L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du 10 octobre 1993.

La rue du Presbytère, telle qu'elle n'est plus

Photo archives, juillet 1993

Si vous passez dans la rue du Presbytère, ne cherchez pas cette façade, vous perdriez votre temps. Seuls les plus anciens entendent encore la paire de boeufs menée par Albert Galaup, rentrer à la nuit tombée pour se repaître d'un repos amplement mérité au pied des « grepios » abondamment fournies en fourrage. Le négociant en grain et fourrage Albert Galaup, père de Juliette Danjou, que les patients du docteur Emmanuel Anduze ont très bien connue, cèdera plus tard l'édifice à Julien et Marie Faure qui installeront là leur négoce en bois et charbon. A l'automne 1993, les pierres sont parties, emmenant avec elles un peu de l'histoire du Quai du Chalabreil.

L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 9 octobre 2003.

Chantal et Bernard prennent le relais de Titi et Séverine

Photo archives Octobre 2003

Une nouvelle page vient de se tourner derrière le zinc du café de la Paix, quelques heures après que Titi et Séverine aient pris congé de leurs nombreux amis à la faveur d'une ultime et exceptionnelle soirée. Les habitués de cette institution établie depuis des lustres sur le cours Colbert, auront à présent le privilège d'être accueillis par Chantal Couvrand et Bernard Hueso, nouveaux gérants.

Ces derniers officiaient précédemment à Villemur, en Haute-Garonne, et leur arrivée en pays chalabrais n'est pas complètement le fait du hasard, puisque Chantal est Ariégeoise, originaire de Léran. Un retour aux sources en quelque sorte pour deux nouveaux résidents auxquels nous souhaitons la bienvenue en Kercorb. Succédant à Thierry Ferrier et Séverine Plantié, Chantal et Bernard veillent donc officiellement depuis le samedi 4 octobre aux destinées du café de la Paix.

Photo Collection Thierry Meynier

De gauche à droite, debout, Monique Delpech, Cathy Huillet, Marie Alonso, ?, ?, Geneviève Gallardo, Marie-Hélène Huillet. Accroupies, Jenny Romero, Geneviève Vidal, Anne Martinez, ?, Suzanne Cuesta.

L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du lundi 6 octobre 2003.

Antoine Azzi fait l'expérience de la solitude du coureur de fond (Photo archives, septembre 2003).

La dernière ligne droite est en vue pour les coureurs de fond du Kercorb qui étaient tout récemment à Limoux au départ de la IXe édition du Challenge PaCouLix. Instituée par le duo Jean-Pierre Panont-Daniel Tédo et leurs nombreux complices, la course offrait cette année une innovation, les deux distances habituelles (5 et 15 km) étant ramenées en un seul et unique parcours de 10 km.

Sous les encouragements de leur ami Claude Cnocquart, blessé, Thierry Noy et son sparring-partner ont pris place aux côtés de 180 concurrents, bouclant les deux tours en 40' 44'' (40e) et 41' 45'' (52e). Un 3e tour était prévu, qui allait se courir à allure libre, autour d'une fricassée concoctée par Gaby, et dans cette ambiance conviviale que les PaCouLix savent si bien cultiver.

Dimanche 5 octobre, les Foulées du Kercorb ont dispersé leurs efforts, les uns participant à la Ve course des Cimes organisée par les Amis du Pic de Bugarach, les autres s'alignant au départ des 10 km de l'Ephèbe au Cap d'Agde. Du côté de l'infirmerie, Antoine Azzi a repris le chemin de l'entraînement et enchaîne les séances afin de revenir au plus vite dans le peloton. Son retour sous les ordres du starter est prévu le dimanche 19 octobre prochain à Malves-en-Minervois. Répondant à l'invitation de l'équipe de Patrick Missène, Antoine sera aux côtés de ses partenaires pour le départ d'une Xe Ronde des Châtaignes et du Vin primeur très attendue.