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  • C’était hier : Les Rois ont visité l’hôpital

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, le samedi 3 février 2001.

    hauts-de-bon-accueilUne cour improvisée et gourmande pour un roi plus vrai que nature (photos archives, Janvier 2001).

    Galettes, santons, blanquette et frangipanes ont ravi samedi la vedette, à l’affiche très prometteuse que proposait la petite lucarne aux quelques mordus de rugby qui ont élu domicile à la maison de retraite et long séjour de la rue Saint-Pierre. Tournant le dos au choc Pau-Stade Français, ils ont très sportivement rejoint leurs compagnons pensionnaires afin de célébrer dans la tradition le souvenir de Gaspard, Melchior et Balthazar. Reines et rois ont été à la fête, et nos anciens ont ainsi vécu un après-midi d’exception avec à leurs côtés, le dynamique et toujours aussi dévoué personnel de l’établissement. L’année 2001 démarre dans une excellente ambiance pour les pensionnaires de l’hôpital local auxquels nous présentons nos meilleurs voeux de santé.

  • Les modestes

    Le promeneur peut passer sans les voir, vestiges d’un lointain temps passé, archives de pierres qu’une végétation triomphante éparpille. Pour celles et ceux qui vécurent là, JIEL refait du feu dans la cheminée.

    jiel

    Les modestes

    Dans la mosaïque multicolore à la coiffe blanche,

    Les maisons élégantes n’ont que glace pour feston.

    Leurs fumées de chaleur fuient vers l’horizon

    D’un paysage feutré de dentelles aux branches.

     

    La vie engourdie dans un profond silence s’apaise.

    Les bêtes fourbues, dans l’apathie du soir, sont calmes.

    Sans mot, les hommes, absorbés par les flammes,

    Fument paisibles devant le faitout rougi de braise.

     

    Nul bruit ne vient troubler la chaude veillée du soir

    Qui en ces lieux de durs labeurs, apporte le réconfort

    Pour ces gens qui jamais ne se plaignent de leur sort,

    Economes en paroles et généreux de regards d’espoir.

     

    A l’orée du chemin, chacun garde sa place son destin.

    Dans le courage du quotidien se forgent les valeurs,

    Leurs plus belles richesses qui naissent dans le coeur

    Qui sont celles de leur vie et celles de leurs anciens.

     

    Ils ne verront jamais le sourire enjôleur d’une Joconde,

    Mais chaque jour jouissent de celui de leur bien-aimée.

    Les collines ondoyantes où le soleil aime à se pâmer,

    Sont à leurs yeux plus belles que merveilles du monde.

     

    Mais dans leur modeste vie de petits riens préservés,

    Par la quiétude des songes qui brouillent les pensées,

    De cette mosaïque multicolore à la coiffe distinguée,

    Les fumées de chaleur fuient parfois vers les préjugés.

    JIEL

    jiel

  • Quand L’Indépendant zoomait sur Chalabre, voilà 25 ans tout juste

    Au mois de février 2018 et dans le cadre de l'opération « Une commune à la Une », initiée par le journal l’Indépendant, la cité chalabroise avait fait l’objet d’une belle mise en lumière, assurée par la journaliste Christine Allix. Plus loin encore dans le temps, en février 1996, Chalabre avait bénéficié d’un premier coup de projecteur, sous la plume de Jean-Paul Charlut, journaliste et responsable des correspondants au journal l’Indépendant. Du vendredi 2 au mercredi 7 février, les lecteurs avaient été invités à retrouver au quotidien, un sujet relatif à la vie de la capitale du Kercorb. Archives et souvenirs....

    1996 L'Indèp Spéciale 001 bis.jpg

    Le 2 février 1996, un projet se retrouvait à la une

    jean-paul charlut,l'indépendant,chalabre

    Demain 3 février, Foyer et animation culturelle

  • Caudeval : Jeux de rôles à l’école du Val de Lambronne

    école primaire élémentaire du val de lambronne,la fleur du boucanManuel Diaz et Nicolas Luboz partagent leur expérience auprès d'élèves motivés.

    Depuis l’arrivée du mois de janvier, les écoliers du territoire regroupant depuis 2016 les communes de Caudeval et Gueytes-et-Labastide, partagent un peu de leur quotidien scolaire avec  la compagnie de théâtre toulousaine La Fleur du Boucan. Les artistes accueillis en résidence par l’association Filentrope/MIMA à Mirepoix, ont choisi d’investir le terrain pour des actions avec différents publics. A défaut de pouvoir se produire sur scène, contexte sanitaire oblige, La Fleur du Boucan anime des ateliers théâtre autour de sa prochaine création, « La Ferme des animaux », d'après le livre « Animal Farm » de George Orwell.

    école primaire élémentaire du val de lambronne,la fleur du boucanCes travaux d’activité culturelle, auquel participent 14 élèves de CM1 et CM2 de l’école primaire élémentaire du Val de Lambronne à Caudeval, sont animés par Nicolas Luboz comédien, metteur en scène, et Manuel Diaz metteur en scène. La Ferme des Animaux raconte la prise de pouvoir d'un groupe d'animaux sur leur ferme et la tentative d'autogestion qui s'en suit.

    Au moyen de jeux de rôles, la compagnie amène les enfants à « réfléchir à la manière dont ils-elles organiseraient la vie en société, s'ils-elles devaient dès demain en être décisionnaires ». Les enfants seront ensuite amenés à prendre la parole en public, et à défendre leurs idées pour rallier l'opinion à leur cause, en veillant à ce que ces échanges se fassent dans un esprit de bienveillance.

    Chaque après-midi, la salle des fêtes de Caudeval accueille élèves et artistes, animés par une complicité manifeste, au service des arts du spectacle vivant, à la peine en ces temps de pandémie.

    école primaire élémentaire du val de lambronne,la fleur du boucan