte Sarraseca, Ginès Lorca, « Pepete » Montoro, André Déramond, une époque où le football faisait ses premières armes en Kercorb, sous la présidence de M. Léon Dumay.
Dimanche 5 mai et près de 40 ans plus tard, le FCC III avait rendez-vous avec l’équipe fanion de Lasbordes pour un match en retard de 3e division. Score final 5 à 0 pour les représentants du Kercorb, au terme d’un match dominé de bout en bout par les réservistes chalabrois. Les retours de Philippe Lara, Denis Payet, Sébastien Duporge et Mathieu Mouton-Brady auront été déterminants et la manière dont ce quatuor a réquisitionné le milieu de terrain laisse augurer de beaux jours pour le coach José Planas, qui dispose sans conteste d’un réservoir de qualité pour son team fanion. La partie excellemment arbitrée par un référé limouxin a été suivie par une chambrée des grands jours devant laquelle Denis Payet, Philippe Lara, Cédric Courdil et Christian Sanchez se sont fait un plaisir de scorer. Félicitations au FCC III qui alignait sur la pelouse du stade Lolo-Mazon la formation suivante : Vincent Desjardins, Louis Alcaïdé, Jean-Claude Pierron, Hervé Briant, Jérôme Delpech, Sébastien Duporge, Mathieu Mouton-Brady, Philippe Lara, Denis Payet, Cédric Courdil, Sébastien Pierron et Christian Sanchez.
Dimanche prochain, deux équipes seniors seront en lice au stade Lolo-Mazon. Le FCC I accueillera Villegailhenc I (15 h), en ouverture le FCC III recevra Villegailhenc II. Le FCC II cher à Jean-Philippe Discala se déplacera à Villalier.
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C’était hier : Badaluc le XXXIIIe aurait mis un pied en touche
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 7 mai 2001.
Badaluc aura été choyé par un formidable staff technique (Photos archives, Avril 2001).
Quelle est donc l’erreur fatale qui aura fait trébucher Badaluc le XXXIIIe dans les flammes d’un immense et mauléonesque bûcher ? Cette question restera à jamais sans réponse, et pour cause. Le Tribunal de la cour suprême des Tataoubas piquant des deux a trouvé son salut dans une fuite honteuse, ce qui étaye on ne peut mieux, la thèse de l’erreur judiciaire.
Ces faits remontent à dimanche et pourtant, samedi, tout allait à merveille pour le prince de carnaval, lequel allait à sa guise sur les cours chalabrois dans un superbe paletot du XV de France. Pays de rugby et terre de rugbymen, Chalabre avait offert des ponts d’or afin de s’attacher les services d’un champion incontesté, nos édiles allant même jusqu’à casser leur propre tirelire. Tout comme Thierry et les siens ou encore Richard, Jean-Paul et les leurs, les élèves de Maître Jean étaient trop heureux de faire vibrer leur fibre rugbystique.
Les chœurs d’Eissalabra lançaient en chanson une troisième mi-temps à l’image de la rencontre, musicalement animée par les artistes de l’OPVC et leurs complices frontonnais de la Banda « Beni can podi ». Envahissant les petites rues chalabroises pour de réjouissantes prolongations, masques, confettis et « badaïres » ont honoré le monarque jusque très tard dans la nuit. Tant et si bien que plus d’un coq aurait été pris de court.
Même masqués, les artisans de ce brillant succès carnavalesque se reconnaîtront. Vers eux vont nos plus vives félicitations et pour toutes celles et ceux qui brûlent de remettre cela, qu’à cela ne tienne, à l’année prochaine. Badaluc le XXXIIIe a vécu, vive Badaluc le XXXIVe !
Le jour d'avant, dans l'ancienne usine Canat
Veillée en musique et vérification des partitions
Le cortège parade sur le Pont-Neuf
Les petits carnavaliers sont au rendez-vous
L'accueil des officiels sous la halle
Le FCC XI et ses ambassadrices de charme
Le ballon ovale ne cesse de rebondir encore...
... et encore sur le comptoir
Dans la nuit de carnaval, caisses claires, trompettes et saxos...
... accompagnent les Festejaïres
Derniers accords sous le balcon du théâtre, la sauterie va commencer
Après les airs de fécos, retour aux fondamentaux avec un paso
Le lendemain est un autre jour, et les masques reprennent leur parade
Mestre Doulentizo et Mister John-Pol Trucopeluco de Cancairolo, son assesseur, semblent sereins
Cuivres et clarinettes fondent sur la Métairie de la Ville
La Cour
Mestre Mauritius Refresco Barral de Machoro, Mestre Chuco Mecos de la Cour Suprême du Tatauba, Mister John-Pol Trucopeluco de Cancairolo et Mestre Doulentizo de la Bordo del Traouc de la Saraillo
Les fans de Badaluc négocient la relaxe
Petite carnavalière est devenue grande
Un tribunal de bric et de broc est en train de sceller l'avenir de Badaluc
Etourdi par ce coup du sort, Badaluc le XXXIIIe vient de mettre un genou à terre
Il tourne son regard vers les créneaux de Mauléon...
... et accepte son sort