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  • Fulgurante inauguration

    bon-accueil

    C’est une initiative qui a été particulièrement appréciée par les riverains du quartier de Bon-Accueil, lesquels bénéficient depuis quelques jours maintenant, d’un nouveau banc public. L’intervention a été finalisée par les employés municipaux le lundi 22 octobre dernier, au pied du superbe noyer planté par Jacques et Annie Montagné, voilà plusieurs années.

    Stratégiquement placé, ce nouveau banc invite au repos, qui veut aborder à pied, la montée vers la maison de retraite des Hauts-de-Bon-accueil. Menés avec soin, les détails de l’installation n’auront pas échappé à deux voisines, qui ont immédiatement et dignement célébré l’événement, procédant ainsi à une pétillante inauguration express.

  • C’était hier : Quel avenir pour le pavillon du château ?

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 3 novembre 1998.

    pavillon du château

    Le temps a eu raison de la toiture du pavillon (Photos archives, Octobre 1998).

    Trônant à deux pas du Pont-Neuf au pied des allées menant vers la demeure des De Mauléon, le pavillon du château vit-il ses dernières heures ? C’est la question que se posent nombre de Chalabrois préoccupés par l’état de délabrement d’une bâtisse autrefois superbe et aujourd’hui visiblement laissée à l’abandon. Une situation qui n’a pas manqué d’attirer l’attention de nos élus, lesquels ont alerté Mme De Villette, héritière de la maison Mauléon-Narbonne. A l’évidence il est urgent d’entreprendre des travaux de remise en état, ne serait-ce que pour assurer la sécurité des passants sur une voie particulièrement fréquentée. Toiture éventrée, volets battant aux quatre vents, façades lézardées, le « pavillon » n’en finit pas de subir les outrages du temps dans l’indifférence la plus complète.

    Erigé en 1802, l’imposant édifice de l’avenue Auguste-Cathala verra-t-il ses belles pierres mises à bas ou bien sera-t-il restauré ? Considéré comme part du patrimoine local par nombre de nos concitoyens, qui le verraient avec plaisir franchir le cap d’un nouveau siècle, son avenir est-il définitivement scellé ?

    Autant de questions qui viennent alimenter les conversations chalabroises au sujet d’un « pavillon » recélant encore au plus profond de ses longs couloirs, les souvenirs d’enfance de nombreux petits Chalabrois ayant grandi à l’ombre du château.        

  • Football : Le FCC se déplace chez le leader

    FCC I vs FC Alzonne I 27 mars 2016.JPG

    Photo archives 27 mars 2016, FCC I - FC Alzonne I

    En ce premier dimanche de novembre, les deux formations seniors du FC Chalabre évolueront à l’extérieur, dans le cadre du championnat de l’Aude de football. A 12 h 30, les réservistes du FCC II, 2e ex aequo au général de D4 (2e div.), engageront une rencontre face au onze de l’US Belpech, cinquième du championnat. Avec trois victoires pour une seule défaite, les joueurs de Sébastien Duporge voudront poursuivre leur marche en avant, face au onze de la Piège, crédité d’une victoire, d’un nul et de deux défaites. Sylvain Pommiers dirigera la rencontre, disputée sur le stade Georges Canal de Belpech.

    A 15 h, le team fanion du Kercorb se rendra à Alzonne, pour le compte du championnat D2 (1ère div.). Relégué à la 8e place avec un match de retard (1 victoire, 2 nuls), le FCC I aura une belle carte à jouer face à l’équipe du président Michel Gieules qui caracole en tête avec trois victoires et une défaite. Le match sera arbitré par Benoît Caux.

  • C’était hier : Il était une fois Chalabre veut faire parler la toile

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du lundi 3 novembre 2003.

    il était une fois chalabrePour l’abbé Raymond Cazaban, les symboles abondent dans ce tableau (Photo archives, Octobre 2003).

    Le 31 mai dernier, l’association chère au président Michel Brembilla dévoilait aux Chalabrois, le tableau offert trois ans auparavant par Mme Veuve Jean Mamet, œuvre sauvée de l’oubli puis restaurée dans un atelier du Lauragais (Cenne-Monestiès). Jusqu’alors, chacun à l’association avait osé croire que les longs travaux de réhabilitation permettraient de révéler le nom de l’artiste mais aussi sa source d’inspiration : espérances déçues car l’auteur de ce chef-d’oeuvre reste à ce jour désespérément anonyme.

    Etait-ce un moine capucin du XVIIIe siècle pensionnaire au couvent du Cours Sully (actuelle maison Taillefer) ? Les religieux représentés sur la toile emmenaient-ils les reliques de Sainte-Colombe en provenance du Vatican vers la chapelle de Notre-Dame des Sept Douleurs sur le calvaire ? Autant d’interrogations restées sans réponse qui ont amené les membres de Il était une fois Chalabre à solliciter l’appréciation d’un homme d’église. Présent samedi dans la maison commune, l’abbé Raymond Cazaban a relevé sur une toile obstinément silencieuse, la présence de nombreux symboles, comme autant d’indices susceptibles de révéler la nature et les desseins de son créateur.

    Une analyse que l’abbé Cazaban a accepté de compléter par écrit, à la demande de Michel Brembilla et de son équipe, étude destinée à figurer en bonne place dans le septième tome que l’association va bientôt éditer.

    il était une fois chalabre