Un 30 décembre dans les colonnes du journal Le Rappel de l'Aude.
1890 Le Rappel de l'Aude 30 décembre
1891 Le Rappel de l'Aude 30 décembre
1890 Le Rappel de l'Aude 30 décembre
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Un 30 décembre dans les colonnes du journal Le Rappel de l'Aude.
1890 Le Rappel de l'Aude 30 décembre
1891 Le Rappel de l'Aude 30 décembre
1890 Le Rappel de l'Aude 30 décembre
L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mercredi 30 décembre 1998.
Un rôle inhabituel pour Jean-Jacques Aulombard
Photo archives, Décembre 1998
Avec la visite du Père Noël et la proximité des festivités de fin d’année, l’activité bat son plein au cœur de l’Hôtel-Dieu Saint-Jacques où chacun s’affaire pour que les pensionnaires terminent 1998 dans une ambiance de fête.
De fait, le dévoué personnel de l’hôpital local déjà très sollicité tout au long de l’année, a revu son rythme de travail à la hausse, ce qu‘il accompli de bonne grâce, aux petits soins pour nos anciens qui le méritent bien. Et à situation exceptionnelle, moyens exceptionnels, c’est ainsi que les filles de la maison de retraite ont bénéficié d’un renfort de choix, en la personne de Jean-Jacques Aulombard, directeur de l’Hôpital venu prêter main forte en cuisine. Non pas pour améliorer l’ordinaire, les « cuistots » y veillent déjà, mais juste pour apporter sa contribution aux préparatifs des fêtes de la Nativité. Un concours plutôt efficace que grands-mères et grands-pères n’ont pas été les derniers à apprécier, bien au contraire.
Bonne Année 1999 à tous !
Au bord du vieux canal, un vestige de l’artisanat chalabrois
Cette bâtisse en ruine qui jour après jour a modifié sa silhouette en silence, fut entre 1920 et 1940 l’atelier Jouret, du nom de Louis Jouret, quincailler et épicier sur la place du marché.
Dans le Tome V édité en juillet 2000 par l’association « Il était une fois Chalabre » et sous la plume de Maurice Rouzaud, il apparaît que Louis Jouret, Puivertain d’origine, fabriquait là des manches de couteau en corne avant d’y monter les fameuses lames du Puy-de-Dôme, venues de Thiers.
Le délicat assemblage était réalisé dans un local de la Traverse de la Halle grâce au savoir-faire de François, Joseph et Guy Huillet, mais la bâtisse évoquée aujourd’hui se trouve route de Lavelanet, juste au pied des Genêts, après le petit pont de pierre. Ce bâtiment annexe à l’écart du village et pour cause, permettait le recyclage des rebuts après usinage de la corne, activité plutôt incommodante, étant donné l’odeur particulièrement tenace dégagée par le traitement de la matière première : « les déchets de corne de mouton et de bœuf étaient concassés et servaient à faire de la « cornaille », utilisée comme engrais. Une turbine lancée par la force motrice des eaux du canal permettait d’actionner machines et courroies, les vestiges du canal et l’emplacement de la turbine sont encore visibles ».
Les temps changent, la corne autrefois abondante a hélas cédé la place au plastique, mais les vieilles pierres fatiguées ont depuis refait leur vie quelque part sur les hauteurs du vieux Chalabre.
Photo archives, juillet 2021
Les journaux Le Rappel de l'Aude et le Courrier de l'Aude donnent quelques échos, un 29 décembre.
1889 Le Rappel de l'Aude 29 décembre
1891 Le Courrier de l'Aude 29 décembre
1893 Le Courrier de l'Aude 29 décembre
1886 Le Courrier de l'Aude 29 décembre
Narbonne