Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

C’était hier : Il était une fois Chalabre tisse sa toile

L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du jeudi 16 janvier 2003.

il était une fois chalabreAu chapitre des bonnes résolutions, la restauration du tableau offert par Mme Veuve Jean Mamet avait fait l'unanimité lors de l'assemblée 2002 (Photos archives, Janvier 2002).

L’association présidée par Michel Brembilla tiendra son assemblée générale annuelle ce samedi 18 janvier à la mairie, cours Sully. A l’ordre du jour, présentation du bilan moral et financier, suivi du renouvellement du bureau. A l’orée d’une année nouvelle, c’est un comité de rédaction toujours aussi studieux qui a le plaisir d’annoncer aux 562 adhérents de l’association la mise en chantier d’un septième tome dédié au passé chalabrois. Sur des thèmes toujours aussi divers, la mise en page de ce nouvel ouvrage est en bonne voie, la mise sous presse ne devrait toutefois pas intervenir avant 2004.

Pour l’heure, Michel Brembilla et son équipe concentrent toute leur énergie afin de permettre l’aboutissement d’un projet qui leur tient particulièrement à cœur. Calée en effet depuis de long mois sur le chevalet d’un restaurateur d’art du Lauragais, une peinture sur toile représentant la cité chalabroise au temps jadis devrait très bientôt retrouver son Kercorb d’origine. Le 26 mai 2000, Mme Veuve Jean Mamet faisait don à l’association de cette oeuvre anonyme, et Il était une fois Chalabre avait aussitôt décidé de la remettre entre les mains expertes de Louis Esquirol. Après plusieurs mois d’un travail minutieux, la réception du tableau en phase finale de restauration est imminente.

Chalabre au XVIIe     Cette fresque historique qu’il faut peut-être attribuer à un pensionnaire du couvent des Capucins du cours Sully (fin XVIIe siècle), offre une succession de vues, comme autant de tableaux révélateurs d’un lointain quotidien chalabrois. Tandis que des pêcheurs et des lavandières s’affairent sur les rives du Chalabreil, une procession de pénitents serpente sur le chemin de croix menant à la chapelle du Calvaire, depuis l’église Saint-Pierre.

Ces religieux emmenaient-ils les reliques de Sainte Colombe vers la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs, comme certains écrits relevés par Marie-Louise Saddier dans les archives du château de Mauléon semblent le confirmer ?

Dans la perspective d’un rendez-vous très attendu, Il était une fois Chalabre est très heureux de présenter ses vœux de santé et prospérité aux Chalabroises et aux Chalabrois.     

Écrire un commentaire

Optionnel