Jean Cabanier et sa chéchia devant la maison commune, Cours Sully. Il n'est pas seul.
Photo Collection Yves Saddier
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Jean Cabanier et sa chéchia devant la maison commune, Cours Sully. Il n'est pas seul.
Photo Collection Yves Saddier
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 14 mars 1996.
André Mamet, ponctuel et assidu, par tous les temps (Photo archives, Mars 1996).
A l’heure où nos cours et nos rues dorment encore dans la douce lumière des réverbères, André Mamet arpente méthodiquement les trottoirs chalabrois, une énorme sacoche pleine d’informations en bandoulière. C’est ainsi qu’aux alentours de 6 h 30 chaque matin, Dédé fait sa tournée avec une constance de métronome, à ce point régulière que nos fidèles lecteurs sont véritablement devenus dépendants de ce messager noctambule, un comble pour les habitués de notre titre. Les hasards du calendrier ne perturbent en rien les bonnes habitudes d’André Mamet, les matins de Noël ou du jour de l’An sont pour lui des matins comme les autres, et s’il s’agit de braver les intempéries comme ce fut le cas dernièrement, André en redemande. Il pleut pleuvoir sur les trottoirs, Dédé s’en fiche et c’est tant mieux.
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 14 mars 1996.
Les flammes n’ont rien épargné (Photo archives, Mars 1996).
Dans la nuit du samedi 9 mars, aux environs de 2 h 30, les sapeurs-pompiers de la caserne Jean-Cabanier de Chalabre étaient appelés sur la commune de Montjardin où un violent incendie ravageait une grange appartenant à M. Marcel Franc, agriculteur. Malgré l’intervention rapide de nos soldats du feu, les flammes n’ont rien épargné, allant même jusqu’à menacer la maison d’habitation où loge la famille Franc. La proximité d’un stock de bouteilles de gaz aurait pu provoquer le pire, si les chiens alertés par le crépitement du brasier n’avaient en aboyant réussi à tirer de leur sommeil les membres de la famille de Marcel Franc.
Au-delà du matériel entreposé dans la grange, deux véhicules ont entièrement été détruits par les flammes d’un incendie qui laisse planer des doutes quant à son origine. La brigade de gendarmerie de Chalabre procède actuellement à l’enquête d’usage, sachant que des indices suspects ont également été relevés dans un hangar situé à l’entrée de Chalabre.
Christian Sanchez en 1974, sur les planches du théâtre municipal de Chalabre
Photos Simone Sanchez Santoro
43 ans après la disparition de Claude François le samedi 11 mars 1978, certains de nos concitoyens ont certainement gardé en mémoire les deux spectacles qui avaient été donnés sur la scène du théâtre municipal chalabrois. C’était en 1974 et en 1978, et l’organisation de ces deux rendez-vous à l’attention des fans de « Cloclo », avait été remarquablement assurée par le foyer d’éducation populaire (FEP) et son animateur, Christian Dhomps.
L’auteur de « My way » n’avait pas effectué le déplacement en Kercorb, et pour cause, un jeune alter ego natif de Chalabre et dernier bébé de Justine Cammage, avait assuré le spectacle. Aux côtés des tout aussi célèbres « Clodettes », Christian Sanchez avait par deux fois, subjugué une salle de spectacle comble, grâce à la qualité d’interprétations tirées du répertoire de l’idole des jeunes des années 1970.
Christian Sanchez et ses Clodettes, en 1978 : 1er rang : Elise Diaz, Christian Sanchez, Muriel Fort. 2e rang : Corinne Azam, Jacqueline Lara (spectacle proposé dans le cadre des fêtes de l'Ascension).
En 1974, Mesdemoiselles Marie-José Soler, Pascale Fort, Nadine Cazas, Myriam Castelnaud et Joëlle Fort composaient la formation des « Clodettes ».