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  • C’était hier : Badaluc XXVI n’a rien fait pour sauver sa tête

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 21 avril 1994.

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    Un tribunal de bric et de broc a mis Badaluc au supplice

    Photos archives, Avril 1994

    Reçu avec tous les honneurs dus à son rang, le prince du Carnaval 1994 a accumulé les erreurs au cours de sa visite en Kercorb. Enveloppé dans les flammes infernales, Badaluc 26e de la lignée a emporté avec lui une multitude de promesses, faites la veille devant une population chalabroise séduite par ce touriste nonchalant et porteur de bonnes nouvelles.

    L’OPVC avait pourtant mis les petits plats dans les grands, et la réception d’un invité de marque sous la halle de la cité chalabroise offrait aux écoliers du groupe Louis-Pergaud, l’occasion de régaler l’auditoire avec la Danse de l’ours, En ligno toutis en roun, et une pointe d’exotisme grâce au Pays des cocotiers.

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    Aimé à la manœuvre, Badaluc est confiant

    Leur chant de carnaval composé pour certains couplets par les enfants eux-mêmes permit une transition facile, la chorale Eissalabra interprétait alors Badaluc est de retour, sur des paroles d‘Edouard Garcia.

    En soirée, le tour de Fécos assuré par une fringante formation de l’OPVC a emmené une multitude de masques sur un tour de ville balayé par un vent froid, humide, et désireux de prendre part à la fête.

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  • C'était hier : Les solistes de l’OPVC font exploser les sondages

    L'article mis en ligne avait paru dans l'Indépendant, édition du jeudi 15 avril 2004 

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    Photo archives, Avril 1997

    A quelques heures de la venue en Kercorb de sa Majesté Carnaval, de la lignée le XXXVIe, les musiciens de l’OPVC font la une de la presse spécialisée, à travers les conclusions d’un sondage entièrement acquis ou presque, à leur faveur. Voici en exclusivité, et en avant-première nationale, les résultats d’une enquête qui ne laissera personne indifférent.

    Si 52% des Chalabrois avouent aimer le carnaval, 35% préfèrent Fluris, tandis que 13% se contentent de faire des tours de ville sous la pluie. Les dates des 17 et 18 avril conviennent à 43% de nos concitoyens, contre 31% qui auraient préféré le week-end de l’Ascension, 18% le 14 juillet, 0,1% réservent leur avis. Si 68% des Chalabrois trouvent que les musiciens restent trop longtemps dans les cafés, 75% avouent en profiter pour aller boire un coup. 38% des sondés reconnaissent qu’il faut brûler Badaluc, mais 24,5% souhaiteraient le voir noyé, 7% étouffé par des confettis, et 3% seraient d’accord pour le punir en le nommant président du comité des fêtes.

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    Photo archives, Mars 1996

    La cote de popularité de l’OPVC pique parfois du nez, puisque seulement 20% du milieu mélomane se déclare satisfait par les prestations fournies. Il faut ici marquer un bémol, car à l’annonce du montant du cachet perçu par les musiciens, 99% des sondés disent qu’ils les trouvent très bons.

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    Photo archives, Avril 2002

    Enfin, à la question : « Dans quel sens faut-il faire le tour de fécos ? », 100% des personnes interrogées ont coché la case : « Dans le bon sens ! ». En marge de ce sondage, tout à l’honneur des filles et fils spirituels des virtuoses de l’harmonie-fanfare de l’Avenir du Kercorb, ces derniers nous demandent de préciser que les personnes désirant postuler à la fonction de grosse-caissiste, sont invitées à ne plus téléphoner. Crise oblige, le poste vient d’être supprimé, purement, et simplement.

    NDLR : Le questionnaire de ce sondage avait été établi au début des années 2000 par le regretté Jean-Jacques Conte, trompettiste et éminent compagnon de l'OPVC. 

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    Un sondage que nos petits écoliers de la maternelle n'auraient pas contesté

    De gauche à droite, Aurélien Moralès, Laura Teisseyre, Samuel Tur y Tur, Alicia Garros

    Photo archives, Mai 1992 

  • Carnaval : Emma, Paolo et Raphaël l'ont mauvaise. Lucie,... moins

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    Raphaël et Emma à l'ouvrage

    Photos Thierry Roncalli

    Il y a de cela une semaine, Badaluc le 54e de la lignée subissait les foudres de gens de justice, lesquels ont pris soin de ne plus réapparaître depuis. D'un naturel candide, les anciens peuvent le confirmer, sa Majesté Carnaval avait d'abord accepté de porter la flamme olympique, voyant là un sincère témoignage d'estime de la part des édiles locaux. Balivernes en réalité, cette même flamme étant prestement utilisée le lendemain pour l'expédier au royaume des « pros » du tournevis et de la pince à dénuder.

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    Une scène pénible et mal vécue par Raphaël, Paolo et Emma (ci-dessus), tous trois investis près de quatre semaines durant, pour apporter leur concours à la réalisation de Badaluc. Présents en effet sur différents ateliers chaque mercredi et samedi, ils avaient déjà affiché leur motivation en 2023, avec la conception de créatures tout droit sorties des profondeurs de la mer.

    Cette fois, et après un nouveau travail sur grillage, encollage de papier et initiation au compresseur aérographe, ce sont deux sympathiques campagnols qui se sont retrouvés tout à fait opérationnels afin de parader en compagnie de ce cher Badaluc. Ainsi, Cheese et Ratus n'ont rien manqué des réjouissances, grâce à trois jeunes artistes imaginatifs et persévérants.

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    Un grand merci à Emma Defernez, Paolo Tur y Tur et Raphaël Roncalli, sans oublier Lucie Rossi (photo ci-dessous), qui a rejoint cette année une inénarrable brochette de magistrats. A l'évidence, une prime à la jeune garde peut être décernée, tant il paraît évident que la relève fait mieux que frapper à la porte. Les jeunes, mais également ceux qui le sont un peu moins, à l'image de Thierry, artiste aérographe qui aura réalisé en cette année 2024, sa trentième binette dédiée à la fête. Vivement 2025, et félicitations à l'ensemble de nos artistes de l'ombre.

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