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C'était hier - Page 224

  • C’était hier : Bientôt la reprise à l’école de foot

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 20 août 2002.

    fc chalabre footballDes débutants prêts à retrouver leurs éducateurs (Photo archives, Mars 2002).

    Si les seniors du FC Chalabre ont effectué leur rentrée sur les stades d’entraînement en attendant un début de championnat fixé au 29 septembre prochain, les dirigeants de l’école de football procèdent actuellement à la constitution des équipes de jeunes appelés à défendre les couleurs du Kercorb. Afin de permettre une inscription rapide auprès du District de l’Aude, les parents des enfants désireux de pratiquer le football à la rentrée prochaine doivent se faire connaître auprès de Mme Martine Gérard, secrétaire du club, au 04 68 69 30 10.

  • C'était hier : Les « accros de la monjeta » étaient à Camplimoux

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 19 août 2012.

    camplimouxRive droite ou rive gauche, le petit hameau entretient l’hospitalité sans compter (Photo archives, Août 2012).

    « Il faut chanter ce que l’on aime, exalter tout ce qui est beau… ». Ainsi commence un superbe poème mijoté et chanté à la gloire des haricots. Au coeur de la fête samedi sur la place de Camplimoux, les « monjetas » ont bien été à la hauteur de leur réputation, réveillant les papilles de plus de cent-cinquante convives. Choyés par les sociétaires du club de pétanque local et leur président Didier Roget,  les amateurs se sont une nouvelle fois régalés des talents culinaires de Gisèle Calvène. Prélude d’une soirée enflammée par DJ La Furgue, prophète en son pays, et qui aura fait monter les notes jusqu’aux ruines oubliées du vieux château de Balaguier. 

    Le jour d’après sera moins stressant, pour les dynamiques animateurs d’un hameau riche de près de quarante âmes, blotti à un jet de pomme de Sonnac-sur-l’Hers. A nouveau réunis après avoir raccompagné un à un leurs invités, ils pouvaient sereinement laissé retomber les décibels, autour d’une succulente pyramide d’entrecôtes. Après le cochon à la broche en 2011, et les haricots samedi, août 2013 devrait coïncider avec un nouveau rendez-vous gastronomique.

  • Un jour, une image

    Au milieu de la décennie 1970, Chalabre voyait son image de « ville laborieuse » -pour reprendre les termes de Gaston Maugard- altérée par une nouvelle crise industrielle. Avec le temps qui a passé, on sait aujourd’hui que c’était la dernière.

    1975, la sirène de l’usine Canat ne règle plus le quotidien des Chalabrois, mais le  désir de ne rien céder au pessimisme et à la mélancolie donnera naissance à un sigle qui va s’imposer sans tarder dans les chaumières du Kercorb. Avec un des quelques privilèges qu’il leur reste, les pères de l’OPVC (Opération Vacances en Chalabrais) vont mettre l’imagination au pouvoir et repousser la morosité hors des murs de la bastide.

    opvc

    Photo collection Yves Saddier              

    Diverses animations viendront régulièrement animer les cours, à l’image d’une sérénade que les musiciens fédérés sous la bannière de l’OPVC avaient donné un soir d’été au pied du balcon de Malou et Robert, sur le Cours Sully. Malicieux et fantaisistes, René Berland, André Conte, Gérard Roncalli et leurs amis, n’en étaient pas moins des précurseurs.   

  • C'était hier : Avec la « Confrérie des Pénibles »

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du dimanche 18 août 2002.

    les péniblesAux premiers rousillous, les « Pénibles » montaient à Picaussel.

    C’était il y a à peine trente ans, une joyeuse équipe de Chalabrois se fédérait pour le meilleur, et un seul tour allait suffire afin de porter Roger Caux à la présidence de la « Confrérie des Pénibles ». Cette toute nouvelle association accueillait une majorité de quinquagénaires qui cultivaient un certain art de vivre et privilégiaient les rencontres conviviales. Les « Pénibles » se retrouvaient régulièrement en leur siège du café de la Paix, Cours Colbert, où ils étaient reçus comme il se doit par François et Ginette Lopez, maîtres des lieux. Animés par une belle complicité, les « Pénibles » étaient en réalité de vrais épicuriens dont nous sommes heureux d’évoquer le souvenir, en ayant une pensée pour tous ceux qui nous ont hélas quittés.

    Cliché ci-dessous, debout de gauche à droite : Christian Amouroux, Raymond Fort, Gabriel Gallardo, Pedro Molina, Jean Salvat, Roger Raynaud, Jacques Montagné, Roger Caux (assis), Louis Gimenez, Jacques Arcizet, François Sanchez, François Lopez, Victor Baro (assis masqué), Jean-Claude Cazettes (assis). Absent sur la photo, Pepe Villena, qui a remplacé Jacques Montagné, chargé de prendre la photo ci-dessus.        (Un grand merci à Francine Sanchez-Gayet pour ces photos)

    les pénibles