Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Société - Page 30

  • Les abeilles sont en danger

    benoît lestienne

    Leur fonction pollinisatrice est capitale

    Benoit Lestienne est apiculteur et se propose d‘enlever gratuitement tout essaim d'abeilles qui aurait élu domicile près de chez vous, afin de lui donner une chance de survivre. « Par une journée chaude un essaim partira, c'est là sa façon de se multiplier. Un essaim autour d'une branche ne restera pas s’il n'est pas protégé, il faudra donc faire vite ou le suivre ».

    Comme le rappelle Benoit Lestienne, les abeilles domestiques - Apis mellifera en Europe - vivent dans des ruches. Une ruche peut contenir jusqu’à 40 000 abeilles l’été, et descendre en dessous de 20 000 en hiver. La longévité de ces petites travailleuses varie aussi en fonction de la saison : elles peuvent vivre jusqu’à quatre mois l’hiver, alors que l’été, étant très occupées à butiner, mais également plus exposées au stress, elles s’usent plus vite et ne vivent que trente à quarante jours. En hiver, les abeilles adoptent la technique des pingouins et s’entassent en grappes pour garder la chaleur à l’intérieur du groupe.

    « Depuis quelques années, la population d'abeilles est en très forte diminution, avec une disparition totale sur certaines zones. Ce phénomène porte le nom de Syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles. Subitement, les ruches se vident de leurs abeilles sans que l’on ne retrouve aucun cadavre à proximité. Ce syndrome est très préoccupant en raison de l'importance écologique de l'abeille en tant que pollinisatrice ».

    Benoit Lestienne est joignable au 0033 777 033 864 (il est préférable d'envoyer l'adresse par SMS, les messages sur répondeur sont à éviter si possible)​.

  • Tout savoir sur les monnaies locales

    monnaies locales,pyrène,lictp chalabre

    L’association Pays de Mirepoix en transition(s), le « groupe local » de Monnaie 09 en charge de la promotion de cet outil sur les territoires des communautés de communes du Pays de Mirepoix et Pays-d’Olmes, ainsi qu’ALIC-TP (Association pour des Liens et Initiatives Citoyennes en Terre Privilégiée) organisent deux réunions d’information sur le thème de la monnaie locale. Un premier rendez-vous a déjà eu lieu à Mirepoix le jeudi 16 mars dernier, une rencontre est proposée le dimanche 26 mars à 17 h place Charles-Amouroux à Chalabre. Ces réunions d’information s’adressent aux élus, particuliers, professionnels partout en Ariège mais également sur les territoires proches dont le secteur de Chalabre.

    Comme le précise Claude Fressonnet, agricultrice à Canterate (Montbel), « Les monnaies locales complémentaires et citoyennes (MLCC) sont autorisées par les lois ESS de 2014. Les MLCC ont de multiples vertus pour la relocalisation de l’économie, l’emploi local et le développement territorial. De plus, il est dorénavant possible de percevoir ses indemnités d’élu dans cette unité, ce qui permet l’exemplarité dans le soutien à notre économie locale ».

    Ancienne membre du comité de pilotage de l’association Monnaie 09 qui porte la monnaie complémentaire légale en Ariège (les Pyrènes), professionnelle qui accepte les paiements en Pyrènes, membre de l’association Pays de Mirepoix en Transition (référente de l’atelier Pyrène) et membre d’ALIC-TP sur Chalabre, Claude Fressonnet invite à retrouver l'ensemble des intervenants afin de débattre sur le thème, dimanche 26 mars prochain.  

    https://paysdemirepoixentransition.wordpress.com/2023/03/08/tout-savoir-sur-la-monnaie-locale/

    monnaies locales,pyrène,lictp chalabre

  • Des zones humides dans votre commune, pourquoi en faire l’inventaire ?

    syndicat du bassin du grand hers,agence de l'eau adour garonne

    Le syndicat du Bassin du Grand Hers (SBGH) informe que l’ANA-CEN d’Ariège porte un projet d’inventaire des zones humides sur les communes audoises traversées par l’Hers Vif et ses affluents (Blau, Chalabreil, Riveillou, Ambronne,...). Ce projet est financé par l’Agence de l’Eau Adour-Garonne et le Syndicat du Bassin du Grand Hers. Afin de présenter la démarche, l’objectif et le déroulement du projet, une réunion publique est organisée le lundi 20 mars à 18 h 30 à la salle polyvalente de Sainte Colombe-sur-l’Hers.

    Comme le précise Dominique Wart, technicienne de rivière au SBGH, « Une zone humide joue un rôle important dans la régulation du débit des cours d’eau, surtout lors des sécheresses de plus en plus prononcées mais aussi parce qu’une zone humide épure l’eau efficacement et parce qu’elle constitue un milieu d’une grande richesse biologique. L’inventaire permettra de mieux prendre en compte les zones humides dans les outils d’aménagement du territoire et de leur accorder une protection adéquate ».   

    Chacun est invité à venir s’informer et donner son avis, en participant à cette réunion.