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Chalabre - Page 2807

  • 4e édition du festival « Souriez, c’est pour rire ! »

    Les 22 et 23 août, le festival « Souriez, c'est pour rire ! » s'invite à nouveau à Puivert, à l'initiative du Foyer d'Education Populaire de Chalabre et de la Communauté de communes du Chalabrais. Vendredi soir à Chalabre, la soirée d'inauguration, admirablement parodiée par la compagnie Cirque en Kit, donnera le ton. Samedi matin, le marché de Chalabre ouvrira les hostilités d'une journée folle, entre primeurs et clowns, de cafés en mini fanfares. Un repas pour tous est organisé sous la halle. Puis, chaque après-midi dès 14h30 à Puivert, le musée, la mairie, le lac offriront  leurs cadres à des spectacles de cirque théâtralisé, acrobaties, théâtre, de chanson ou du conte, ainsi qu'à des animations pour les enfants, soigneusement choisis par Marie-Bénédicte Lemaire, la programmatrice artistique. Une escapade à Sonnac-sur-l'Hers est prévue le samedi à 17h, pour trois compagnies.

    Voilà un festival animé par quinze troupes venues de toute la France, grâce auxquelles l'humour va se décliner en formes parfois inattendues. La finesse côtoiera la fête, le satyrique se frottera au  poétique.

    Dimanche matin, dès 9h30, une balade contée vous emmènera de conte musical en surprise théâtrale. Les spectacles sont gratuits, payants ou au chapeau.

    Il est également possible de devenir bénévole ou d'accueillir des artistes chez soi (contact Office de Tourisme au 04 68 69 65 96). Pour plus d'infos, consulter le programme complet sur le site du festival, http://festival.chalabrais.over-blog.com    

    Festival Rire 2006 010.jpgMusique, poésie et fantaisie s'invitent en Kercorb le temps d'un week-end.

  • « Nina Mendez », premier roman de Josette Taffet-Brzesc

    Article l'Indépendant paru dans l'édition du vendredi 5 août 2005

    Nina Book.JPGNina a seize ans quand éclate la guerre d'Espagne. Elle est la fille du chauffeur du consul de France à Barcelone, jeune fille romanesque et fantasque qui peut être égoïste, jalouse, calculatrice, mais aussi courageuse. A travers l'histoire de « Nina Mendez », Josette Taffet-Brzesc a souhaité faire revivre une période qui a engendré deux guerres, la première étant en quelque sorte cette « répétition générale » pressentie par l'un des personnages de ce roman historique. « Une histoire certes, mais dans l'Histoire. Je me suis attachée à la plus grande rigueur dans la recherche et la présentation des faits historiques et des opinions affichées du moment, et cela sans parti pris. Ma préoccupation première a été de faire preuve d'impartialité et d'objectivité et pour ce faire, donner vie à des personnages aux opinions différentes, mon seul objectif étant d'éclairer et de faire comprendre cette période si chargée de passions ».   

    Entre 1938 et 1944, entre les derniers mois de la guerre d'Espagne et la fin de l'occupation allemande, Josette Taffet-Brzesc suit ses personnages dans le fracas des armes, les affres des passions sentimentales et les difficultés du quotidien dans ces terres disputées entre le nazisme, le franquisme et l'idée meurtrie de la République.

    Josette Taffet-Brzesc signe une fiction qui a pour cadre le pays qui l'a vu grandir, où la frontière est omniprésente. On la passe dans les cohortes des exilés espagnols, on la repasse avec les fugitifs d'après 1940, terre de refus, terre de mémoire, terre de traditions. « Nina Mendez » est l'oeuvre d'une femme qui place une femme au cœur de son roman. Tiraillée entre deux hommes qui l'aiment, confrontée aux hommes qui font la guerre, l'héroïne porte un message de paix très actuel.J T B.jpg

     Répondant à l'invitation de la municipalité (photo), Josette Taffet-Brzesc a présenté son premier roman, le roman d'une vie puisqu'elle a passé près de cinq ans à en ciseler chaque phrase. « Nina Mendez » est paru aux éditions Empreinte et est disponible en librairie.    

        

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  • Le quartier du lac fait la fête

    Les traditionnelles festivités du 15 août organisées par l'Amicale des joueurs de l'U.S.C.K XV se dérouleront samedi selon le programme suivant : 13h, inscriptions pour le « Trophée François Lopez », concours de pétanque en doublettes formées (8 € par équipe, prix 50 € + mises + coupes). 13h 30 jet du bouchon, 19h remise des récompenses et apéritif. La doublette Olivier Carbonneau-David Rodrigues qui avait décroché le trophée face au duo Jacky Bouichou-Yvan Carbonneau remettra le titre en jeu.

    A 21h, une paëlla sera servie sur la grand-place du lotissement du lac (15 €, inscriptions au café des Sports avant le mercredi 12 août). A 22h, bal animé par D.J. Wilfried et grand feu d'artifice offert par la municipalité, tiré sur les berges du lac à partir de 23h 30. L'Amicale des joueurs vous réserve son meilleur accueil et vous attend nombreux le samedi 15 août. 

    Fête Lac.jpgOlivier et David, vainqueurs de Yvan et Jacky, sont prêts à défendre le titre.     

  • Une journée avec les marmottes de la réserve d’Orlu

    En Beys août 2009 010.jpgA la faveur d'un baromètre au beau fixe, les randonneurs du Chalabrais mettaient dernièrement le cap sur la vallée d'Ax les Thermes, afin de rallier la réserve naturelle d'Orlu. Après avoir longé la rivière Oriège, le quatuor parti de Chalabre aux aurores arrivait au parking des forges d'Orlu, chargeait sacs à dos et s'engageait sur le sentier de découverte.

    En Beys 5 août 2009 027.jpg

    Yvan, Guy et Daniel ont apprécié la sérénité des lieux.

     Une approche de deux heures environ permettra à l'équipe de rallier le Pla d'En Gaudu par la Jasse de Justinac, sous l'oeil de nombreux isards sortis du bois à la pointe du jour. L'arrivée à hauteur de « l'Orri veilh » sonnera l'heure du petit déjeuner, partagé en compagnie de marmottes venues profiter des premiers rayons de soleil.En Beys août 2009 005.jpg

     "Salut Josiane. Déjà debout ?"

    Le plus dur restait à faire, par un sentier de plus en plus rocheux et pentu. Il suffisait alors de franchir un dernier raidillon dans les éboulis, pour accéder au déversoir du lac naturel dans lequel se reflète le refuge d'En Beys, perché à 1970 mètres d'altitude.

    Accueillis par Sylvain et Julien, gardiens des lieux et successeurs de Jean-Claude Cazette, Daniel, capitaine de route, Guy et Yvan remisaient leur charge au pied de l'échelle donnant accès au dortoir d'hiver. Il ne restait plus qu'à profiter de la beauté des lieux, et apprécier un excellent menu pris sur la terrasse en surplomb du lac. Le retour par les crêtes permettra à la « cordée » de déguster quelques myrtilles sauvages, avant une vertigineuse  plongée vers la vallée, un au-revoir à la faune locale et un dernier regard vers la célèbre et majestueuse dent d'Orlu.En Beys août 2009 038.jpg    

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