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  • Caroline Lussato a pris ses fonctions à l’Ehpad des Hauts-de-Bon-Accueil

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    Caroline Lussato succède à Sylvie Soinnard à la direction de l'établissement

    L’établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), réunissait mercredi 20 décembre, les membres de son conseil d'administration. Cette réunion de travail s'est déroulée en présence de Caroline Lussato, nouvelle directrice de l’établissement en fonction depuis le 1er décembre dernier.

    Arrivée en Kercorb pour prendre la succession de Sylvie Soinnard, Caroline Lussato était auparavant directrice du centre hospitalier Maurice-André à Saint-Galmier, au sud du département de la Loire. Un changement de latitude qui tient un peu du retour aux sources, puisque sa famille maternelle réside à Carcassonne. Après un parcours universitaire et professionnel, et une expertise acquise dans le domaine du sanitaire et de la gériatrie, Caroline Lussato souhaite pouvoir privilégier un esprit de coordination.

    Depuis son arrivée à Chalabre, elle a déjà pu s’immerger dans la vie du village, pour constater la proximité des élus et des professionnels de santé du pays chalabrais. Les Hauts de Bon-Accueil tournent une nouvelle page, l’occasion de souhaiter la bienvenue en Kercorb à Caroline Lussato.

  • Lu dans la presse

    Un 30 décembre dans les colonnes du journal Le Rappel de l'Aude.

    1890 Le Rappel de l'Aude 21 août 001 bis.jpg

    le rappel de l'aude

    1890 Le Rappel de l'Aude 30 décembre

    le rappel de l'aude

    1891 Le Rappel de l'Aude 30 décembre

    le rappel de l'aude

    le rappel de l'aude

    1890 Le Rappel de l'Aude 30 décembre

  • C’était hier : Quand le directeur de l’hôpital met la main à la pâte

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 30 décembre 1998.

    hôtel-dieu saint-jacques chalabre

    Un rôle inhabituel pour Jean-Jacques Aulombard

    Photo archives, Décembre 1998

    Avec la visite du Père Noël et la proximité des festivités de fin d’année, l’activité bat son plein au cœur de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques où chacun s’affaire pour que les pensionnaires terminent 1998 dans une ambiance de fête.

    De fait, le dévoué personnel de l’hôpital local déjà très sollicité tout au long de l’année, a revu son rythme de travail à la hausse, ce qu‘il accompli de bonne grâce, aux petits soins pour nos anciens qui le méritent bien. Et à situation exceptionnelle, moyens exceptionnels, c’est ainsi que les filles de la maison de retraite ont bénéficié d’un renfort de choix, en la personne de Jean-Jacques Aulombard, directeur de l’Hôpital venu prêter main forte en cuisine. Non pas pour améliorer l’ordinaire, les « cuistots » y veillent déjà, mais juste pour apporter sa contribution aux préparatifs des fêtes de la Nativité. Un concours plutôt efficace que grands-mères et grands-pères n’ont pas été les derniers à apprécier, bien au contraire.

    Bonne Année 1999 à tous !

  • Le temps a poussé les pierres

    louis jouret

    Au bord du vieux canal, un vestige de l’artisanat chalabrois

    Cette bâtisse en ruine qui jour après jour a modifié sa silhouette en silence, fut entre 1920 et 1940 l’atelier Jouret, du nom de Louis Jouret, quincailler et épicier sur la place du marché.

    Dans le Tome V édité en juillet 2000 par l’association « Il était une fois Chalabre » et sous la plume de Maurice Rouzaud, il apparaît que Louis Jouret, Puivertain d’origine, fabriquait là des manches de couteau en corne avant d’y monter les fameuses lames du Puy-de-Dôme, venues de Thiers.

    louis jouret

    Le délicat assemblage était réalisé dans un local de la Traverse de la Halle grâce au savoir-faire de François, Joseph et Guy Huillet, mais la bâtisse évoquée aujourd’hui se trouve route de Lavelanet, juste au pied des Genêts, après le petit pont de pierre. Ce bâtiment annexe à l’écart du village et pour cause, permettait le recyclage des rebuts après usinage de la corne, activité plutôt incommodante, étant donné l’odeur particulièrement tenace dégagée par le traitement de la matière première : « les déchets de corne de mouton et de bœuf étaient concassés et servaient à faire de la « cornaille », utilisée comme engrais. Une turbine lancée par la force motrice des eaux du canal permettait d’actionner machines et courroies, les vestiges du canal et l’emplacement de la turbine sont encore visibles ».

    Les temps changent, la corne autrefois abondante a hélas cédé la place au plastique, mais les vieilles pierres fatiguées ont depuis refait leur vie quelque part sur les hauteurs du vieux Chalabre.

    louis jouret

    Photo archives, juillet 2021